Apostle, pen and ink on paper, attributed to Polidoro da Caravaggio (c.1499-1543).Tears and deterioration to the paper. It is backed with newer paper and taped into the mat. We did not remove it. There is a small ink stamp at the lower right. Artwork size is 6.25" x 15". Part two of a single-owner Lancaster, Ohio collection. We sold the first part of this collection last July. All sales final. Invoices above $2500 must be paid with cash, cashier's check or wire transfer. In-house shipping is available. Pickup is Tuesday, Oct. 15 from 1 pm to 3 pm in Carroll, OH or by appointment by Nov. 1. We can provide in-house shipping for this item. We pack once the lot is paid for. Once packed up we will send you an invoice for shipping and handling. Shipping questions: shipping@burnsbid.com Sales tax will be collected on all bidders. If tax exempt, make sure your certification is submitted with the bid platform.
Attribué à Polidoro CALDARA, dit Polidoro da CARAVAGGIO Caravaggio, 1495 - Messine, 1543 Scène de dissection nocturne Plume et encre brune Collé en plein sur un montage Mariette Inscriptions illisibles au verso dans la partie supérieure du dessin Inscription à la plume et encre brune au verso du montage : " …/ mr. Aucor ( ?) Chirurgien " (Epidermures éparses, manque en haut à droite) Nocturnal dissection scene, pen and brown ink, by Polidoro da Caravaggio h: 17 w: 25,50 cm Provenance : Collection Crozat, selon une annotation sur le cartouche en bas du montage ; Sa vente après décès, Paris, 1741, partie du n° 18 : "MICHEL-ANGE BUONAROTTI. Dix, 'idem' [Desseins], dont deux Desseins représentant Michel-Ange occupé à faire des dissections", acquis par Jean-Baptiste François Nourri pour 18 livres ; Collection Jean-Baptiste François Nourri ; Collection Pierre-Jean Mariette, son cachet (L.2097) en bas à gauche et son montage ; Probablement sa vente, Paris, 10 janvier 1776, partie du n° 236, lot divisé en huit pour la somme totale de 818 livres ; Collection Julien de Parme, sa marque écrite (L.1403) sur le montage ; Collection particulière, Pyrénées-Atlantiques Bibliographie : Pierre Rosenberg, 'Les dessins de la collection Mariette, Ecoles italiennes et espagnoles', tome II, Paris, 2019, p. 914, n° I1557 Commentaire : Longtemps considéré comme de Michel-Ange, ce dessin était accompagné dans la vente Crozat, dans un lot de dix oeuvres, d'une autre scène d'anatomie, maintenant conservée à l'Ashmolean Museum d'Oxford (inv. WA1846.143). L'image montre une scène de dissection éclairée par une torche plantée dans le sternum du cadavre. Les deux dessins, acquis par Mariette, étaient censés représenter Michel-Ange occupé à faire des dissections. Les anciens possesseurs se référaient en fait aux écrits d'Ascanio Condivi, disciple du maître et auteur de sa première biographie publiée en 1553. Condivi rapporte que Michel-Ange avait arrêté les dissections de cadavre car selon l'artiste, " elles avaient affecté son estomac au point qu'il ne pouvait plus manger ou boire salutairement ". Néanmoins, il discuta de son projet de traité d'anatomie avec un chirurgien reconnu, Messer Real de Colombo, qui lui fit livrer chez Condivi le cadavre d'un Maure, " Un jeune homme de belle allure, et si l'on peut dire, le plus approprié " ! Michel-Ange montra à Condivi " de nombreuses choses cachées et rares, qui n'avaient peut-être jamais été comprises " (voir Ascanio Condivi, 'The life of Michel-Angelo', Londres, 1976, pp. 97-98). L'anatomie scientifique s'était développée chez les Anciens (Galien était la référence) à partir de cadavres d'animaux ; ils considéraient le corps comme le siège de l'âme même après la mort et la dissection humaine était interdite. L'Eglise autorise dès le Moyen-Âge