Frédéric Auguste Bartholdi (1834-1904) Allégorie de l’Orfèvrerie Statuette en bronze à patine brune Signé " A BARTHOLDI " H. 11,2 cm Petites usures à la patine En 1860, Auguste Bartholdi se voit confier la réalisation d’un monument à la mémoire du peintre allemand Martin Schongauer pour orner le préau du cloître de l’ancien couvent des Unterlinden alors aménagé en musée. Le monument, sculpté à la manière des fontaines gothiques, est surmonté d’une figure en pied de Schongauer entouré de quatre figures allégoriques incarnant les étapes de sa formation : la Gravure, l’Etude, la Peinture et l’Orfèvrerie. Notre statuette en bronze reprend le modèle de cette dernière allégorie qui serait un autoportrait du sculpteur. La fontaine est démantelée en 1958, les quatre figures sont déposées au musée Bartholdi. Œuvres en rapport : -Frédéric Auguste Bartholdi, Monument à Schongauer, dit aussi Monument à la mémoire de Martin Shoen, 1860, grès rose, H. 205 cm, Colmar, musée d’Unterlinden ; -Frédéric Auguste Bartholdi, Allégorie de l’Orfèvrerie, vers 1860 ?, marbre, H. 62,5 cm, Colmar, musée Bartholdi, inv. SB87 ; -Frédéric Auguste Bartholdi, L’orfèvrerie ou la ciselure, vers 1861, bronze, signé « AB », H. 37 x L. 19,5 x P. 20,5 cm, Paris, musée de la Vie romantique, inv. 92.3.1 Littérature en rapport : -Cécilie Champy-Vinas, Cécile Bertran, Meunier, Dalou, Rodin… : les sculpteurs au travail, cat. exp., Nogent-sur-Seine, musée Camille Claudel, 4 avril-6 septembre 2020, Gand, Snoeck, 2020, modèle en marbre répertorié sous le n°Cat. 28, illustré p. 14, p. 15 ; -Régis Hueber, Société des amis de Bartholdi : 10ème anniversaire, cat. exp., Colmar, musée Bartholdi, 21 juin-22 décembre 2013, Colmar, Ville de Colmar, 2013 ; -Régis hueber, « Les statuaires au couvent : Auguste Bartholdi et la Société Schongauer », in Sylvie Raymond (dir.), Histoire du musée d’Unterlinden et de ses collections, de la Révolution à la Première Guerre mondiale, Colmar, musée d’Unterlinde, 2003, pp. 227-241.
Frédéric Auguste Bartholdi (1834-1904) Lion de Belfort Bronze à patine brun clair Signé " A BARTHOLDI " en bas à droite Dim : H. 13,4 x L. 21,5 x P. 1,2 cm Petites salissures Œuvre en rapport : -Frédéric Auguste Bartholdi, Le lion de Belfort ou Monument à la mémoire des victimes du siège de 1870, 1875-1880, grès rose de Pérouse, H. 11 x L. 22 m, Belfort. Littérature en rapport : -Régis Hubert, Bartholdi : le lion, cat. exp., Colmar, musée Bartholdi, 5 juin-5 septembre 2004, Belfort, musée d’art et d’histoire, 18 septembre 2004, 2 janvier 2005, Colmar, musée Bartholdi, 2004.
Frédéric-Auguste BARTHOLDI (Colmar, 1834 - Paris, 1904) Maquette du monument élevé à la mémoire des aéronautes du siège de Paris Bronze à patine brun nuancé , fonte ancienne vers 1900-1903 Signé 'ABartholdi' sur la terrasse Hauteur : 59 cm Diamètre : 32 cm Repose sur une base en onyx d'Algérie ornée d'une plaque en bronze à décor de feuilles de laurier, titrée 'MONUMENT DES AERONAUTES DU SIEGE DE PARIS / A Mr. ALFRED BRIAN : SOUVENIR DE PARTICIPATION' Hauteur totale: 71 cm Model of the monument in the memory of the aeronauts of the Paris headquarters, bronze, brown patina, signed, by F. - A. Bartholdi H. 27.95 in. Bibliographie : en rapport : Thomas Grimm, Supplément illustré du Petit Journal, 11 février; 1906, p. 48, « Inauguration du monument des aéronautes du siège de Paris » (estampe) Stanislas Lami, Dictionnaire des sculpteurs de l'École française au Dix-neuvième siècle, Paris, Honoré Champion, quatre volumes,1914, t. I, p. 68, Jacques Betz, Bartholdi, Paris, Editions de Minuit, 1954, p. 247. Georges Poisson, « Le sort des statues de bronze parisiennes sous l'occupation allemandes, 1940-1944 », dans Paris et Ile-de-France, Mémoires publiés par la Fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et de l'Ile-de-France, tome 47, 1996, pp. 256-260 ; Ss dir. Mathilde Benoistel, Sylvie Le Ray-Burimi et Christophe Pommier France- Allemagne(s) 1870-1871, La Guerre, La Commune, Les Mémoires », Cat. Exp. Paris, Hôtel des Invalides, 13 avril-30 juillet 2017, n°300, p.287 Monument de référence : Frédéric-Auguste Bartholdi, Monument aux Aéronautes du Siège de Paris 1870 et aux Colombophiles, dit le Ballon des Ternes, monument en bronze,1879-1906, inauguré en 1906 au rond-point de la Révolte à Neuilly (actuelle porte des Ternes), enlevé et fondu en 1941 sous l’Occupation allemande. Œuvres en rapport : Frédéric-Auguste Bartholdi, Monument aux Aéronautes, maquette en plâtre et fils métalliques pour les cordages du ballon, H.57,50 cm, Colmar, musée Bartholdi, n°inv.SB50 ; Frédéric-Auguste Bartholdi, Monument aux Aéronautes ; maquette en plâtre teinté, fils métalliques pour les cordages du ballon, H.57 cm, Colmar, musée Bartholdi, n°inv.SB 51 ; Frédéric-Auguste Bartholdi, Modèle du monument à élever à la mémoire des ballons et pigeons du Siège ; aux héros des postes, des télégraphes, des chemins de fer, des aéronautes et des colombophiles de 1870-1871, plâtre localement patiné en ocre jaune rosé clair pour représenter les parties en bronze et fils métalliques, 1902, H.120 x L.113 x P.113 cm, n°inv.SB 52 ; Frédéric-Auguste Bartholdi, Monument aux aéronautes du siège de Paris, aux héros des postes, des télégraphes, des chemins de fer, 1900-1903, réduction en bronze sur un socle en onyx d’Algérie, H.74,5 cm, Colmar, musée Bartholdi, n°inv.SB 53 ; Frédéric-Auguste Bartholdi, Maquette du monument élevé à la mémoire des aéronautes du siège de Paris, bronze peint et patiné, H. 57,5 et diam 22,5 cm socle H.35 cm, musée de l’Air Le Bourget, inv.11012. Artiste engagé et hérault de la liberté, de l’héroïsme et de la résistance, Bartholdi participe au concours pour le monument de la défense de Paris lancé en 1879 par la Ville de Paris, tout en sortant complètement du programme demandé. Les sculpteurs devaient en effet réaliser un groupe allégorique de deux personnages, la ville de Paris avec un défenseur. Alors qu’il travaille déjà depuis décembre 1871 à