Huile sur panneau de chêne "Saint Jérôme". Ecole de Jan Metsys. Ecole flamande. XVIème. On y joint un certificat signé par Ronald Beaufaux, Expert en Objets d'Art et Antiquités, Diplômé en Histoire de l'Art et Archéologie et daté du 4 novembre 1988. Dim.:32,5x46,2cm.
Huile sur panneau de chêne "Saint Jérôme". Ecole de Jan Metsys. Ecole flamande. XVIème. On y joint un certificat signé par Ronald Beaufaux, Expert en Objets d'Art et Antiquités, Diplômé en Histoire de l'Art et Archéologie et daté du 4 novembre 1988. Dim.:32,5x46,2cm.
Jan Matsys o Massys (Anversa 1510 circa - 1575) bottega di Volto della Madonna 30 x 23 cm Cornice 67,5 x 54 cm Tra i molti esempi citiamo i puntuali riscontri nel volto della Vergine col Bambino del Museo di Palazzo Bianco a Genova, oppure l'Allegoria della Carità, olio su tavola, in asta il 5 dicembre 2013 presso Sotheby's di Londra, ancora Vergine in preghiera, recente acquisizione dell'Abbazia di San Giorgio Maggiore di Venezia. In essi si notano la stessa delicata stesura piatta e la morbida cromia con le quali realizzò i volti delle figure che accostiamo, le quali, inoltre, condividono oltre che la fisionomia, le sottili sopracciglia, le morbide ombre negli incavi degli occhi e i leggeri veli che cingono il capo di Maria. Da sottolineare l'importante cornice a tempietto toscana del XVI secolo in cui l'opera è conservata. Figlio di Quentin Massys e fratello di Cornelys. La sua produzione artistica si articola in due periodi distinti divisi che divergono dopo il suo periodo in Italia. Inizialmente sentì l'influenza del padre, suo primo maestro, e di Joos van Cleve. In seguito, dopo il suo lungo soggiorno italiano e francese durato circa quindici anni, tornò ad Anversa con un bagaglio di conoscenze che coinvolgevano il Rinascimento e Manierismo toscano e romano e in particolare Raffaello, Leonardo, nonché quello emiliano colto nella sua versione scaturita nella Scuola di Fontainebleau. Grazie a questa composita divenne un importante esponente di primo piano del Manierismo Nordico. Jan Matsys or Massys (Antwerp ca. 1510 - 1575) workshop of The Face of the Madonna 30 x 23 cm Frame 67,5 x 54 cm Among the many examples, we mention the precise comparisons in the face of the Virgin and Child in the Palazzo Bianco Museum in Genoa, or the Allegory of Charity, oil on panel, at auction on 5th of December 2013 at Sotheby's in London, again Virgin in prayer, the recent acquisition of the Abbey of San Giorgio Maggiore in Venice. In them, we can see the same delicate flat drawing and the soft colors with which he created the faces of the figures we are comparing, who, moreover, share not only the physiognomy but also the thin eyebrows, the light shadows in the hollows of the eyes and the light veils that surround the head of Mary. Worth highlighting is the important 16th-century Tuscan temple frame in which the artwork is preserved.