la dissection humaine sur les cadavres des condamnés à mort, des suicidés et des noyés. En 1435, Leon Battista Alberti, dans De Pictura, recommande aux artistes de réaliser des dissections. Léonard de Vinci fut celui qui alla le plus loin dans cette exploration, ne se contentant pas de vouloir parfaire son métier d'artiste et cherchant à découvrir le fonctionnement des organes. Ses recherches restèrent dans les cartons, mais il n'est pas impossible que Vesalius ait eu accès à certains de ses dessins, selon ceux qui ont analysé son 'De Humani Corpori' publié en 1543. Michel-Ange fit ses premières dissections dès les années 1490, mais il se contenta - si l'on ose dire - de perfectionner avant tout sa connaissance anatomique pour comprendre le corps et son apparence au travers du mouvement. De son projet de traité d'anatomie subsistent une douzaine de dessins datés vers 1515-1525 (voir H. Chapman, 'Michelangelo Drawings : close to the master', Londres, 2005, p. 143). Un dessin célèbre de Passerotti (musée du Louvre, inv. 8472, Recto) montre le maître dirigeant une leçon d'anatomie, entouré d'artistes. Ici, c'est l'anecdote frissonnante qui est traitée, avec une forme d'humour grinçant ; l'esquisse est tracée comme dans l'urgence, ce qui pourrait être dû à une forme de clandestinité de cette séance. Les artistes travaillaient généralement avec les cadavres que leur fournissaient les hôpitaux, selon les règles édictées par l'Eglise. Mais Vasari mentionne aussi que le Rosso avait fait déterrer des cadavres d'un cimetière de Borgo San Sepolcro en 1528 pour mener à bien ses études anatomiques. L'anatomie humaine était une des grandes préoccupations des artistes de la Renaissance, et l'on connaît de nombreux autres artistes qui se sont penchés sur la question, comme Bandinelli, Rosso, Allori et Battista Franco. Notre dessin présente une proximité stylistique avec Polidoro de Caravaggio indéniable, mais qu'il est difficile d'établir avec certitude. Alessandro Marabottini acceptait sans réserve le dessin d'Oxford ('Polidoro da Caravaggio', Rome, 1969, tome I, p. 315, n° 69, repr. tome II, pl. LXXXVIII). Pier Leone de Castris ('Polidoro da Caravaggio, l'opera completa', Naples, 2001) omet volontairement dans son ouvrage le dessin d'Oxford. Comme pour notre dessin, il réserve son opinion à une connaissance plus approfondie de ces dessins à la plume. On peut aussi rapprocher notre dessin de feuilles attribuées à Maturino ou même à Tamagni, sur la base du traitement en hachurage nerveux et des formes synthétiques des silhouettes, dont les pieds sont à peine indiqués. L'esprit macabre rappelle plutôt Rosso. On remarque aussi un autre dessin traitant d'une dissection conservé dans la collection Devonshire, donné par Marabottini à Polidoro (opus cité supra, n° 11a-b, p. 301, repr. tome II, pl. LXIX). Ce lot est vendu en partenariat avec Artcurial Toulouse - Maître Jean-Louis Vedovato. Estimation 20 000 - 30 000 €
Polidoro Caldara, called Polidoro da Caravaggio, Italian 1499-1543 The Rape of the Sabines; pencil, pen and black ink and grey wash on laid paper, inscribed 'Polidoro' (lower left), 18 x 51 cm., (unframed). Provenance: The estate of the late designer Anthony Powell. Note: Romulus, who is is seen at the left with his outstretched left arm, orders the Romans to search for the women. Cherubino Alberti (1553 - 1615) produced five engravings after Polidoro's original, the first of which corresponds to the present work. The National Gallery in Washington owns a set of proofs of the five plates printed on satin, before the dedication to Cardinal Francesco Barberini [2004.114.2]. See, also, the corresponding engraving held at the British Museum, London [1873,1213.283.1].
