JEAN-FRANÇOIS GARNERAY (PARIS 1755-1837 AUTEUIL). Portrait d'une famille jouant de la musique. huile sur toile dans un cadre estampillé Claude Pépin (reçu maître en 1775) 89 x 116,5 cm (35 x 45 7⁄8 in.).
JEAN-FRANÇOIS GARNERAY (1755-1837) « Costumes des autorités officielles du Directoire » Aquarelle et gouache sur traits de plume, avec rehauts d’or Série complète des cinq feuilles originales présentées à la Convention. 25 x 33,5 cm chacune A.B.E. (Quelques rousseurs). Vers 1795 Exceptionnelle série complète et historique de 5 aquarelles, préparatoire aux 26 planches (gravées par Alix à la manière noire et coloriées) représentant les tenues des officiels du régime du Directoire, et parues dans l’opuscule « Collection des nouveaux costumes des autorités constituées, civiles et militaires : Costumes des législateurs et autres fonctionnaires publics / Etat-Major général » , imprimé par Boiste, 21 rue Hautefeuille à Paris. Un premier ouvrage parut en janvier 1796, et comprenait 10 planches. Les 16 autres planches (avec notamment les costumes militaires) parurent en mai 1796. Une seconde édition, comprenant l’ensemble des 26 planches, parut en 1798. Le 5 Fructidor an IV, la Convention, en préparant le nouveau régime, chargea son comité d’instruction publique de faire « un rapport sur le costume particulier à donner à chacun des deux conseils législatifs, et à tous les fonctionnaires publics ». Le 28 fructidor, l’abbé Grégoire, au nom de ce comité, présenta à la Convention son rapport et un projet de décret. Jean-François Barailon avait lui aussi réalisé un rapport sur ce sujet un peu auparavant (13 Fructidor), avec des costumes très inspirés de l’antiquité gréco-romaine. C’est finalement Grégoire, le 3 Brumaire an IV (24 octobre 1795), dans les derniers instants de la Convention, malgré un débat animé, qui fit adopter son projet dans son intégralité, dont la mise en images fut confiée à Garneray. Chacun de nos dessins porte la mention en rapport avec le décret du 3 Brumaire de l’an IV de la République. Ces documents originaux, qui n’apportent certes rien de nouveau sur le plan iconographique et la connaissance des costumes, sont en revanche d’une grande importance historique et artistique et montrent comment Garneray avait intégré ces modèles, qui pouvaient sembler avoir été conçus séparément, dans des petites compositions relativement élaborées (surtout pour les 16 dernières planches, rassemblées dans 3 dessins). Biographie : Jean-François GARNERAY, issu d’une famille originaire de Lorraine, entra dans l’atelier de David en 1782. Jusqu’à la Révolution, il se spécialisa comme miniaturiste, tout en réalisant quelques tableaux. Il fut un temps dessinateur officiel à l’Académie Royale de Musique, puis connut la célébrité pendant la Révolution par ses portraits des célébrités de l’époque, souvent en médaillon, qui furent largement diffusés grâce aux gravures de Pierre-Marie Alix. Il commença à exposer au Salon en 1791, sans interruption jusqu’en 1835. Garneray travailla à plusieurs reprises pour la Convention, qui lui commanda notamment le portrait de Charlotte Corday, croquée sur le vif durant son procès ; comme nombres d’artistes de l’époque, il était par ailleurs Franc-Maçon (fréquentant avec ferveur la loge Amitié du Grand Orient de France), tout comme l’abbé Grégoire, ce qui peut possiblement expliquer la commande de nos planches de costumes à la fin de l’année 1795.