la commande du Lion de Belfort, véritable œuvre de résistance d’une grande singularité, l’artiste colmarien propose un projet complexe et déjà bien abouti (avec le piédestal) ; il est composé d’un groupe de personnages - une femme symbolisant la Ville de Paris et ses enfants revêtus d’attributs à l’antique -mourant de froid et de faim, mais défendant l’accès d’un immense ballon. L’invasion prussienne est, quant à elle, symbolisée par une pieuvre dont les tentacules enserrent les armes de la Ville fixées sur le piédestal. Le thème retenu par Bartholdi célèbre le rôle d’une communication nouvelle et salvatrice jouée par les ballons pour sauver de l’isolement une ville de Paris encerclée par l’ennemi prussien. Grâce aux premiers aérostiers Jule Duruof (de son vrai nom Durouf), Jean Nadal ou Louis Mutin-Godard, les dépêches peuvent quitter Paris et rejoindre la province. Ces héros élevèrent leurs ballons à partir du point haut de paris qu’était la place Saint-Pierre à Montmartre. La plupart étant acquis aux idées de la Commune, certain furent amnistiées, mais d’autres furent exécutés pendant la Semaine sanglante. Si le concours est remporté par Barrias, le sculpteur s’emploie ensuite à concrétiser son projet de monument les années suivantes. Dans le journal le Siècle daté de 21 novembre 1903 Maurice Guillemot en fait ainsi l’éloge: « Il a su triompher de la difficulté qu’il y avait à représenter en sculpture un ballon, et le groupe sculptural qui lui sert de base retient assez l’attention pour que la réalisation des cordages puisse passer inaperçue ». Dans la lignée de ces grands projets de statues-phares (L'Egypte éclairant l'Orient, projet pour l’Isthme de Suez jamais réalisé et premier projet de la statue de la Liberté), l’artiste souhaitait surmonter la nacelle d'un ballon en albâtre, éclairé la nuit par un puissant foyer électrique. Mais pour des raisons pratiques, il fut décidé que le ballon serait plutôt fondu en bronze martelé et rivé pièce à pièce comme toutes ses autres œuvres monumentales précitées. Le premier projet devait trouver place au sommet de la butte Montmartre d’où s’étaient envolés le 7 octobre 1870, les soixante-six ballons des aéronautes. Le plus célèbre, l’Armand Barbès, avait à son bord Léon Gambetta, ministre de l’Intérieur qui avait constitué après la chute de l'Empire le gouvernement de la Défense nationale. La localisation est finalement annulée en raison de la construction du Sacré Cœur. La Société de navigation aérienne et l’Aéroclub patronnant la souscription pour installer l’œuvre sur une place de Paris, n’a pas gain de cause, et finalement Bartholdi se tourne vers la commune de Neuilly-sur-Seine. Après de nombreuses années d’atermoiement, la maquette de Bartholdi est finalement fondue et présentée au Salon de 1904. Bartholdi décède malheureusement quelques semaines plus tard, et le monument est achevée par Hubert-Louis Noël, puis inauguré en janvier 1906 au Rond-point de la Révolte, en face de la Porte des Ternes. Il est finalement démantelé et détruit sous l’Occupation. Comme pour le financement colossal de la Statue de la Liberté, celui du Monument en l’honneur des aéronautes du siège de Paris et des héros des postes, des télégraphes et des chemins de fer a nécessité le lancement d’une souscription. Cette dernière a donné l’occasion de vendre des réductions en bronze de ce sujet. Notre exemplaire, offert à l’un des participants de la souscription, comme l’indique le cartel fixé à la base, appartient à une petite édition d’une qualité remarquable dont on connait au moins deux autres exemplaires, l’un conservé au musée Bartholdi à Colmar (n°inv.SB 53) et le second au musée de l’Air au Bourget (inv.11012.) Frédéric-Auguste BARTHOLDI (Colmar, 1834 - Paris, 1904) Monument de référence : Frédéric-Auguste Bartholdi, Monument aux Aéronautes du Siège de Paris 1870 et aux Colombophiles, dit le Ballon des Ternes, monument en bronze,1879-1906, inauguré en 1906 au rond-point de la Révolte à Neuilly (actuelle porte des Ternes), enlevé et fondu en 1941 sous l’Occupation allemande. Œuvres en rapport : Frédéric-Auguste Bartholdi, Monument aux Aéronautes, maquette en plâtre et fils métalliques pour les cordages du ballon, H.57,50 cm, Colmar, musée Bartholdi, n°inv.SB50 ; Frédéric-Auguste Bartholdi, Monument aux Aéronautes ; maquette en plâtre teinté, fils métalliques pour les cordages du ballon, H.57 cm, Colmar, musée Bartholdi, n°inv.SB 51 ; Frédéric-Auguste Bartholdi, Modèle du monument à élever à la mémoire des ballons et pigeons du Siège ; aux héros des postes, des télégraphes, des chemins de fer, des aéronautes et des colombophiles de 1870-1871, plâtre localement patiné en ocre jaune rosé clair pour représenter les parties en bronze et fils métalliques, 1902, H.120 x L.113 x P.113 cm, n°inv.SB 52 ; Frédéric-Auguste Bartholdi, Monument aux aéronautes du siège de Paris, aux héros des postes, des télégraphes, des chemins de fer, 1900-1903, réduction en bronze sur un socle en onyx d’Algérie, H.74,5 cm, Colmar, musée Bartholdi, n°inv.SB 53 ; Frédéric-Auguste Bartholdi, Maquette du monument élevé à la mémoire des aéronautes du siège de Paris, bronze peint et patiné, H. 57,5 et diam 22,5 cm socle H.35 cm, musée de l’Air Le Bourget, inv.11012. Artiste engagé et hérault de la liberté, de l’héroïsme et de la résistance, Bartholdi participe au concours pour le monument de la défense de Paris lancé en 1879 par la Ville de Paris, tout en sortant complètement du programme demandé. Les sculpteurs devaient en effet réaliser un groupe allégorique de deux personnages, la ville de Paris avec un défenseur. Alors qu’il travaille déjà depuis décembre 1871 à la commande du Lion de Belfort, véritable œuvre de résistance d’une grande singularité, l’artiste colmarien propose un projet complexe et déjà bien abouti (avec le piédestal) ; il est composé d’un groupe de personnages - une femme symbolisant la Ville de Paris et ses enfants revêtus d’attributs à l’antique -mourant