Gemäldepaar RÖMISCHER TRIUMPHZUG sowie BACCHANAL Jeweils Öl auf Leinwand. Doubliert. Je 34 x 100 cm. Die beiden Gemälde in extremem Längsformat, in Entsprechung antiker bzw. Renaissance-Friesmalereien oder -Reliefs. Möglicherweise wurden sie als Supraporten oder für Kabinettfelderungen geschaffen. Die Farbigkeit in beige-bräunlichem Camaieu lässt die Figuren im Sinne eines Steinreliefs erscheinen, jedoch mit völlig dunklem Hintergrund, vor dem sie sich betont abheben. Im erstgenannten Bild zieht ein römischer Triumphzug nach links. Die Hauptfigur, ein Feldherr oder Imperator, sitzt mit erhobenem Feldherrnstab und einer Siegespalme in der Linken auf einer Biga, von zwei Pferden gezogen. Er hält den Kopf zurückgewandt und blickt auf den behelmten Träger einer Legionsstandarte, dem zwei Krieger folgen. Dazwischen ein Mann mit Helm, der den Rotulus mit der Aufschrift „SPQR“ hochhält. Kannen und Amphoren tragende Frauen sowie ein Musiker mit Doppelaulos und Lorbeerkranz begleiten den Zug. Die Gefangenen, zwei davon in langen Philosophenmänteln, ziehen voraus, die Köpfe gesenkt. Am linken Bildrand ein geharnischter weiterer Standartenträger zwischen einem Jüngling mit erhobener Beuterüstung sowie einem weiteren, der mit geschultertem Beil einen jungen Stier führt, der zum Tempel als Opfertier geführt wird. Im Gegenstück wird das wilde Treiben eines antiken Bacchanals präsentiert. Die Ausführung in entsprechender Farbigkeit. Auch hier findet sich die Hauptfigur rechts im Bild, ein beleibter Bacchus mit Weinschale schwankend auf einem Esel reitend, gestützt von einem Satyr und einem Knäblein, der sein Bein sichert. Davor ein Ziegenbock, Symbol der Trunkenheit. In die rechte untere Ecke hat der Maler eine junge Frau eingefügt, darüber ein Hornbläser. Die linke Bildseite ist durch eine Herme betont, die mit einem Kranz geschmückt wird. Die gesamte Mittelzone wird von musizierenden Jünglingen und Mänaden im Tanzschritt belebt, mit Triangel, Serpenthorn, Doppelauloi, Becken oder Tyrsosstab. Der bocksbeinige Pan mit Panflöte. Die Darstellungen evozieren den Eindruck eines Hochrelief-Plastikfrieses, dies besonders durch die Beleuchtung von links, mit entsprechenden Schattenbildungen und dunkler gehaltenen Figuren im Hintergrund. A. R. Der Maler ist bereits in den Künstlerviten des Vasari genannt. Demnach kam er 18-jährig nach Rom, wo er wahrscheinlich in der Werkstatt von Giulio und Giovanni da Udine lernen konnte. Schon zu seiner Zeit wurde er durch seine Malereien an Gebäudefassaden in der monochromen Sgraffito-Technik gerühmt. Die Thematik seiner Werke greift fast ausschließlich in die Mythologie der Antike. Verblüfft hatte er seine Zeitgenossen mit seiner damals völlig neuen Chiaroscuro-Malerei. Auch die Tatsache, dass er als Erster in Italien Heiligenfiguren als winzige Gestalten in die Landschaften setzte, lediglich als Staffagefiguren. Die Pestepidemie und der Sacco di Roma veranlassten den Maler 1527 nach Neapel zu ziehen, um dann 1530 in Messina Aufträge des spanischen Konsuls anzunehmen, Werke die jedoch dem Erdbeben 1908 zum Opfer fielen. Die letzte Nachricht über seine Tätigkeit ist der Auftrag der Stadt Messina, den Sieg Kaiser Karls V auf ein hölzernes Triumphtor zu malen. 1543 starb der Maler eines gewaltsamen Todes. Quellen nennen seinen Schüler Tonno Calabrese als den Täter, der angeblich an sein Geld kommen wollte. Neben Deodato Guinaccia waren Antonio Catalano, Stefano Giordano, Jacopo Vigneri und Mariano Riccio seine letzten Schüler in Messina. Werke seiner Hand finden sich in zahlreichen bedeutenden öffentlichen Sammlungen und Museen, wie der National Gallery London, der Royal Collection Windsor, dem Nationalmuseum Capodimonte Napoli oder dem Metropolitan Musem of Art, N.Y. Literatur: Die beiden Gemälde sind besprochen und abgebildet in: Maurizio Marini (Hrsg.), Polidoro Caldara da Caravaggio. L‘Invidia e la fortuna, Venedig 2005. (1281111) (11) Polidoro da Caravaggio, ca. 1497 Caravaggio – ca. 1543 Messina A pair of paintings ROMAN TRIUMPHAL PROCESSION and BACCHANALEach oil on canvas. Relined. 34 x 100 cm each. The two paintings are painted in an extreme landscape format in line with antique or Renaissance frieze paintings or reliefs. They may have been created as overdoor paintings or as cabinet landscaping. The colouration in brownish-beige Camaieu makes the figures look like stone reliefs standing out against a completely dark background. Works by his hand are held in numerous important public collections and museums, such as the National Gallery London, the Royal Collection Windsor, the National Museum Capodimonte Napoli or the Metropolitan Museum of Art, N.Y Literature: Both paintings are illustrated and discussed in: Maurizio Marini (ed.), Polidoro Caldara da Caravaggio. L’invidia e la fortuna, Venice 2005.
