(Ferrara 1501–1556) The Mystic Marriage of Saint Catherine, oil on panel, 58 x 47 cm, framed Provenance: probably sale, Christie’s, London, 6 July 1889, lot 107 (as Parmigianino); probably Collection of Horace Smith-Bosanquet (1829–1907), Broxbournebury Manor; sale, Cheffins, Cambridge, 20 September 2023, lot 42 (as late 16th-century Follower of Parmigianino); where acquired by the present owner We are grateful to David Ekserdjian for endorsing the attribution of the present painting on the basis of a photograph. Girolamo da Carpi (1501–1556) was a painter and also an architect, active primarily in Ferrara and Bologna. His work, such as the present painting, reflects the refined elegance and sophisticated stylistic synthesis characteristic of Emilian Mannerism. He was primarily influenced by Parmigianino, as well as by Raphael and Correggio. The present composition can be stylistically compared to Parmigianino’s Madonna di San Zaccaria, dated circa 1530 (Gallerie degli Uffizi, Florence, inv. 1890 no. 1328). Da Carpi employs a similarly elegant linearity and an intimate, lyrical approach in his depiction of religious subjects. His figures in the present work exhibit elongated proportions, fluid drapery, and a serene, almost ethereal expressiveness, similar to Parmigianino. Girolamo da Carpi was also esteemed as an architect, working extensively for the court of the Este in Ferrara, particularly on the Castello Estense. His ability to merge classical and Mannerist elements in both painting and architecture underscores his role as a transitional figure bridging High Renaissance clarity and Mannerist experimentation. Though less well known than Parmigianino, he was one of the most important artists in 16th century Emilia.
Girolamo da CARPI (Ferrare, 1501 - 1556) Portrait d'homme au chapeau noir et aux gants Panneau de peuplier, une planche, renforcée Un cachet de cire rouge au dos au verso Sans cadre Portrait of a gentlman wearing a black hat and gloves, poplar panel, by G. da Carpi 23.23 x 16.54 in. 59.0 x 42.0 cm Provenance : Collection Charles Marcotte d'Argenteuil (1773-1864), au château du Poncelet, aux environs de Meaux, jusqu'en 1995 ; Puis par descendance ; Collection particulière, Charente La carrière de Girolamo da Carpi est entièrement liée à sa ville natale. Il se forme à Ferrare dans l’atelier de Garofalo, puis obtient, à la mort de Dosso Dossi, le poste de premier peintre de la cour du duc Hercule II d’Este (1508-1559). Pour autant, il assimile les dernières innovations des maîtres de la Haute Renaissance, qu’il observe, puis synthétise au cours de ses voyages. A Florence en 1534-1535, il découvre Pontormo et Bronzino, puis effectue deux séjours à Rome, l’un en 1525 et l’autre entre 1549 et 1553, au cours desquels il copie Raphaël et Sebastiano del Piombo. Dans sa propre région, il a un accès privilégié aux œuvres de Corrège et de Parmesan à Parme et à Bologne, et grâce à son amitié avec l’Arétin, poète de la cour de Ferrare, il connaît aussi les portraits du Titien. On perçoit dans notre tableau l’incroyable émulation créative de ces grands exemples qui, comme lui, étaient à la fois peintres d’histoire et portraitistes. Girolamo da Carpi retient la monumentalité, le rapport naturel au modèle qui se sont imposés depuis Léonard de Vinci et Raphaël (songeons par exemple à son portrait de Bindo Altoviti (1491-1557) conservé à la National Gallery of Art de Washington). Notre œuvre présente une idéalisation qui s’inspire des Florentins, tels Francesco Salviati 1 et Jacopino del Conte, une élégance et une certaine sophistication proche des effigies de Parmesan. Une étude comparative de portraits masculins de ces peintres permettrait de suivre l’évolution de la mode des couvre-chefs masculins, qu’ils ont aimé représenter ; le nôtre est bien la toque à fond plat en vogue dans les années 1540 2. Le fond uni vert-gris s’accorde à la couleur des yeux du modèle. Notre panneau peut être comparé avec les plus beaux portraits de Girolamo da Carpi. Nous pouvons évoquer ici le Jeune Homme écrivant (c. 1526-1527, collection privée), le Portrait de Girolamo de Vincetti (1533-1535, Naples, Galerie nationale de Capodimonte), le Gentilhomme avec une clepsydre (1529, collection privée) ou encore le Gentilhomme au col en fourrure (c. 1545-1550, Seattle Art Museum). On y observe une manière identique de traiter et d’occuper les mains, l’une sous l’autre. Elles esquissent sur notre panneau un élégant mouvement par lequel l’index de la droite se glisse dans le vêtement en cachant une partie de la chaine du collier, et laissant apparaître le pendentif. La gauche serre une paire de gants. Sa position sociale est indiquée par les bagues finement décrites, alors que les manches blanches de la chemise s’échappent, plissées en cascade, donnant une touche de naturel. On ne s'étonnera pas que ce tableau ait plu à Charles Marcotte d'Argenteuil (1773 -1864), ami intime de Jean-Dominique Ingres 3, qu’il avait connu à Rome en 1810. Les deux hommes partageaient le goût des portraits aristocratiques du maniérisme italien, lesquels ont souvent servi d’inspiration au peintre de Montauban. 