de froid et de faim, mais défendant l’accès d’un immense ballon. L’invasion prussienne est, quant à elle, symbolisée par une pieuvre dont les tentacules enserrent les armes de la Ville fixées sur le piédestal. Le thème retenu par Bartholdi célèbre le rôle d’une communication nouvelle et salvatrice jouée par les ballons pour sauver de l’isolement une ville de Paris encerclée par l’ennemi prussien. Grâce aux premiers aérostiers Jule Duruof (de son vrai nom Durouf), Jean Nadal ou Louis Mutin-Godard, les dépêches peuvent quitter Paris et rejoindre la province. Ces héros élevèrent leurs ballons à partir du point haut de paris qu’était la place Saint-Pierre à Montmartre. La plupart étant acquis aux idées de la Commune, certain furent amnistiées, mais d’autres furent exécutés pendant la Semaine sanglante. Si le concours est remporté par Barrias, le sculpteur s’emploie ensuite à concrétiser son projet de monument les années suivantes. Dans le journal le Siècle daté de 21 novembre 1903 Maurice Guillemot en fait ainsi l’éloge: « Il a su triompher de la difficulté qu’il y avait à représenter en sculpture un ballon, et le groupe sculptural qui lui sert de base retient assez l’attention pour que la réalisation des cordages puisse passer inaperçue ». Dans la lignée de ces grands projets de statues-phares (L'Egypte éclairant l'Orient, projet pour l’Isthme de Suez jamais réalisé et premier projet de la statue de la Liberté), l’artiste souhaitait surmonter la nacelle d'un ballon en albâtre, éclairé la nuit par un puissant foyer électrique. Mais pour des raisons pratiques, il fut décidé que le ballon serait plutôt fondu en bronze martelé et rivé pièce à pièce comme toutes ses autres œuvres monumentales précitées. Le premier projet devait trouver place au sommet de la butte Montmartre d’où s’étaient envolés le 7 octobre 1870, les soixante-six ballons des aéronautes. Le plus célèbre, l’Armand Barbès, avait à son bord Léon Gambetta, ministre de l’Intérieur qui avait constitué après la chute de l'Empire le gouvernement de la Défense nationale. La localisation est finalement annulée en raison de la construction du Sacré Cœur. La Société de navigation aérienne et l’Aéroclub patronnant la souscription pour installer l’œuvre sur une place de Paris, n’a pas gain de cause, et finalement Bartholdi se tourne vers la commune de Neuilly-sur-Seine. Après de nombreuses années d’atermoiement, la maquette de Bartholdi est finalement fondue et présentée au Salon de 1904. Bartholdi décède malheureusement quelques semaines plus tard, et le monument est achevée par Hubert-Louis Noël, puis inauguré en janvier 1906 au Rond-point de la Révolte, en face de la Porte des Ternes. Il est finalement démantelé et détruit sous l’Occupation. Comme pour le financement colossal de la Statue de la Liberté, celui du Monument en l’honneur des aéronautes du siège de Paris et des héros des postes, des télégraphes et des chemins de fer a nécessité le lancement d’une souscription. Cette dernière a donné l’occasion de vendre des réductions en bronze de ce sujet. Notre exemplaire, offert à l’un des participants de la souscription, comme l’indique le cartel fixé à la base, appartient à une petite édition d’une qualité remarquable dont on connait au moins deux autres exemplaires, l’un conservé au musée Bartholdi à Colmar (n°inv.SB 53) et le second au musée de l’Air au Bourget (inv.11012.)
After FRÉDERIC AUGUSTE BARTHOLDI (Colmar, 1834-Paris, 1904). "Lion of Belfort". Patinated bronze. Signed and with foundry stamp. Measurements: 8 x 3,5 x 12 cm. Frédéric Auguste Bartholdi was a French sculptor and painter. In 1853, Bartholdi presented a sculptural group with the theme of the Good Samaritan to the Paris Salon of 1853. The statue was later recreated in bronze. Two years after his Salon debut, his hometown of Colmar commissioned him to create a bronze sculpture of Jean Rapp, a Napoleonic general. In 1855 and 1856, Bartholdi traveled through Yemen and Egypt with fellow travelers such as Jean-Léon Gérôme and other "orientalist" painters. The trip sparked Bartholdi's interest in colossal sculpture.In 1869, Bartholdi returned to Egypt to propose the construction of a new lighthouse at the entrance to the newly completed Suez Canal. The lighthouse, which was to be called Egypt Brings Light to Asia and was in the form of a huge draped figure holding a torch, was not commissioned. Both the khedive and Lesseps rejected Bartholdi's statue proposal, citing its high cost.
AUGUSTE BARTHOLDI (1834-1904) Tête de l'Afrique Vers 1863 Plâtre patiné préparatoire au monument Bruat, Colmar (Petits accidents) Head of Africa, sculpture in patinated plaster by Auguste Bartholdi, circa 1863 HAUT. 58 CM - H. 22,8 IN.
AUGUSTE BARTHOLDI (1834-1904) Tête de l'Amérique Vers 1856-1863 Plâtre patiné préparatoire au monument Bruat, Colmar (Petits accidents) Head of America, sculpture in patinated plaster by Auguste Bartholdi, circa 1856-1863 HAUT. 58 CM – H. 22,8 IN.
Frédéric-Auguste Bartholdi Colmar 1834 - 1904 Paris La Liberté éclairant le monde (Liberty Enlightening the World) signed: Bartholdi., inscribed: 4th July / 1776, and numbered: Modèle du Comité N°36, and with the Union Franco-Américaine stamp terracotta, on a wood base figure: 127cm., 50in. base: 57cm., 22½in.
Frédéric Auguste Bartholdi (1834-1904) Autoportrait présumé de Bartholdi 1890 Médaillon en bronze Signé et daté " Bartholdi / 1890 " sous l’oreille Diam. 40 cm Bien que formé à la peinture au sein de l’atelier d’Ary Scheffer, Auguste Bartholdi se consacre à la sculpture auprès de Jean-François Soitoux. En 1854, il rencontre un premier succès en remportant le concours pour le monument du général Rapp lancé par la ville de Colmar dont il est originaire. Sous le Second Empire et le Troisième République, il est souvent sollicité pour la réalisation de sculptures monumentales s’inscrivant dans d’importants projets urbains. On lui doit principalement Le Lion de Belfort et la Statue de la Liberté.