Jean-François GARNERAY Paris, 1755 - 1837 Portrait de femme à sa lecture, une allégorie de l'Enseignement en trompe-l'œil dans le bas Huile sur cuivre Annoté 'Testa' à l'encre au verso h: 33,50 w: 47 cm
Jean-François GARNERAY Paris, 1755 - 1837 Portrait de femme à sa lecture, une allégorie de l'Enseignement en trompe-l'œil dans le bas Huile sur cuivre annoté 'Testa' à l'encre au verso h: 33,50 w: 47 cm Estimation 3 000 - 4 000 €
Jean-François GARNERAY Paris, 1755 - 1837 Portrait de femme à sa lecture, une allégorie de l'Enseignement en trompe-l'œil dans le bas Huile sur cuivre annoté 'Testa' à l'encre au verso h: 33,50 w: 47 cm Estimation 4 000 - 6 000 €
François-Jean GARNERAY (GARNEREY) (Paris, 1755 - Auteuil, 1837) Molière honoré par Louis XIV Huile sur panneau parqueté Signé et daté sur la nappe Garnerey px. 1824 56 x 72,2 cm Provenance : Par tradition familiale, ancienne collection Jacques Doucet (Paris, 1853 - Neuilly-sur-Seine, 1929), Paris. Vente Sotheby’s Londres, 4 mai 1938, lot 146. France, collection particulière. Expositions : 1824, Salon de Paris, n° 701 (Molière honoré par Louis XIV) 1825, Salon de Lille, n° 259 (Louis XIV et Molière), médaille de bronze. 1825, Douai, Salon, n° 259 (Louis XIV et Molière), médaille d’argent. Historique En 1660, la mort de son frère Jean obligea Molière à reprendre sa charge de tapissier et valet de chambre du roi héritée de son père, à laquelle il avait renoncée pour devenir comédien. Hautement envié, l’office consistait à faire le lit du monarque, à garnir de tapisseries ses appartements et à veiller sur le mobilier. L’écrivain effectuait son service à la cour par quartier, au grand dam des autres officiers, offensés de devoir « manger à la table du contrôleur de la bouche avec Molière, parce qu’il avait joué la comédie ». Apprenant cela, Louis XIV aurait un jour, lors de son petit lever, invité l’acteur à partager son en cas de nuit : Alors le roi, coupant sa volaille et ayant ordonné à Molière de s’asseoir, lui sert une aile, en prend en même temps une pour lui, et ordonne que l’on introduise les entrées familières qui se composaient des personnes les plus marquantes et les plus favorisées de la cour. « Vous me voyez, leur dit le roi, occupé de faire manger Molière que mes valets de chambre ne trouvent pas assez bonne compagnie pour eux . » Telle est l’anecdote qu’un certain M. Lafosse, ancien médecin ordinaire du roi, aurait narré au beau-père d’Henriette Campan. Lectrice des filles de Louis XV, première femme de chambre de Marie-Antoinette puis directrice de la Maison d’éducation de la Légion d’Honneur, Madame Campan consacra ses dernières années à l’écriture des Mémoires qui furent publiées en 1822, l’année de sa mort, et connurent quatre éditions en seulement deux ans. De toutes les petites histoires volontiers didactiques qui parsèment l’ouvrage, celle du repas matinal du jeune Roi-Soleil avec Molière fut parmi les plus remarquées. « Cette anecdote est peut-être une de celles qui honorent le plus le caractère et la vie de Louis XIV. On est touché de voir ce roi superbe, accueillant […]. Voilà par quels traits un prince qui a de la grandeur sait venger le génie de la sottise et le récompenser de ses travaux », écrivit en note l’éditeur des Mémoires de Mme Campan. Privés de la célébration de l’épopée napoléonienne, mais habitués à trouver leurs sujets dans l’histoire récente et nationale, les peintres de la Restauration ont tôt fait de s’emparer de ce récit. Dès le Salon de 1824, l’on put ainsi en admirer deux versions, celle d’Édouard Pingret (no 1360) et celle de François-Jean Garneray (no 701) que nous présentons. Le thème revint sous le Second Empire, traité