1- Peint sur marbre, le Portrait de Bindo Altoviti âgé, passé en vente comme de Girolamo da Carpi (Sotheby's, Londres, 3 décembre 2008, n° 35) a depuis été rendu à Francesco Salviati, et est entré au Metropolitan Museum de New York l’année dernière. 2- Il se présente sans bords retroussés sur les oreilles, comme au début du siècle. 3- Ingres peignit le portrait de son ami Charles Marcotte dans un style qui n'est pas sans rappeler les grands portraitistes de la Renaissance (Huile sur toile, 93 x 69 cm, National Gallery of Art, Washington). Girolamo da CARPI (Ferrare, 1501 - 1556) 59.0 x 42.0 cm La carrière de Girolamo da Carpi est entièrement liée à sa ville natale. Il se forme à Ferrare dans l’atelier de Garofalo, puis obtient, à la mort de Dosso Dossi, le poste de premier peintre de la cour du duc Hercule II d’Este (1508-1559). Pour autant, il assimile les dernières innovations des maîtres de la Haute Renaissance, qu’il observe, puis synthétise au cours de ses voyages. A Florence en 1534-1535, il découvre Pontormo et Bronzino, puis effectue deux séjours à Rome, l’un en 1525 et l’autre entre 1549 et 1553, au cours desquels il copie Raphaël et Sebastiano del Piombo. Dans sa propre région, il a un accès privilégié aux œuvres de Corrège et de Parmesan à Parme et à Bologne, et grâce à son amitié avec l’Arétin, poète de la cour de Ferrare, il connaît aussi les portraits du Titien. On perçoit dans notre tableau l’incroyable émulation créative de ces grands exemples qui, comme lui, étaient à la fois peintres d’histoire et portraitistes. Girolamo da Carpi retient la monumentalité, le rapport naturel au modèle qui se sont imposés depuis Léonard de Vinci et Raphaël (songeons par exemple à son portrait de Bindo Altoviti (1491-1557) conservé à la National Gallery of Art de Washington). Notre œuvre présente une idéalisation qui s’inspire des Florentins, tels Francesco Salviati1 et Jacopino del Conte, une élégance et une certaine sophistication proche des effigies de Parmesan. Une étude comparative de portraits masculins de ces peintres permettrait de suivre l’évolution de la mode des couvre-chefs masculins, qu’ils ont aimé représenter ; le nôtre est bien la toque à fond plat en vogue dans les années 15402. Le fond uni vert-gris s’accorde à la couleur des yeux du modèle. Notre panneau peut être comparé avec les plus beaux portraits de Girolamo da Carpi. Nous pouvons évoquer ici le Jeune Homme écrivant (c. 1526-1527, collection privée), le Portrait de Girolamo de Vincetti (1533-1535, Naples, Galerie nationale de Capodimonte), le Gentilhomme avec une clepsydre (1529, collection privée) ou encore le Gentilhomme au col en fourrure (c. 1545-1550, Seattle Art Museum). On y observe une manière identique de traiter et d’occuper les mains, l’une sous l’autre. Elles esquissent sur notre panneau un élégant mouvement par lequel l’index de la droite se glisse dans le vêtement en cachant une partie de la chaine du collier, et laissant apparaître le pendentif. La gauche serre une paire de gants. Sa position sociale est indiquée par les bagues finement décrites, alors que les manches blanches de la chemise s’échappent, plissées en cascade, donnant une touche de naturel. On ne s'étonnera pas que ce tableau ait plu à Charles Marcotte d'Argenteuil (1773 -1864), ami intime de Jean-Dominique Ingres 3, qu’il avait connu à Rome en 1810. Les deux hommes partageaient le goût des portraits aristocratiques du maniérisme italien, lesquels ont souvent servi d’inspiration au peintre de Montauban. 1- Peint sur marbre, le Portrait de Bindo Altoviti âgé, passé en vente comme de Girolamo da Carpi (Sotheby's, Londres, 3 décembre 2008, n° 35) a depuis été rendu à Francesco Salviati, et est entré au Metropolitan Museum de New York l’année dernière. 2- Il se présente sans bords retroussés sur les oreilles, comme au début du siècle. 3- Ingres peignit le portrait de son ami Charles Marcotte dans un style qui n'est pas sans rappeler les grands portraitistes de la Renaissance (Huile sur toile, 93 x 69 cm, National Gallery of Art, Washington).