After Frédéric Auguste Bartholdi, French, 1834-1904, a French allegorical bronze of Asia from the monument to Admiral Bruat, Early 20th century, The partially draped female figure depicted reclining on a tiger skin with an elephant headdress, with cast signature A. BARTHOLDI, 32.5cm high, 47cm wide, 19cm deep
Typically modelled with arm aloft and holding a book, the book bearing date 15 Novembre 1889, the side with inscriptions for A BARTHOLDI, THIEBAUT FRERES and with a Musee de Louvre button. 275 cm. high, the plinth 73 cm. square. This Louvre Museum copy is a replica of the 1889 version of The Statue of Liberty which was given by Bartholdi to the Musee du Luxembourg
After FRÉDERIC AUGUSTE BARTHOLDI (Colmar, 1834-Paris, 1904). "Lion of Belfort". Patinated bronze. Signed and with foundry stamp. Measurements: 8 x 3,5 x 12 cm. Frédéric Auguste Bartholdi was a French sculptor and painter. In 1853, Bartholdi presented a sculptural group with the theme of the Good Samaritan to the Paris Salon of 1853. The statue was later recreated in bronze. Two years after his Salon debut, his hometown of Colmar commissioned him to create a bronze sculpture of Jean Rapp, a Napoleonic general. In 1855 and 1856, Bartholdi traveled through Yemen and Egypt with fellow travelers such as Jean-Léon Gérôme and other "orientalist" painters. The trip sparked Bartholdi's interest in colossal sculpture.In 1869, Bartholdi returned to Egypt to propose the construction of a new lighthouse at the entrance to the newly completed Suez Canal. The lighthouse, which was to be called Egypt Brings Light to Asia and was in the form of a huge draped figure holding a torch, was not commissioned. Both the khedive and Lesseps rejected Bartholdi's statue proposal, citing its high cost.
Frederic-Auguste Bartholdi (French, 1834-1904), The Lion of Belfort, bronze bas relief plaque, incised signature, mounted on wooden stand, 14.5cm x 23cm
Frédéric-Auguste BARTHOLDI Colmar, 1834 - Paris, 1904 Vue de la statue de la Liberté dans la baie de New York Aquarelle Dédicacée et signée 'a son ami Pailleron ABartholdi' en bas à gauche (Petites rousseurs) The statue of Liberty, watercolour, signed, by F.-A. Bartholdi h: 9 w: 12,50 cm Provenance : Collection particulière, Normandie Commentaire : Frédéric-Auguste Bartholdi avait pour habitude d'offrir en cadeau à ses amis de petites aquarelles représentant sa fameuse 'Statue de la Liberté' ou 'Liberté éclairant le monde'. Cette sculpture monumentale, qui fut offerte en 1886 par le peuple français au peuple américain en signe d'amitié constitue l'œuvre la plus importante du sculpteur. Notre feuille est ici dédicacée à Pailleron, sans doute le dramaturge Edouard Pailleron, contemporain du sculpteur. On connait une autre aquarelle dédicacée à ce même ami, passée récemment sur le marché (vente anonyme ; Paris, Hôtel Drouot, Couteau-Bégarie & ass., 28 novembre 2018, n°337). Estimation 6 000 - 8 000 €
BARTHOLDI FREDERIC AUGUSTE: (1834-1904) French sculptor, best known for designing the Statue of Liberty ('Liberty Enlightening the World'). A.L.S., Bartholdi, one page, 12mo (folding Telegramme stationery), n.p. (Paris), 18th December 1896, to Dr. Gaubert, in French. Bartholdi regrets to inform his correspondent that he won't be able to come that evening, explaining 'Je suis pris par un bete mal de dents qui m'abrutit' (Translation: 'I am taken by a beastly toothache which stupefies me') and also asking for his regrets to be passed to another individual who Bartholdi had previously advised that he would be there. A couple of very light, extremely minor creases, otherwise VG
Scultura celebrativa del monumento inaugurato in occasione della Fête des Aéronautes du Siege il 28 gennaio 1906 e distrutto durante la Seconda Guerra Mondiale. ¶Il modello è stato presentato nel 1879, inaugurato nel 1906 a Neuilly-sur-Seine, destinato alla rifusione nel 1941.
Firma Bartholdi incisa alla base; iscrizione \Modele du Comite N. 36\” Timbro incusso \"Union Franco Americane\".¶Scultura commemorativa fatta eseguire in numero limitato dal comitato franco americano per la consegna della Statua della Libertà, dono della Francia al popolo degli Stati Uniti"
BARTHOLDI FREDERIC AUGUSTE: (1834-1904) French Sculptor, famous as the designer of the Statue of Liberty. Two A.L.S, `Bartholdi´, one page each, 12mo, Paris, November 1895, to Doctor Goubert, In French. The two documents being short autograph letters to telegrams, one being a card telegram, Bartholdi stating `Je suis victime d´un farouche Coryza et ne pourrai pas venir ce soir au diner…´ (Translation: `I am the victim of a fierce Coryza and will not be able to come to dinner tonight…´) and to the second letter stating `Je suis de retour a Paris et j´aurai le plaisir de me rendre a la convocation pour demain…´ (Translation: `I am back in Paris and will be pleased to attend tomorrow´s meeting…´) Postmarked to the verso. Small overall minor creasing, otherwise G, 2
Frederic-Auguste Bartholdi (French, 1834-1904), The Lion of Belfort, bronze bas relief plaque, incised signature, mounted on wooden stand, 14.5cm x 23cm
Frederic Auguste Bartholdi, Lion De Belfort, an Art Nouveau bronzed figure of a lion reclining in front of a rock, on green marble base, signed in cast, A Bartholdi, JB Schmitt Editeur a Belfort, 20.5cm high
Frédéric Auguste Bartholdi (1834-1904) Autoportrait présumé de Bartholdi, 1890 Médaillon en bronze Signé et daté " Bartholdi / 1890 " sous l’oreille Diam. 40 cm On y joint un document identifiant le portraituré et indiquant le fondeur Thiébaut Frères Paris Bien que formé à la pein- ture au sein de l’atelier d’Ary Scheffer, Auguste Bartholdi se consacre à la sculpture auprès de Jean-François Soitoux. En 1854, il rencontre un premier succès en remportant le concours pour le monument du général Rapp lancé par la ville de Colmar dont il est originaire. Sous le Second Empire et le Troisième République, il est souvent sollicité pour la réalisation de sculptures monumentales s’inscrivant dans d’importants projets urbains. On lui doit principalement Le Lion de Belfort et la Statue de la Liberté.
After Frederic-Auguste Bartholdi (French 1834-1904), "Martin Schongauer", undated, patinated bronze sculpture depicting the artist standing with a book, signed in mold on right side of base. Note: The original was modeled in 1857, exhibited at the Salon of 1861, and in 1863 installed in the cloister of Unterlinden. Approx. h. 16.5", w. 4.75", d. 5".