par Ingres en 1857 (œuvre détruite dans l’incendie des Tuileries, esquisse à la Comédie Française), Gérôme (no 769 du Salon, Malden Public Library) et Jacques-Edmond Leman en 1863 (no 1176, non localisé), puis Jean Hégesippe Vetter (Salon de 1864, no 1916). François-Jean Garneray ou, plus exactement, Garnerey, naquit à Paris. Grâce à la protection de son père, naturaliste, il entra dans l’atelier de David, dont il fut ainsi l’un des premiers élèves. Peu concerné par les changements politiques, Garneray fut de presque tous les Salons de 1791 et jusqu’en 1835. D’abord peintre en miniature et portraitiste, l’artiste se spécialisa ensuite dans les représentations « dans le genre flamand », à savoir un subtil mélange de portrait et de scène de genre minutieusement rendu. À partir du Salon de 1810, il se distingua par ses compositions historiques mettant en scène des personnages célèbres de l’Ancien Régime dans des lieux souvent non moins illustres. Bien que, grâce à son fils Auguste-Siméon, professeur de dessin de la duchesse de Berry, Garneray soit proche du mouvement troubadour né dans l’entourage de cette princesse, il sut se singulariser, affichant sa prédilection pour le règne de Louis XIV, tandis que les premiers troubadours privilégiaient le Moyen Âge et la Renaissance. Le tableau présenté en 1810 avait ainsi pour sujet Madame de Maintenon en retraite dans l’oratoire de la chapelle de son château (non localisé), tandis qu’en 1812, seule figura au Salon la première des trois vues de la Galerie dorée peintes pour la Banque de France, celle figurant les lieux sous Louis XIV (collection Banque de France). L’intérêt pour le Grand Siècle accompagna l’artiste sous la Restauration, avec notamment, en 1824, le très remarqué Molière honoré par Louis XIV et, trois ans plus tard, Le Duc de Montausier conduisant le Grand Dauphin dans une chaumière (ill. 1). Louis-Gabriel Michaud, dans sa Biographie universelle, souligne que la « correction du dessin » de Garneray était idéalement adaptée à la peinture d’histoire « anecdotique » qui exige de l’esprit et la reproduction parfaite « des objets inanimés, tels que les monuments et les costumes ». Notre tableau illustre admirablement ces propos, se présentant justement comme une œuvre d’esprit, avec un équilibre raffiné entre l’exécution soignée et l’animation théâtrale et néanmoins mesurée des personnages. Garneray offre au roi et à son hôte une vraie scène de théâtre, dépouillée de tout superflu. Madame Campan ne donnant aucune précision sur la date de ce déjeuner improvisé ni sur le lieu où Louis XIV séjournait alors, le peintre avait toute la liberté d’imaginer un intérieur qui seyait le mieux à sa composition. En revanche, le récit était précis sur les circonstances de la rencontre, à savoir l’entrée familière lors de laquelle le souverain, à peine réveillé et encore dans son lit, recevait les membres de la famille royale et certains grands officiers de la Couronne. Toutefois, l’artiste choisit de ne pas représenter le lit et de figurer Louis XIV parfaitement habillé, transformant une collation improvisée en une sorte de repas officiel. Garneray situe la scène dans l’appartement intérieur du roi à Versailles et plus exactement dans l’antichambre des Chiens pourtant créée en 1738, soit bien après la date possible de l’entrevue. Le décor de la corniche rappelle que Louis XV y faisait dormir ses chiens favoris : tel un clin d’œil, notre artiste imagine deux chiens couchés aux pieds de Louis XIV. Il reprend assez exactement les boiseries dorées de 1685 provenant de l’ancienne salle de billard, mais ôte les tableaux religieux qui ornaient la pièce sous Louis XV. Il installe ainsi, sur