GIROLAMO DA CARPI (ASIA, 1501-1556) St. Philip with Basket, iron gall ink on laid paper, unsigned, collector's mark upper right corner from Aurelio Luini (1530-1596). In modern silver Florentine style frame, matted under glass, OS: 20" x 17", SS: 8 3/4" x 5 3/4". From the Estate of Bowdoin Professor William Collins Watterson.
Attribué à Girolamo SELLARI, dit Girolamo da CARPI (Carpi, 1501 - 1556) Figures drapée assise, d'après l'Antique Plume et encre brune (Angles coupés) Sans cadre H : 23.5 cm, L : 19.5 cm Attribué à Girolamo SELLARI, dit Girolamo da CARPI (Carpi, 1501 - 1556) H : 23.5 cm, L : 19.5 cm
Lo schizzo che si riferisce con molta probabilità al celebre rilievo dell'Arco di Costantino, ora conservato nel Palazzo dei Conservatori in Campidoglio a Roma.
Girolamo da Carpi, Italian 1501-1556- A Sheet of Studies - Drunken Silenus, Woman with Vase, Urn; pen and brown ink on paper, 19.2 x 23.5 cm. Provenance: Anon. sale, Freeman Fine Arts, Philadelphia, 17 June 2014, lot 32. Note: In Greek mythology, Silenus is a rural god, and a companion and tutor to Bacchus. He presides over other demons and is related to musical creativity, prophetic ecstasy, drunken joy, drunken dances and gestures. Carpi is documented in Rome from 1549 to 1553, when he was looking after the antique statuary belonging to Cardinal Ippolito II dâEste. During these late years, he created hundreds of studies after the antique and copies of contemporary masters that possibly once constituted a single large sketchbook, large holdings of which are now in the Rosenbach collection in Philadelphia (85 sheets), the Biblioteca Reale, Turin (90 sheets), and the British Museum (five sheets called group 'A' by Gere and Pouncey). Held in a glazed, gilded composition Florentine style frame. Please refer to department for condition report
BILDNIS EINES VORNEHMEN HERREN Öl auf Holz. 39,5 x 32,5 cm. Ungerahmt. Beigegeben ein Gutachten von Andrea Emiliani, Academia Clementina, Bologna vom 15.05.2007 (in Kopie vorliegend). Andrea Emiliani betont, dass das Portrait die unverkennbare Handschrift des genannten Künstlers zeigt. Bezüglich der Physiognomie wäre es den Portraits der Herzöge von Este sehr ähnlich, dennoch ist nicht bekannt, wer der Dargestellte ist. Zeitlich setzt er das Gemälde zwischen 1525 und 1531. Der Künstler, auch Girolami da Carpi genannt, war ein italienischer Maler und Architekt der Renaissance (Schule von Ferrara). Er arbeitete viel in Ferrara für die Herzöge aus dem Haus Este. Neben religiösen und mythologischen Sujets malte er auch Portraits. Auf rechteckiger Platte im Hochoval vor dunklem Hintergrund das Portrait eines Mannes nach links. Er hat einen grau-schwarzen langen Bart, leicht gebräuntes Inkarnat, eine hohe Stirn mit nach hinten liegenden grau-schwarzen Haaren, wohl geformte Augenbrauen und mit seinen braunen Augen, mit jeweils einen Glanzlicht, schaut er ernsthaft aus dem Bild auf den Betrachter hinaus. Repräsentatives Portait in starker Hell-Dunkel-Malerei. Am oberen äußeren Rand kleiner Riss. Anmerkung: Das Herzogtum Modena und Reggio war seit dem 15. Jahrhundert ein Gebiet in Oberitalien mit der Hauptresidenz in Modena. Es war im Besitz der Familie Este, einer der ältesten italienischen Adelsgeschlechter. Die jüngere Linie Fulc-Este regierte von 1240-1597 Ferrara und von 1288-1796 Modena, seit 1452 als Herzöge von Modena. (1230321) (18) Girolamo Sellari, also known as “Girolamo da Carpi” 1501 Ferrara – 1556 ibid. PORTRAIT OF AN ARISTOCRATIC GENTLEMAN Oil on panel. 39.5 x 32.5 cm. Unframed. Accompanied by a copy of the expert’s report by Andrea Emiliani, Academia Clementina, Bologna dated 15.05.2007. Andrea Emiliani emphasizes that the portrait was clearly painted by the artist's own hand. It appears to be similar to the portraits of the Dukes of Este regarding their physiognomy but it is not clear who the depicted gentlemen may be. He dates the painting to ca. 1525 to 1531. On rectangular panel, the portrait of the gentlemen is shown against a dark background to the left in a vertical oval. Notes: The Dukedom of Modena and Reggio was established in Northern Italy since the 15th century with its main residence at Modena. It was owned by the House of Este, one of the oldest Italian princely families. A younger branch of the family Fulc-Este reigned in Ferrara between 1240-1597 and in Modena between 1288-1796. They were Dukes of Modena since 1452.