After Frederic-Auguste Bartholdi (French, 1834-1904). Bronze model of Statue of Liberty, by the Musee Bartholdi (Colmar, France), no. 68/4000. A cast bronze model of Frederic-Auguste Bartholdi's Statue of Liberty by the Musee Bartholdi, Colmar, France. On the verso is a plaque which reads "Modele original de la statue / de la liberte par Bartholdi no. 68/4000 / Musee Bartholdi, Colmar, France c SLCC". Bartholdi's Statue of Liberty - inspired by Libertas, the Roman goddess and personification of liberty and freedom - was a gift to the USA from France prompted by the abolition of slavery in America. Just like Bartholdi's colossal statue which was dedicated on October 28, 1886, this model of Lady Liberty wears a crown with spikes symbolizing rays of light, raises her flaming torch to the sky, and holds a tablet inscribed with the date of America's independence from England (4th of July 1776) while broken chains of bondage lie at her feet marking the end of slavery. Size: 19.375" H (49.2 cm) Note: A similar bronze was sold at Christie's, New York (January 23, 2015 - lot 57) for $8,750. That example was numbered 132. Provenance: private Conover, North Carolina, USA collection All items legal to buy/sell under U.S. Statute covering cultural patrimony Code 2600, CHAPTER 14, and are guaranteed to be as described or your money back. A Certificate of Authenticity will accompany all winning bids. PLEASE NOTE: Due to recent increases of shipments being seized by Australian & German customs (even for items with pre-UNESCO provenance), we will no longer ship most antiquities and ancient Chinese art to Australia & Germany. For categories of items that are acceptable to ship to Australia or Germany, please contact us directly or work with your local customs brokerage firm. Display stands not described as included/custom in the item description are for photography purposes only and will not be included with the item upon shipping. #171237
Frédéric-Auguste BARTHOLDI (1834-1904) - Le pigeon voyageur, Circa 1900-1904 - Monument (1906) aux aéronautes du siège de Paris (1870-1871) Bronze à patine brune signé F A Bartholdi - Haut : 34 cm, Long : 46.4 cm, Prof : 18.8 cm Les pigeons entouraient ce monument détruit en 1941 (Neuilly, Porte de Ternes) Frédéric-Auguste BARTHOLDI (1834-1904) - The carrier pigeon ( small size ) , Circa 1900-1904 - Monument (1906) to the aeronauts of the siege of Paris (1870-1871) Bronze with brown patina - Signed "F A Bartholdi" - Height : 34 cm, Length : 46.4 cm, Depth : 18.8 cm Pigeons surrounded this monument destroyed in 1941 (Neuilly, Porte de Ternes)
Frederic-Auguste Bartholdi (France, 1834-1904), circular bronze bas relief plaque depicting the bust of an unknown and bearded male subject, wearing glasses and attired in a coat and bow tie. Signed and dated lower right "Bartholdi 1890". 15 1/2" diameter. Provenance: Private Chattanooga, TN collection, acquired through Ainsworth Noah in Atlanta many years ago; said to have been salvaged from a Paris building that was being torn down. Note: Bartholdi is the French sculptor best known for designing the Statue of Liberty. Provenance: Private Chattanooga, TN collection.
"FREDERIC AUGUSTE BARTHOLDI (1834-1904) STATUE OF LIBERTYINSCRIBED: ""LIBERTYTHIS STATUE OF LIBERTY WAS CAST AND HAND DETAILED FOR WILLIAM HUBNERTITLE CONVEYED JULY 4, 1986 REGISTRATION NO A-1""37.25 BaseH 35 Without BaseThe base is 13 Wide 1100 OZ Silver. Good modern condition, the surface of the silver with very light tarnish. NAVIS Pack and Ship will be handling the shipping of all items from this auction. Go to: http://blockauction.gonavis.com/ for a shipping quote or: Email: MI1053@gonavis.com with a link to the lot that you would like to bid on along with your zip code."
Rare French Figure of The Statue of Liberty or "La Liberté Eclairant Le Monde" after the Model by Frederic Auguste Bartholdi (French, 1834-1904) , 1878-1886, copper-plated zinc, inscribed "Bartholdi/1875 Registered in Washington 31 August 1876 No. 9939 G", and with foundry marks "C 30 AVOIRON JC PARIS", h. 22 1/4 in., on a rouge marble base, overall h. 28 3/4 in Provenance: Christie's, Amsterdam, December 14, 2010, lot 159; Collection of Dr. Mark A. Geist, Providence, RI . Note: As early as 1878, Avoiron et Cie was authorized by Bartholdi to make copper-plated cast-zinc statues based on his four-foot high modele d'etude. Barthol di earned ten percent on all models sold, but the purpose of the casts was to raise funds for the monumental statue in New York harbor. The casts were made in four sizes, identified by a letter from A to D for 4-foot, 3-foot, 2-foot, and 16 inch high statues respectively. The present lot is indicated with the letter "C". Each letter is followed by a number, assumed to represent the model's sequence in casting. The present one is numbered 30. The Statue of Liberty Club notes only 12 worldwide examples of the model"C" in its census of Documented Avoiron Models.
Frédéric Auguste BARTHOLDI (1834-1904) Scène de plage Panneau Signée et daté en bas à droite "Bartholdi 1881". (Restauration) 21,5 x 12,5 cm Frédéric Auguste BARTHOLDI (1834-1904) Beach scene Sign signed and dated lower right "Bartholdi 1881". (Restoration) 21,5 x 12,5 cm
BARTHOLDI, FRÉDÉRIC-AUGUSTE (Colmar 1834 - 1904 Paris) : "Lion de Belfort"; Bronze, grünlich patiniert, a. Plinthe sig. "A Bartholdi" u. Giesser-Stpl. "Thiebaut Freres Fondeurs Paris"; H: 34 cm, B: 57 cm, T: 16 cm
Bartholdi Signature on Rare Statue of Liberty Souvenir Card A souvenir card depicting the Statue of Liberty signed by its French sculptor, Frederic-Auguste Bartholdi (1834-1904) as A. Bartholdi at top right. The printed stock card shows the Statue of Liberty silhouetted by the slanting rays of an auspicious sunrise. The card is undated, but Bartholdi probably signed it during one of his visits to the United States in 1871, 1876, 1885, 1886, or 1893. Minor mat burn along the bottom edge, and scrapbook album mounting traces verso. Else near fine. 5.75" x 3.125." After designing the Statue of Liberty, Bartholdi supervised its transport from France and oversaw its installation on Bedloe's Island in New York Harbor. The fundraising phase of this statue-erecting process would take years, and indeed long surpass the actual 100th anniversary of the United States. Yet once the Statue of Liberty Enlightening the World was installed in 1886, it fundamentally changed the New York skyline. More importantly, the massive 151-ft tall copper-clad sculpture of a standing woman also provided an indelible symbol of our national character. This item comes with a Certificate from John Reznikoff, a premier authenticator for both major 3rd party authentication services, PSA and JSA (James Spence Authentications), as well as numerous auction houses. WE PROVIDE IN-HOUSE SHIPPING WORLDWIDE!