le trumeau central, à la place d’Eliézer et Rébecca d’Antoine Coypel, une autre de ses œuvres, Églé barbouillant Silène de mûres, peinte en 1700 pour l’antichambre des appartements du Grand Dauphin au château de Meudon (Louvre, inv. 3509, ill. 2). Tiré des Bucoliques de Virgile, le sujet rappelle le comique des pièces de Molière. Quant aux dessus de portes, Garneray les orne de portraits représentant Louis XIII et Anne d’Autriche. Louis XIV, élégamment vêtu d’un justaucorps et d’une longue robe de chambre, tous deux de soie rose brodés de fleurs de lys d’or, est déjà coiffé et arbore le cordon de Saint Esprit. Il est assis à une table improvisée, copieusement garnie de fruits et d’autres mets raffinés. Un serviteur amusé en livrée bleue et rouge pose une tourte devant Molière, incrédule et reconnaissant, tandis qu’un second valet lui offre du vin. Le visage du comédien reprend très exactement le portrait peint par Garneray d’après le buste de Houdon et gravé par Alix en 1796 (ill. 3). L’expression du dramaturge trouve un écho dans celles des courtisans que les huissiers viennent de laisser entrer dans la pièce. L’artiste compose ici une véritable comédie humaine, en évitant cependant toute exagération et alors que ces confrères, d’Ingres à Gérôme (ill. 4-5), préféraient représenter les membres de la cour s’inclinant profondément et les yeux baissés, n’osant ni contredire la volonté du roi ni même manifester leur désapprobation ou surprise. Aucun des personnages près de la porte n’est réellement reconnaissable, même si l’artiste s’attache à représenter les riches toilettes des dames, les soutanes des prélats et les habits solennels des grands officiers et des commensaux. Ces vêtements chamarrés à la mode des années 1660, avec leurs soieries chatoyantes, fines broderies et nœuds de rubans jusque sur les souliers permettent d’ailleurs à l’artiste de démontrer ses talents de coloriste. Garneray joue sur la juxtaposition des teintes violines, orangés, indigo ou bleu saphir, le tout parcouru avec insistance de touches délicates de blanc vaporeux, mais également de rouge vermillon et de vert émeraude. A.Z. Bibliographie de l’œuvre : Alfred DANTES, Dictionnaire biographique et bibliographique, alphabétique et méthodique des hommes les plus remarquables dans les lettres, les sciences et les arts, Paris, Boyer et Cie., 1875, p. 368 (« Molière et Louis XIV »). Louis-Gabriel MICHAUD, Biographie universelle, ancienne et moderne, Paris, 1856, vol. XV, p. 583 (« Molière déjeunant avec Louis XIV »). Bibliographie générale : Pierre MOLLIER, « Portraits secrets : les œuvres maçonniques du frère François-Jean Garneray », Revue des musées de France-Revue du Louvre, no 2011-3, juin 2011, p. 43-51. Christian BAULEZ, « L’antichambre des chiens et la salle à manger des retours de chasse », Versalia, no 13, 2010, p. 55-143. Ill. 1. François-Jean Garneray. Le Duc de Montausier conduisant le Grand Dauphin dans une chaumière. 1827. Huile sur toile. 113 x 147,5 cm. Collection particulière. Ill. 2. Antoine Coypel. Églé barbouillant Silène de mûres. 1700. Huile sur toile. 148 x 115 cm. Louvre, inv. 3509. Ill. 3. Pierre-Michel Alix d’après François-Jean Garneray. Molière. 1796. Gravure au lavis en couleur. Ill. 4. Jean-Léon Gérôme. Louis XIV et Molière. 1862. Huile sur bois. 42 x 75 cm. Malden Public Library
PIERRE-MICHEL ALIX (1762-1817) AFTER JEAN-FRANCOIS GARNEREY 1755-1837. *DEDIE A BELLE ET BONNE FILLE ADOPTIVE DE VOLTAIRE*, COLOR ETCHING AND ENGRAVING,371 X 250 MM. P&B I, 25, 38. POSSIBLY ISSUED FOR *COLLECTION DES GRANDS HOMMES* 1791-97. TRIMMED BEFORE THE PLATEMARK; THE ADDRESS AT THE BOTTOM IS TRIMMED. 20 MM TEAR UPPER RIGHT CORNER.
