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Émile René Lafont Sold at Auction Prices

Sculptor, Painter

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      • EMILE RENE LAFONT 1853 - 1916 BRONZE SCULPTURE OF A LADY CYCLIST
        Jul. 10, 2024

        EMILE RENE LAFONT 1853 - 1916 BRONZE SCULPTURE OF A LADY CYCLIST

        Est: £500 - £800

        EMILE RENE LAFONT 1853 - 1916 BRONZE SCULPTURE OF A LADY CYCLIST depicted in a mounted sideward pose mounted on a naturalistic oval base, brown patination - signed (34cm high 28cm wide)

        Hutchinson Scott Limited
      • TABLEAU "Vue du parc Monceau" De Émile René LAFONT (1853-1916) Huile sur to
        Apr. 28, 2024

        TABLEAU "Vue du parc Monceau" De Émile René LAFONT (1853-1916) Huile sur to

        Est: €1,500 - €1,800

        TABLEAU "Vue du parc Monceau" De Émile René LAFONT (1853-1916) Huile sur toile signée en bas à gauche. Au dos, ancienne étiquette d'exposition à Paris au Grand Palais en 1926 "1884-1914 : Trente ans d'art indépendant". 51 x 66 cm

        Paris Oise Enchères
      • Émile René Lafont, 1853 – 1916
        Sep. 24, 2020

        Émile René Lafont, 1853 – 1916

        Est: €7,000 - €8,000

        DAS MUSÉE D‘ORSAY IN PARIS Öl auf Leinwand. Doubliert. 33 x 55 cm. Links unten signiert. Blick über die mit dampfenden Booten befahrene Seine auf das am Ufer liegende große Gebäude des Musée d´Orsay unter grauem Himmel. Helles, teils rötliches Licht fällt durch die Fenster und Türeingänge der Gebäude sowie von den Booten auf den Fluss und versetzt das überwiegend in grauer Farbgebung gehaltene Bild in eine stimmungsvolle Atmosphäre. (1240121) (18)

        Hampel Fine Art Auctions
      • Émile René Lafont, 1853 – 1916
        Apr. 02, 2020

        Émile René Lafont, 1853 – 1916

        Est: €5,000 - €7,000

        NOTRE DAME IN PARIS AN EINEM VERSCHNEITEN WINTERABEND Öl auf Leinwand. 65,5 x 82 cm. Links unten signiert „Emile Lafont“. In dekorativem Rahmen. Blick über eine verschneite, fast menschenleere Uferstraße, auf die an der Seine gelegene, prachtvolle Kathedrale, die vom leuchtenden gelb-rötlichen Mond beschienen wird. Durch den hohen grauen Himmel und den starken Schneefall lassen sich die kahlen Bäume und die Silhouetten der Häuser kaum noch erkennen. Lediglich gut sichtbar die zahlreichen beleuchteten Laternen an den Uferstraßen und Wegen. Monochrome Malerei in pointilisischer Manier, der Himmel dabei ausgeführt in einer flirrenden Vielfalt von kurzen raschen Pinselstrichen, in vielen differenzierten Grautönen, um den Bereich des sichtbaren Mondes aufleuchtend. Für den Künstler typisches stimmungsvolles Gemälde. (1222311) (18)

        Hampel Fine Art Auctions
      • Emile René Lafont, French (1853 - 1916), Untitled - Rainy Paris Scene, oil on canvas, 19 1/2 x 25 in. (49.5 x 63.5 cm)
        Sep. 23, 2015

        Emile René Lafont, French (1853 - 1916), Untitled - Rainy Paris Scene, oil on canvas, 19 1/2 x 25 in. (49.5 x 63.5 cm)

        Est: $1,500 - $2,000

        signed lower left

        Maynards Fine Art & Antiques
      • Emile René Lafont, French (1853 - 1916), Untitled - Rainy Paris Scene, oil on canvas, 19 1/2 x 25 in. (49.5 x 63.5 cm)
        Jun. 24, 2015

        Emile René Lafont, French (1853 - 1916), Untitled - Rainy Paris Scene, oil on canvas, 19 1/2 x 25 in. (49.5 x 63.5 cm)

        Est: $2,000 - $3,000

        signed lower left

        Maynards Fine Art & Antiques
      • Emile-René Lafont Paris, 1853 - 1916 Griffon soutenant un miroir circulaire Bronze à patine brune foncée
        Mar. 26, 2014

        Emile-René Lafont Paris, 1853 - 1916 Griffon soutenant un miroir circulaire Bronze à patine brune foncée

        Est: €5,000 - €7,000

        Emile-René Lafont Paris, 1853 - 1916 Griffon soutenant un miroir circulaire Bronze à patine brune foncée Signé 'E Lafont' sur la base Porte la marque du fondeur Delafontaine Hauteur : 54 cm (21,30 in.) 'GRIFFIN SUPPORTING A MIRROR', BRONZE, SIGNED, BY E.-R. LAFONT Commentaire : L'esprit fin de siècle de notre objet saisissant rappelle immanquablement l'autoportrait de Sarah Bernhardt, icône des peintres de l'Art Nouveau, surnommée " monstre sacré " par Jean Cocteau, qui s'est elle-même statufiée et transformée en monstre hybride en 1875 (fig. 1). S'affublant d'ailes de chauve-souris, le col serré dans une lavallière, coiffée d'un haut chignon, des masques théâtraux en guise d'épaulettes, ses griffes léonines agrippent un encrier, ou une sorte de bénitier, sur lequel veille la figure du diable : voilà la représentation dramatique que la tragédienne fit d'elle-même. Le bronze patiné, froid, dense, précis et presque inaltérable apporte à cet autoportrait, comme à notre miroir soutenu par un griffon, une dimension sublime. Le griffon, conducteur vers le ciel des âmes des morts dans l'Antiquité, incarne dans l'iconographie moderne la dualité christique et la complexité des forces humaines, donnée à la fois par le caractère puissant et bénéfique de l'aigle et du lion protecteurs du ciel et de la terre et par la férocité même de ces animaux, en faisant au Moyen-âge le symbole du mal et du démon. Le sculpteur utilise cette créature légendaire pour supporter le miroir réflecteur de notre image, créant ainsi une œuvre parfaitement inscrite dans son époque où règnent sur Paris Gustave Moreau et Sarah Bernhardt. Emile-René Lafont réalise cette " sculpture-miroir " dans la première partie de sa carrière, avant que ne débutent ses expositions régulières au Salon (1886-1902). L'artiste remporte une mention honorable au Salon de 1888 et l'Exposition Universelle de 1900 lui octroie une médaille de bronze. Il y présente notamment une allégorie de l'Art Décoratif aujourd'hui déposée sur l'escalier du Grand Palais. Ses œuvres, principalement parisiennes, sont visibles dans le foyer de l'Opéra-Comique (buste du compositeur Ambroise Thomas) ou dans le jardin du Conservatoire de Musique (statue de Mignon de l'opéra lyrique éponyme). Spécialiste des bronzes ornementaux inspirés de l'antique, la manufacture de Pierre-Maximilien Delafontaine, renommée dès la fin de l'Ancien Régime, exécute également des objets de petite dimension à partir de 1848 et jusqu'en 1905, années pendant lesquelles le fils puis petit-fils se tournent vers la statuaire d'édition d'art (Barye, Pradier, Cavelier…).

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