Frédéric-Auguste BARTHOLDI Colmar, 1834 - Paris, 1904 La Liberté éclairant le monde Plâtre teinté dans la masse, estampage repris, et clous Signé 'ABartholdi' sur la terrasse Hauteur : 49,50 cm (19,49 in.) Liberty, tinted plaster, signed, by F. A. Bartholdi Bibliographie : en rapport : 'La Statue de la Liberté : L'exposition du Centenaire', Paris, musée des Arts décoratifs, 28 octobre 1986 - 1er février 1987 Commentaire : La 'Liberté éclairant le monde' a occulté par son aura extraordinaire celle de son sculpteur et continue d'apparaître comme le plus grand symbole de liberté universelle. A l'origine, l'idée de la commande pour les Etats-Unis vint d'Edouard de Laboulaye (1811-1883), homme politique français, fervent admirateur des penseurs et américanistes Alexis de Tocqueville et Benjamin Constant. Epris de libéralisme, il était convaincu que la France postrévolutionnaire ne parvenait pas à un équilibre entre liberté des institutions et régime constitutionnel stable. Laboulaye soulignait la distinction perdue entre culte de la Révolution pour la liberté de 1789 et révolution menée au nom du mépris de la liberté politique de 1793. En outre, il reprochait au système politique contemporain une aliénation de la souveraineté constituante par la puissance absolue du pouvoir législatif. Influencé par William Ennery Channing qu'il avait lu, Laboulaye apparaissait donc comme un philosophe politique, admiratif de la jeune pensée américaine. Dans la liberté qu'elle définissait, celle-ci avait une conception de perfectibilité infinie de l'individu, de goût du mouvement et des libres créations de la vie, contrairement à une idée plus européenne de progrès des mœurs et de la conscience collective. Cette énergie morale, il la transmit ou la partageait sans doute avec Auguste Bartholdi à qui la commande échut. Descendant d'une famille allemande, que ne laisse pas soupçonner le nom latinisé de " Barthold " à " Bartholdi ", Auguste naquit à Colmar où sa famille s'était établie au XVIIe siècle. Formé dans l'atelier d'Ary Scheffer, ce dernier lui décela un talent certain pour la sculpture. Suivant le chemin de ses contemporains et accompagné du peintre Jean-Léon Gérôme, le sculpteur partit pour l'Orient dans les années 1850. Traversant les paysages nouveaux d'Egypte, du Yémen, il croqua et dessina avidement ce qui l'entourait. Frappé par la monumentalité des statues colossales de pharaons, il tentera d'en retrouver la puissance sculpturale et l'aplomb dans l'œuvre dont nous présentons une esquisse préparatoire. Revenu en France, Bartholdi participa à de nombreux concours publics et se vit particulièrement sollicité par sa ville natale. Membre de la loge maçonnique locale, aimant à concevoir l'art dans la liberté, la liberté dans l'art, Auguste Bartholdi n'eut pu trouver plus noble commande que l'allégorie de Liberty Island. L'idée initiale de la Liberté éclairant le monde naquit au détour d'une allée de l'Exposition universelle de 1867. Bartholdi avait découvert, fasciné, le projet colossal de l'Isthme de Suez. Chantier mené par Ferdinand de Lesseps, l'ensemble s'inscrivait dans les grandioses aspirations égyptiennes. Le vice-roi Ismaïl souhaitait ainsi passer commande de grands phares destinés à border le littoral depuis Alexandrie jusqu'à Port-Saïd. Deux ans plus tard en avril 1869, le sculpteur proposait 'L'Egypte éclairant l'Orient'. Pour sa représentation de l'Egypte, Bartholdi prit le parti d'une allégorie féminine, en position dynamique, vêtue d'un léger voile tandis que son bras droit aurait brandit un flambeau tout destiné à éclairer les côtes égyptiennes à la nuit tombée. Si le projet ne retint pas l'intérêt de Lesseps et Ismaïl, sa première composition (fig.1, Colmar, musée Bartholdi) ne quitta pas l'esprit du sculpteur. Lors d'un voyage aux Etats-Unis en 1871, alors épris plus que jamais de l'idée que l'homme doit apprendre à penser librement et se perfectionner moralement au service de l'humanité, Bartholdi se rapprocha d'Edouard de Laboulaye dont le discours faisait écho à ses aspirations nourries du contact de la franc-maçonnerie. L'idée plut et la commande passée au nom du rapprochement franco-américain à l'occasion de la commémoration de l'Indépendance américaine de 1776 fut le cadre idéal pour adapter le projet rejetté quatre ans plus tôt par l'Egypte. Cadeau de la France aux Etats-Unis, le montage de la statue se fit rue de Chazelles à Paris, tandis que la structure métallique fut conçue par les ateliers de Gustave Eiffel. Notre plâtre teinté, estampage repris sur le modèle de la célèbre maquette Laboulaye (fig.2), constitue l'étape intermédiaire entre les premières pensées conservées au musée Bartholdi à Colmar et la composition définitivement figée pour l'éternité et qui éclaire encore aujourd'hui le monde depuis la baie de New-York. Notre 'Liberté' se tient la jambe gauche avancée, dégageant ses chevilles de chaînes tout juste brisées, son déhanché est plus prononcé que dans la version définitive et le bras gauche, abaissé et non relevé, tient un morceau de chaine et non encore la déclaration d'indépendance de 1776. La posture dynamique venue du contrapposto mène notre regard dans une spirale s'évanouissant avec la flamme tenue à bout de bras. Le regard est déterminé et rappelle ce que le sculpteur put écrire à propos des statues pharaoniques qui l'avaient tant impressionné, dont il évoquait " le regard bienveillant et impassible qui semble mépriser le présent et être fixé sur l'avenir illimité ". Le message de conquête et d'affirmation souhaité par le sculpteur évolua finalement au fil du temps. Notre œuvre, écho à l'original devenu symbole d'accueil aux exilés débarquant sur Ellis Island, demeure le témoignage historique des liens forts qui unirent la France et les Etats-Unis dès le XVIIIe siècle. Allégorie de la liberté, cette petite esquisse tout comme sa réalisation finale, sont l'œuvre d'un homme à l'âme engagée pour le bien-commun universel et le rayonnement des esprits libres. Estimation 40 000 - 60 000 €
Fréderic-Auguste Bartholdi (French, 1834-1904) Statue of Liberty La Liberté éclairant la Monde (Liberty Enlightening the World) Statue of American Independence (title filed with copyright application) zinc sculpture with copper clad bronze patination signed at base and dated 1875 inscribed at base: Registered in Washington, 31 Aout 1876, 9939-G stamped to base's side A 24, and inscribed Avoiron Paris Avoiron Foundry "A" Models of the Statue of Liberty Height: 54" and Diameter: 15" In his 1885 memoirs Bartholdi describes how the idea for the Statue of Liberty was conceived at a dinner party given by the French activist, Edouard-René Lefebre de Laboulaye in 1865.[1] Laboulaye was an intellectual and an authority on the American Constitution. "After 1776, America was often seen by the French as the realization of the political philosophy of the enlightenment, the embodiment of Liberty and Reason."[2] Leboulaye wanted the statue to be a gift directly from the people of France to the people of the United States – not a gift of government – a true expression of commonality and friendship between the citizens of each nation. Initially the plan called for the statue to be presented at the United States Centennial in 1876, and Laboulaye became the principal fundraiser for the project. At Laboulaye's urging Bartholdi journeyed to the United States in 1871 where he explored the country, solicited patronage for the statue, and chose Bedloe Island in New York harbor as the ideal site for his colossus. During the preliminary planning stages Bartholdi made several terra cotta casts of the Liberty figure with varying characteristics - by 1875 he had "produced a model of Liberty which established the figure with basic attributes as it appears today."