POLIDORO CALDARA DA CARAVAGGIO (Bergamo 1492 - Messina 1543) Seguace di Olio su tela "San Giovanni nel deserto" entro cornice in legno dorata non coeva (restauri). cm 21 x 27.
CALDARA POLIDORO, DETTO POLIDORO DA CARAVAGGIO (1497 - 1543). Sybil Phrygia (or Triburtina) and an angel.. It has written on the left, with pen and cursive handwriting seven-nineteenth century: ""Raphael"". Mark of the Desperet Collection lower left. The artwork is accompanied by a test by Emilio Negro. Provenance: already E. Desperet Collection, Paris, before 1865. Sale Desperet, Paris, June 3th-7th 1865 (Clément expert): drawing sold as ""Raphaël, Sibylle Phrygia. Private Collection. Reference publication for the mark: Frits Lugt, Les marques de collections de dessins & d'estampes, 1921 edition and new edition online 2010, n. 721. For the full text please contact the auction house.. Cm 16,40 x 24,80.
CALDARA POLIDORO, DETTO POLIDORO DA CARAVAGGIO (1497 - 1543). The Rape of the Sabines.. Preparatory drawing for the frieze of Palazzo Milesi, Rome, on the reverse. Provenance: Sale Nassetta in 1875 (as written in pencil, with twentieth-century handwriting, on the reverse of the counter-foundation). The artwork is accompanied by an expertise by Emilio Negro. For the full text please contact the auction house.. Cm 16,40 x 17,20.
Attributed to Polidoro Caldara, called Polidoro da Caravaggio (Caravaggio Studies for a Deposition and Lamentation pen and brown ink, brown wash heightened with white, watermark arrow above a circle, an anchor to the right 7 3/8 x 5 1/8 in. (18.8 x 13 cm)
Polidoro da Caravaggio (1499-1543, Italian), "Neptune," 19th c.,engraving of the sculpture, and Hubert Quellyn (1619-1687, Flemish), "Mercure," 19th c., engraving of the sculpture, pair presented in gilt and relief gesso frames with marbled mats, H.- 14 1/4 in., W.- 9 1/2 in. (2 Pcs.); framed H.- 24 in., W.- 18 7/8 in., D.- 1 1/2 in.
UGO DA CARPI (ACTIVE 1502-32) AFTER RAPHAEL (1483-1520) OR POLIDORO DA CARAVAGGIO (CIRCA 1499-CIRCA 1543) Saint Peter preaching the Gospelchiaroscuro woodcut printed from three blocks in black and two shades of mushroom, circa 1510-1520, on laid paper, without watermark, a good impression of the second, final state, with Andreani's address, printing with gaufrage versoBlock 148 x 386 mm.Sheet 152 x 390 mm.