PIERRE-MICHEL ALIX (1762-1817) AFTER JEAN-FRANCOIS GARNEREY 1755-1837. JEAN JACQUES ROUSSEAU, COLOR ETCHING AND ENGRAVING, 270 X 374 MM. 1791 P&B I, 24, 34. TRIMMED BEFORE THE PLATEMARK; THE ADDRESS AT THE BOTTOM IS TRIMMED.
Oil on panel France, 1813 Jean-François Garneray (1755-1837) - French painter and student of Jacques-Louis David Signed and dated barely legible lower left, ‘Garnerey 1815’ Dimensions: 23 x 19 cm Gilt wooden frame: 36 x 31 cm Good condition The current highest auction record for an oil painting by Garneray is €116,000 Condition: The painting is in good condition, showing minor craquelure and abrasion of the paint along the margins. The inspection under UV light reveals scattered areas of retouching to the figure and the left margin. The frame is slightly worn. The dimensions are 23 x 19 cm. Jean-François Garneray (1755-1837) Born in Paris, Jean-François Garneray trained in the studio of Jacques-Louis David in Paris from 1782 and collaborated in some of his works. From 1791 to 1835, he exhibited regularly at the Salons in Paris. Until the Revolution, he mainly painted miniatures. During the Revolution, he painted portraits of politicians, which were reproduced in engravings. At the beginning of the Restauration, Garneray created paintings in the troubadour style. Besides portraits, the artist painted history paintings and family portraits. His three sons Ambroise, Auguste-Siméon and Hippolyte were painters as well. (cko) Shipping costs excl. statutory VAT and plus 2,5% (+VAT) shipping insurance.
ATTRIBUÉ À JEAN-FRANÇOIS GARNERAY PARIS 1755 - 1837 AUTEUIL JEUNE FILLE BRODANT DANS UN INTÉRIEUR Huile sur toile Attributed to Jean-François Garneray ; Young girl embroiding in an interior ; Oil on canvas 33,5 x 25 cm ; 13 by 10 in
Jean-François GARNEREY (1755-1837)Jean-François GARNEREY (1755-1837), Portrait d'homme contemplant le buste d'Homère Huile sur panneau, signée, datée "An 7" en bas à gauche. 46,5 x 37,5 cmPortrait d'homme contemplant le buste d'Homère Huile sur panneau, signée, datée "An 7" en bas à gauche. 46,5 x 37,5 cm
ATTRIBUÉ À JEAN-FRANÇOIS GARNERAY PARIS 1755 - 1837 AUTEUIL PORTRAIT DE JEUNE FEMME À LA ROBE BLEUE DEVANT UN GUÉRIDON ATTRIBUTED TO JEAN-FRANÇOIS GARNERAY ; PORTRAIT OF A LADY WEARING A BLUE DRESS, SEATED BY A GUERIDON ; OIL ON COPPER, OVAL Huile sur cuivre, ovale 37,5 x 29,5 cm ; 14 3/4 by 11 5/8 in.
ATTRIBUÉ À JEAN-FRANÇOIS GARNERAY PARIS 1755 - 1837 AUTEUIL PORTRAIT DE JEUNE FEMME À LA ROBE BLEUE DEVANT UN GUÉRIDON ATTRIBUTED TO JEAN-FRANÇOIS GARNERAY ; PORTRAIT OF A LADY WEARING A BLUE DRESS, SEATED BY A GUERIDON ; OIL ON COPPER, OVAL Huile sur cuivre, ovale 37,5 x 29,5 cm ; 14 3/4 by 11 5/8 in.
*Garneray, Jean François (1755 Paris - Auteuil 1837). Portrait von J.B. Poquelin de Molière. Kolorierte Aquatinta, erschienen in Paris Anfang 19. Jh. LM 34 x 23. Gerahmt
A British frigate approaching the Sound off Kronborg Castle; and An armed brig amidst larger warships lying at anchor both signed 'Garneray.' (lower right) pen and brown ink and watercolour 51/4 x 7 in. (13.4 x 19.1 cm) and larger (2).