[3] Work on the massive statue began shortly thereafter. In 1876 Bartholdi made a second trip to America in order to accompany the completed arm and torch of Liberty, due to be displayed in Philadelphia at the Centennial Exhibition. During this visit Bartholdi secured copyright 9939-G dated August 31, 1876 for a "Statue of American Independence" and deposited with the copyright office a photograph of his Liberty model[4] and a drawing of how the statue would look in New York harbor.[5] "By 1876…Bartholdi recognized the possibilities of small-scale reproductions of the statue as a means of recompense, for the statue's construction was an enormous drain on his personal finances. The principal founder to whom Bartholdi turned was Avoiron, a specialist in 'imitation bronze' – zinc with surfaces treated to resemble bronze - and with whom Bartholdi had a contract which paid him ten percent on all models of Liberty cast and sold by the foundry. In four sizes, with most casts individually numbered, Avoiron's production met with considerable success and represents the largest known number of replicas made in France."[6] The Avoiron A statues were modeled on Bartholdi's four –foot modèle d'étude, cast in zinc, and then electroplated in copper. Avoiron A casts of Liberty are distinctive in that examples bear Bartholdi's signature, the date 1875, the inscription "Registered in Washington, 31 Aout 1876," and the copyright number 9939-G. They are also cold-stamped on the circular base with the name of the foundry, Avoiron et Cie (or a variation), the letter "A" and a number. The Technical Examination Report/Proposal for Conservation Treatment by the Center for Archaeometry at Washington University confirms that the Avoiron model currently for sale at Caza Sikes does possess all of these distinctive A model features.[7] At the 1878 Exposition Universelle in Paris there is a photograph of an Avoiron A model clearly displayed next to the now finished head of Liberty.[8] It is worth noting that one of the inventions featured at the Paris Exposition was electric street lighting and Avoiron et Cie produced fixtures for electrical lighting. "While in the smaller two of four sizes the foundry [Avoiron] cast Liberty with a flame as part of the cast, the two larger sizes usually feature, not a cast flame, but fittings for either gas or electrical illumination."[9] These larger models sometimes featured an etched glass globe. Bartholdi ended his contract with Avoiron et Cie in 1886, so Avoiron A models can be reliably dated from c. 1878 until 1886. In 1986 Christie's New York held a special Centennial Exhibition, IMAGES OF LIBERTY, Models and Reductions of the Statue of Liberty 1867-1917, and published an accompanying catalogue with the same title. In this catalogue is a list of contemporaneously known examples of Avoiron A Liberty casts, including the current example being offered for sale, which is documented as residing in a Private Collection/Ohio. In the 1986 catalogue created by Christie's for the Centennial Exhibition there were only 7 known casts in the "A" size.[10] Insurance documents, correspondence, conservation reports, and photos further document this Liberty as an Avoiron A model. In 1980 it was shipped to the National Gallery of Art for review, and was subsequently recommended for conservation treatment to the Center for Archaeometry at Washington University, St. Louis. It has been listed as one of the known examples at least since 1984. 1. F.A. Bartholdi. The Statue of Liberty Enlightening the World, described by the sculptor Bartholdi. Ed. A.T. Rice. New York, 1885. p. 12-14. 2. Trachtenberg, Marvin. The Statue of Liberty. New York: The Viking Press, Inc., 1975. p. 25. 3. Kallop, Jr., Edward L. Images of Liberty. Models and Reductions of the Statue of Liberty, 1867-1917: Special Centennial Exhibition, January 25-February 15, 1986. New York: Christie, Manson & Woods International Inc., 1985. p. 7. 4. Kallop, Jr., p. 11. 5. Pictured in Liberty: The French-American Statue in Art and History. New York: Harper & Row, 1986. p. 99. 6. Kallop, Jr., p. 2. 7. Center for Archaeometry, Technical Examination Report/ Proposal for Conservation Treatment. Auguste Bartholdi/La Liberté ´Eclairant Le Monde, preliminary model dated 1875. St. Louis, MO: Washington University, February, 1981. 8. Kallop, Jr, p. 21. 9. Edward L. Kallop, Jr. and Catherine Holdeir. "Models and Reductions of LIBERTY." LIBERTY: The French-American Statue in Art and History. New York: Harper & Row, 1986. p. 225. 10. Christie's, New York. IMAGES OF LIBERTY, Models and Reductions of the Statue of Liberty 1867-1917. New York: Christie, Manson & Woods International, Inc, 1986. p. 22. Download Full Description HERE: https://cazasikes.com/wp-content/uploads/2020/01/Statue-of-Liberty-Barb.docx-1.pdf Download 1981 Conservation Report issued by the Center for Archaeometry (Washington University in St. Louis) HERE: https://cazasikes.com/wp-content/uploads/2020/01/StatueofLibertyConservationReport.pdf
BARTHOLDI FREDERIC AUGUSTE: (1834-1904) French Sculptor, famous as the designer of the Statue of Liberty. An excellent set of two documents by Bartholdy, the first being an A.L., three pages, 8vo, Paris, 3rd December 1883, on his personal printed stationery, to Georges Glaenzer, in French. Bartholdi states in part `Three days ago, I received the letter from your worthy father-in-law. I was astonished to see that the patent of which he sent me a copy bears no relationship to what I had. I set out to turn all my papers upside down, and lord knows there is a pile of them from the ten years I have been working for the Franco-American Union..´ further saying `Whatever the case, I thought it essential that competent people examine the question with all the documents, in order to determine if a disclaimer with Stuckle is necessary or if it is useless.. As I wrote you in my last letter, you must send me the document or documents to be signed once more, since I was clumsy enough to lose them..´ The bottom part of the third page with the signature has been removed. To the second A.L., one page, 8vo, n.p., n.d., Bartholdi lists three of his patents, the third being the Statue of Liberty one `Third Patent - No.11023, taken out by efforts of Mr. Pollock of Washington, February 18, 1879´ With edges slightly trimmed. G,2 £1500-2000 The U.S patent 11023 protecting Bartholdi design for the statue ''Liberty Enlightening the World'' was describing it as ''Statue of a female figure standing erect upon a pedestal or block.. The body is dressed in the classical drapery, being a stola, or mantle gathered in upon the left shoulder and thrown over the skirt or tunic The right arm is thrown up and stretched out, with a flamboyant torch grasped in the hand. The flame of the torch is thus held high upon above the figure .In the left arm is held a tablet, upon which is inscribed ''4th July 1776''..´
BARTHOLDI FREDERIC AUGUSTE: (1834-1904) French Sculptor, famous as the designer of the Statue of Liberty. A.N.S, `Bartholdi´, on his personal printed visiting card, bearing his name ''Aug.te. Bartholdi'', and his Parisian address at ''Rue Vavin, 38'', Paris, n.d., to an unidentified correspondent, in French. Written by Bartholdi in bold black ink to the front card, stating `Thank you for the address you have sent to me, I will look for it when season will start again.´ further sending his regards. EX £100-150
Frederic-Auguste Bartholdi (France, 1834 - 1904) Bronze Statue of Liberty Maquette numbered 36/150 and inscribed/signed near base. Height: 21.5 inches. Does not appear to have foundry mark. Bartholdi (1834-1904) was, in his lifetime, considered one of French statuary's most eminent representatives. He was made a Commander of the Legion of Honour in 1887 and awarded the Medal of Honour at the 1895 Salon. The importance of his career cannot be disassociated from modern New York life, with his most seminal works scattered throughout the city, such as the Statue of Liberty, and the full-size figure of Marquis de Lafayette located in Union Square Park.