Polidoro CALDARA, dit Polidoro da CARAVAGGIO Caravaggio, 1495 - Messine, 1543 Joseph jeté dans le puits par ses frères Plume et encre brune, lavis bistre et rehauts de gouache blanche sur trait de crayon noir Collé en plein sur un montage ancien français du XVIIIe siècle (Epidermures en bas à droite et le long du bord gauche, ancienne pliure verticale au centre, deux petites traces rouges en bas à gauche) Joseph thrown into a well by his brothers, pen and brown ink, brown wash and white highliths, by P. da Caravaggio h: 21 w: 27 cm Provenance : Collection Alphonse d'Este (1591-1644), son cachet (L.112) contrecollé au verso du montage ; Collection particulière, Normandie Commentaire : Œuvres en rapport : Atelier de Raphael, 'Joseph vendu par ses frères', Vatican, Loges de Léon X (fig. 1) Pour des dessins proches techniquement, voir dans la monographie de Pierluigi Leone de Castris, 'Polidoro da Caravaggio' (Naples, 2001) : 'L'entrée du Christ à Jérusalem', Florence, cabinet des Offices, n° D75, fig.98 'L'arrestation du Christ', Windsor Castle, the Royal Collection, n° D287, fig.18 'La résurrection de Lazare', Hambourg, Kunsthalle, n° D1, fig.100 'Le transport du Christ au sépulcre', Paris, musée du Louvre, n° D199, fig.102 Arrivé à Rome comme maçon, Polidoro travaille d'abord sur le chantier des Loges de Raphaël (1514-1519) comme manœuvre avant de se lier avec les peintres et d'intégrer l'équipe de Raphaël. On lui attribue d'ailleurs justement l'exécution du Joseph vendu par ses frères dans le cycle consacré à l'histoire de Joseph. Notre dessin reprend le même thème environ 10 ans plus tard, en le situant légèrement entre deux épisodes classiques de l'histoire de Joseph : ses frères sont en train de le jeter au fond du puits lorsque l'un d'eux voit surgir au loin une caravane de marchands et suggère à ses frères de le vendre plutôt que de l'abandonner à la soif et à une mort certaine (Genèse, 37, 22-25). L'action de groupe est parfaitement rendue par l'agglutinement des personnages, mais cet aspect ramassé déjà sensible dans ses premières œuvres, et marque de fabrique de ses processions sur les façades de palais romains, est renforcé ici par l'agitation des figures. Elles sont prises dans le mouvement contradictoire des deux actions. Joseph est au centre de la composition en cercle, au centre de l'attention de ses frères malgré eux. Si l'influence mauvaise du groupe est terriblement pointée, la rédemption par l'action de l'un d'entre eux laisse ici entrevoir le pardon de Joseph et son prolongement, le pardon de Dieu pour nos péchés. La scène de Joseph jeté dans une citerne puis extirpé est interprétée comme une préfiguration de la mise au tombeau et de la résurrection du Christ. Estimation 200 000 - 300 000 €
Polidoro Caldara, called Polidoro da Caravaggio (Caravaggio 1499-1543 Messina) Design for a banner with Saint Mark and two friars black chalk, pen and brown ink, brown wash, heightened with white on greenish-blue paper 16 ¾ x 11 3/8 in. (42.5 x 28.4 cm)
Caravaggio, Polidoro Caldara da (Caravaggio 1492–1543 Messina) Kopie (16. Jh. ?) nach Zug der Bauern. Braune Federzeichnung, braun laviert und weiss gehöht. 13,8x41,2 cm. Im alten Sammlungspassepartout montiert und gerahmt.
Caravaggio, P. da (1499-1543) (after). (Mythological scene). Engraving, 1545, 40x24,5 cm., "Pollidor inventor", "Salamanccha Excudeb 1545" and a 4-line Latin caption engr. below the image. - Dark impression; doubled with Japanese; closed vertical tear in centre lower part; left and right edge cut sl. short. = SEE ILLUSTRATION PLATE CXIX.