Dido salbt einen Opferstier. Feder in Braun über schwarzer Kreide, braun laviert. 17,8 x 12,3 cm. Bezeichnet in brauner Feder unten links "didone", sowie in schwarzer Kreide "n0 2, di primi (?). - Wir bitten darum, Zustandsberichte zu den Losen zu erfragen, da der Erhaltungszustand nur in Ausnahmefällen im Katalog angegeben ist. - Please ask for condition reports for individual lots, as the condition is usually not mentioned in the catalogue.
CARPI, GIROLAMO DA 1501 Ferrara - 1556 or 1557 Ferrara (?), attributed The Holy Family with St. Mary Magdalen This work is accompanied by a statement by Lionello Puppi, who attributes the painting to Girolamo da Carpi. By referring to da Carpi's 'Allegory of Justice and Patience' (Dresden, Gemäldegalerie Alte Meister) he presumes the creation date of the present painting to be around 1550. . GERMAN CARPI, GIROLAMO DA 1501 Ferrara - 1556 o. 1557 ebenda (?), zugeschrieben Die Heilige Familie mit der Hl. Maria Magdalena Öl auf Holz. 93,5 x 94 cm. Einschubleisten. Rest. Rahmen besch. Girolamo da Carpi, nach Vasari ein eher unsteter Charakter, der musikalischem Zeitvertreib und amourösen Abenteuern nicht abgeneigt gewesen sein soll, betätigte sich als ausgesprochen vielseitiger Künstler. In der jüngeren Forschung wurden daher sowohl sein graphisches Werk, sein Schaffen als Porträtmaler wie auch seine Architekturentwürfe und Planungen für Gartenanlagen behandelt. Girolamo da Carpi war Schüler seines Vaters Tommaso aber auch des Benvenuto Tisi, gen. Il Garòfalo. In der Folge setzte er sich in Rom mit dem Schaffen Raffaels auseinander, danach arbeitete er abwechselnd in Bologna und Ferrara. Von prägendem Einfluss auf Girolamos Schaffen sollten schließlich die Werke Parmigianinos aber auch Correggios werden. Seit 1536 war der Künstler in fester Anstellung für das Haus d'Este in Ferrara tätig. Lionello Puppi schreibt in seiner Stellungnahme das vorliegende Gemälde Girolamo da Carpi zu und nimmt - mit dem Hinweis auf dessen "Allegorie der Gerechtigkeit und Geduld" (Dresden, Gemäldegalerie Alte Meister) - eine Entstehung um 1550 an. Stellungnahme Prof. Lionello Puppi, Conegliano, o. D.
Pen and brown ink (recto); red chalk (verso); bears old attribution in pen and brown ink, on a label on the verso of the mount: Raffaello. d'Urbino. and numbering 3.3.
Girolamo da Carpi (Ferrara 1501-1566) Studies of grotesques (recto); Studies of two winged horses... pen and brown ink 15¼ x 10 5/8 in. (38.6 x 27 cm.)
GIROLAMO DA CARPI (italian 1501-1556)/span SHEET OF STUDIES: DRUNKEN SILENUS, WOMAN WITH VASE, URN Pen and brown ink with framing lines on paper laid down to card 7 5/8 x 9 9/16 in. (19.3 x 24.2cm) provenance: /spanPrivate Collection, Princeton, New Jersey.
GIROLAMO DA CARPI FERRARA CIRCA 1501 - 1556 (?) THE HOLY FAMILY oil on panel, rounded top, extended to form a rectangle 27 1/2 by 20 7/8 in.; 69.9 by 53 cm.