The rare signature of French sculptor Auguste Bartholdi, renowned for his design of the Statue of Liberty, is signed on this lovely carte de viste (CDV) that accompanies a magnificent 5.375 X 2.875 original vintage sepia photograph taken of the Statue of Liberty standing tall on Liberty Island in New York harbor. The photograph is hand notated and initialed by the photographer “Leaving N.Y. Harbor, Aug 22, 1907,” matching the printed date and stamped name on verso. This is an interesting view shared with a large ship in the foreground of ‘Lady Liberty.’ The 2.5 X 4 CDV dates from within a few years of the Statue’s inauguration in 1886. Since then, the Statue of Liberty has welcomed generations of immigrants arriving from abroad. Comes with a certificate that unconditionally guarantees the authenticity of this item.
Auguste BARTHOLDI (Colmar 1834-Paris 1904) Indien dans les montagnes rocheuses Aquarelle sur traits de crayon noir Signé en bas à droite et situé en bas à gauche "Green river rocky mountains" Deux taches de part et d’autre Indian in the rocky mountains, watercolor over black pencil, signed lower right and located lower left: "Green river rocky mountains". 12 x 20cm - 4 3/4 X 7 7/8 IN. €1,000-1,500 On connaît une autre aquarelle du même sujet plus grande que la nôtre, datée de 1872 et conservée au musée Bartholdi à Colmar.
The rare signature of French sculptor Auguste Bartholdi, renowned for his design of the Statue of Liberty, is signed on this lovely carte de viste (CDV) that accompanies a magnificent 5.375 X 2.875 original vintage sepia photograph taken of the Statue of Liberty standing tall on Liberty Island in New York harbor. The photograph is hand notated and initialed by the photographer “Leaving N.Y. Harbor, Aug 22, 1907,” matching the printed date and stamped name on verso. This is an interesting view shared with a large ship in the foreground of ‘Lady Liberty.’ The 2.5 X 4 CDV dates from within a few years of the Statue’s inauguration in 1886. Since then, the Statue of Liberty has welcomed generations of immigrants arriving from abroad. Comes with a certificate that unconditionally guarantees the authenticity of this item.
Frédéric Auguste BARTHOLDI (1834-1904) Le génie dans les griffes de la misère. 1859. Bronze à patine noire nuancée sur socle en bronze. Signé, daté 1859 et marqué Amand Vétu éd. Titré sur le cartel du socle. H.: 117 cm. (Totale) Historique : Le modèle en plâtre fut présenté au Salon de 1859. Puis Bar- tholdi présente à l’Exposition Universelle de Sidney (Australie) le groupe de bronze qui lui valut un diplôme («Certificat of award. First degree of merit special »). Le seul autre exemplaire connu à ce jour fait partie des collections du musée Bartholdi de Colmar. Amand Vetu (et fils) était un éditeur de bronzes d’art, marchand d’ameublement et de réductions/ augmentations d’antiques ins- tallé quai Jemmapes à Paris dans les années 1850-60. Bibliographie : - P. Vidal et C. Kempf, Bartholdi 1834-1904, Par l’esprit et par la main, Les créations du pélican, 1994, p. 18. A bronze, brown patina statue, signed 1859, Amand Vétu éd. , titled, H: 46 1/16 in.
After Frederic-Auguste Bartholdi (French, 1834-1904) "Gilbert du Motier, Marquis de Lafayette" patinated bronze third quarter 19th century, inscribed "F. Barbedienne, fondeur" and with a "Reduction Mecanique/A Collas" foundry mark along edge of proper right side, cast signature and dated "1873" along edge of left side. h. 27-1/2", w. 11-3/4", d. 9-1/2" Notes: The original monumental sculpture of the Marquis de Lafayette, the French hero of the American Revolutionary War, is in New York's Union Square Park. A gift of the French residents of the city, it is a suitably impressive figure, resting on an elaborate carved granite pedestal. The sculptor of this work, Bartholdi, is most well-known for his "Liberty Enlightening the World" - colloquially "The Statue of Liberty", which is on Liberty Island in New York Harbor where it has grandly greeted visitors to th United States since its installation in 1886. This sculpture was also a gift of the French to the citizens of the United States.
Frederic Bartholdi, (French 1834 ~ 1904), a Continental patinated bronze model of the Lion de Belfort, late 19th century, on an integrally cast rectangular bronze base, entitled in the maquette to the front, atop rectangular green serpentine marble socle, 18cm high, 30cm long overall Bartholdi's most famed work was Liberty Enlightening the World, commonly known as the Statue of Liberty Provenance: The collection of the late Ronnie Kirkwood and George Dixon.
FRÉDÉRIC A. BARTHOLDI (1834-1904) - Figure of a Renaissance painter French sculpture in patinated bronze, representing Martin Schongauer. Traces of gilding. Signed. Dimension: 42.5cm.