Bubb > Kuyper: Auctioneers of Books, Fine Arts & Manuscripts
POLIDORO CALDARA, DA CARAVAGGIO. Raccolta di Vasi. Roma, Marco Sadeler excudit, 1605 Folio, mm. 276x270; Binding of eighteenth century, half calf and marbled boards, spine with 5 ribs with gilt title on label; 9 copper plates engraved 230x167 mm, Title page etched 270x178 mm.Second State. The designer\'s name appears, in arabesque types, on each plate, the name of the publisher, who worked in Rome is at the bottom right, the engraver is quoted in the Title Page, whose the full title is: Vasa in Polydoro Carauagino pictore antiquitatisq. imitator prestantiss. inuent. Egidius Sadeler S.C.M.tis sulptor in aes incidi iussit et edidit Pragae year 1605.Provenance: old stamp collection on the edge of title-page: S. in an oval. Bookplate "Biblioteca Duilio e Sonia de Polo Saibanti" pasted on inside cover. SALVIATI Francesco. EGIDIUS SADELER. Quattro disegni di coltelli. [Roma], Marco Sadeler excudit, [1605] 2 numbered copper plates, leaves mm. 372x260, engravings 246x115. Second state. . (1 volume)
POLIDORO CALDARA Dit POLIDORO Da CARAVAGGIO (Caravaggio 1499 - Messine 1543) Au recto : le transport au Sépulcre, la Déploration et la Mise au Tombeau Au verso : la Déploration Plume et encre brune (recto) et lavis (verso) 17,4 x 23,8 cm (Plusieurs manques et déchirures, taches et pliures, taches de gouache. Fragment) Provenance : Ancienne collection Richardson, son cachet dans le bas et montage original au verso les inscriptions de classement : " BB - 50-TH-63/H " (L.2983)) Ce splendide dessin inédit peut-être rapproché de plusieurs oeuvres de sujet proche. Dans les peintures, " Le Transport du Christ au Sépulcre " conservé à Naples au musée de Capodimonte (voir Piles Luigi Leon de Castris "Polidoro di Caravaggio", Napoli, ed. Electa, 2001, fig. 62, p.240) et la " Pieta " conservée à Palerme à la Galleria Regionale de la Sicilia (op. cité supra p.434 fig.97). Parmi les dessins, de nombreuses représentations de " Pieta " se rapprochent de la scène centrale (op. cité supra, fig.52, p.234, fig. 291, p. 253, fig. 355, p.300, fig. 358, p.301, fig. 480, p.400) La technique du recto peut être comparée plus spécifiquement avec une feuille conservée à la Witt Library (op. cité supra fig.52, p.57), une étude pour une " Vierge de Miséricorde " aux Offices (op. cité supra fig. 336, p.283) et une feuille d'esquisse pour un saint Jean-Baptiste du British Museum (op. cité supra, fig. 484, p.401). On peut rapprocher l'étude au lavis (du verso) d'une " Montée au Calvaire " conservée à Palerme (op. cité supra, fig. 394, p.344). La composition narrative avec les trois étapes de la Mise au Tombeau est à rapprocher de la " Pieta " peinte sur bois conservée à Palerme, où l'on distingue le transport du corps du Christ depuis le Golgotha à gauche de la Pieta, et sur la droite, la caverne pour la Mise au Tombeau. Ref. 570-6
Attributed to the Studio of Polidoro da Caravaggio (1499-1543) pen, brown ink and wash heightened with white, Ceres, Exhibited in America in the 1960's, 8.25 x 4.5in.
Bacchus. Statue in einer Nische. Kupferstich von Antonio Carenzani nach P. Caldara 1613. - Mit den Namenszügen der Künstler, Datum, Titel "Bachus", Ortsbezeichnung "Romae in Monte Quirinali" und der Blattnummer "7" in der Platte. 34,7 x 21,9 cm. Schwach stockfleckig. Mit schwachen Knickspuren und winzigem Randeinriß. [sg]
Polidoro Caldara called Polidoro da Caravaggio Italian, 1492-1543 Antique Relief of a Naval Battle Numbered N 2677 (ul) and inscribed indistinctly Guid...vial (?) (lr); inscribed on the reverse N. 2677/di Giulio Rno (Romano)/vedi Mantova Brown ink and wash heightened with white on several pieces of joined oatmeal paper Sight 8 1/4 x 24 inches (21 x 61 cm) Toned and slightly faded. Condition commensurate with age. Paper is creased in several places, with each crease being roughly 3-4 inches apart. Scattered discolorations throughout. Also scattered tears/holes throughout, most pronounced at the upper left and bottom edge. Paper is slightly buckled beneath the frame.