CARPI, GIROLAMO DA (FOLLOWER OF) (1501 Ferrara 1556) Saint Jerome. Oil on canvas. 44 x 35 cm. CARPI, GIROLAMO DA (NACHFOLGER) (1501 Ferrara 1556) Heiliger Hieronymus. Öl auf Leinwand. 44 x 35 cm.
CARPI, GIROLAMO DA (1501 Ferrara 1556) Female figure in antique clothing, turned to the side. Brown pen. Verso old attribution: Julio Romano. 12.5 x 9.5 cm. Framed. Provenance: - collection of Jonathan Richardson Senior, Lugt 2184 - Sotheby's New York CARPI, GIROLAMO DA (1501 Ferrara 1556) Zur Seite gewandte Frauenfigur in antikem Gewand. Feder in Braun. Verso alte Zuschreibung : Julio Romano. 12,5 x 9,5 cm. Gerahmt. Provenienz: - Sammlung Jonathan Richardson Senior, Lugt 2184 - Sotheby's New York
Girolamo da Carpi (Carpi 1501-1556 Ferrara) A seated female figure, after the Antique pen and brown ink, the corners cut 9¼ x 7 5/8 in. (23.5 x 19.3 cm.), unframed
THE JUDGEMENT OF SOLOMON measurements note 172 by 168mm; 6 3/4 by 6 5/8 in pen and brown ink and wash PROVENANCE George John, 2nd Earl Spencer (L.1530); R.P. Roupell; Langton Douglas (according to inscription on backing sheet); bears unidentified collector's mark TP (similar to L.2451a)
Priests leading a bull, a ram and a boar to an altar, after the Antique with inscriptions 'No-244', 'b', '10 franco' and 'Bo+' (twice) on the former mount black chalk, pen and brown ink on light brown paper 7 7/8 x 13 1/2 in. (199 x 342 mm.)
f - GIROLAMO DA CARPI FERRARA CIRCA 1501 - 1556 (?) STANDING DRAPED FEMALE FIGURE, HOLDING A STAFF IN HER LEFT HAND bears Richardson's attribution on the recto of the mount: Polidoro., and his shelf numbering on the verso: S. 39/A.25/Jr.30/G. pen and brown ink, the upper corners cut PROVENANCE Jonathan Richardson, Senior (L.2184), and on his mount; sale, New York, Sotheby's, 12 January 1990, lot 163; bears unidentified collector's mark (not in Lugt)
Priests leading a bull, a ram and a boar to an altar, after the Antique inscribed 'TFP PEV' and with inscriptions on the mount 'No-244', 'b', '10 franco' and 'Bo+' (twice) black chalk, pen and brown ink on light brown paper 7 7/8 x 131/2 in. (199 x 342 mm.) PROVENANCE Baron Dominique-Vivant Denon (L. 779); Paris, 1-19 May 1826, probably lot 280 (as Franco, 31.5 frs. to Remoisenet). Pierre Defer, by descent to Henri Dumesnil (L. 739). A. Normand (L. 153c). LITERATURE A. Duval, Monuments des Arts du Dessin..., Paris, 1829, II, pl. 103 (as Polidoro da Caravaggio). P. Bober and R. Rubinstein, Renaissance Artists & Antique Sculpture, London, 1986, p. 223, under no. 190. EXHIBITION Paris, Galerie Aubry, Dessins du XVIe et XVIIe dans les collections priv‚es fran‡aises, 1971, no. 26. Paris, Mus‚e du Louvre, Dominique-Vivant Denon, l'oeil de Napol‚on, 1999, no. 548. NOTES Philip Pouncey attributed this drawing to Girolamo da Carpi and compared it to drawings by Carpi and his pupils in an album in the British Museum, J. Gere and P. Pouncey, Italian Drawings in the Department of Prints and Drawings in the British Museum. Artists working in Rome, London, 1983, pp. 96-7. The drawing is probably copied from a Julio-Claudian relief panel, now in the Louvre, which was in the Grimani Collection in Venice at the end of the 16th Century. The scene depicted is the sacrifice of the suovetaurilia, performed in front of the Palace of Augustus. The relief was confiscated by the French under Denon in 1797, and was transferred to the Louvre. In 1815 Denon suceeded in substituting a relief from the Borghese collection for the Grimani panel, which under the terms of the Peace he was required to return to the Biblioteca San Marco in Venice. Denon considered the relief to be one of the best in the Louvre, an opinion which probably explains his purchase of the present drawing.