Attribué à Jan MASSYS Anvers, 1509 - 1575 Joueur de cornemuse assoiffé Huile et tempera sur toile (Restaurations) Thirsty Bagpiper, oil and tempera on canvas, attr. to J. Massys h: 58 w: 44,50 cm Provenance : Vente anonyme ; Vienne, Dorotheum, 18 décembre 2017, n° 37 (comme "Manner of Quinten Massys") ; Collection particulière, Europe Commentaire : De sa large main, ce joueur de cornemuse - assoiffé après avoir donné du souffle - s'est saisi d'un pichet de bière afin de se rafraîchir la gorge. Son instrument se repose lui aussi, poche et bourdons étendus sur l'épaule de leur propriétaire. La main droite ouverte et les yeux tournés vers un interlocuteur invisible, cet homme massif aux traits marqués déborde par l'intensité de son expression très largement du cadre de la toile sur laquelle il est représenté. Par la puissance avec laquelle il a illustré un sujet en apparence léger - un musicien se désaltérant - et le caractère saisissant de cette image, le peintre nous entraine ici bien plus loin que nous ne l'aurions pensé. Mettons-nous à notre tour à l'écoute de ce joueur de cornemuse et entrons dans le dialogue auquel nous invitent sa bonhomie, son geste et la sincérité de son regard. Peint dans la première moitié du XVIe siècle, cet homme nous parle de sujets qui habitent toujours nos esprits contemporains : boisson et musique ne sont-elles pas encore aujourd'hui bien souvent les compagnes de nos émotions tristes ou joyeuses et des événements grands et petits qui ponctuent nos vies ? Chez les penseurs et écrivains du XVIe siècle, l'ivresse est abondamment commentée et questionnée, sur sa nature (amoureuse, intellectuelle, spirituelle ou plus prosaïquement liée à la consommation d'alcool), ses bénéfices et ses méfaits, la folie qu'elle engendre (pour Erasme, la Folie est en effet fille de l'ivresse et de l'ignorance1), et l'on combat pour savoir si la liberté qu'elle procure est à rechercher ou à condamner. Les artistes se font naturellement les illustrateurs des pensées et des préoccupations de leur temps et c'est ainsi que l'on retrouve ce thème de l'ivresse et de la boisson largement répandu dans la peinture. " A la trogne connait-on l'ivrogne2 ", dit le proverbe, et dès la fin du XVe siècle se répandent les images de buveurs excessifs avec des caractéristiques physiques proches de celles de notre homme : nez et joues épais, yeux rougis, embonpoint3… Avec la Renaissance vont venir s'ajouter les recherches humanistes, creusant la question de l'Homme et de ses caractères. Dans les arts vont également naître la caricature et les grotesques, reflétant et exagérant dans les traits des visages ces diverses caractéristiques humaines dans un discours parfois humoristique, souvent moralisant. L'un de ses principaux représentants n'est autre que Léonard de Vinci qui influença de nombreux artistes, dont Quentin Massys, inventeur de la composition que nous présentons. Nous pouvons ainsi comparer le visage de notre buveur, et notamment ses yeux soulignés de profondes cernes et surmontés de robustes arcades et d'un front ridé, avec celui d'une figure du grand maître italien présente en bas à droite d'une feuille de grotesques dont une copie est conservée dans les collections du British Museum à Londres (fig. 1). Plusieurs figures de Quentin Massys peuvent ainsi être reliées à des grotesques de Léonard, telles que la célèbre " Ugly Duchess " de la National Gallery de Londres, et le 'Vieil homme de profil' du musée Jacquemart-André. Isolant ainsi des personnages caricaturaux pour en faire les sujets de tableaux autonomes, et non les protagonistes de plus vastes compositions, Massys apporta une contribution majeure à la scène de genre nordique4, support de l'étude de mœurs et de la satire sociale, ouvrant la porte à ses successeurs des générations suivantes comme Pieter Brueghel. D'autres personnages caricaturaux isolés sont notables dans l'œuvre de Quentin Massys, comme la 'Vieille femme5', ou le 'Fou à la cuillère' vendu à Londres en juillet 20216. Un autre exemplaire du Joueur de cornemuse, peint sur papier et de dimensions plus modestes que le nôtre (fig. 2), est quant à lui conservé dans les collections de l'université de Yale7. Le statut de l'huile sur toile que nous présentons par rapport à cette version sur papier existante de la même composition a fait l'objet de recherches approfondies. Un exemple existe chez Quentin Massys dont deux versions du 'Vieil homme de profil' sont répertoriées, l'une au musée Jacquemart-André et la seconde dans une collection privée new-yorkaise. Les grands maîtres étaient souvent entourés de collaborateurs et d'élèves auxquels ils déléguaient certaines de leurs commandes et la très grande qualité d'exécution du Joueur de cornemuse proposé ici laisse à penser que, s'il n'est peut-être pas de la main de Quentin Massys lui-même, il revient très certainement à l'un de ses plus proches collaborateurs inspiré par son modèle, et probablement à son fils aîné, Jan, qui reprendra son atelier après sa mort. Cornemuses, pichets de terre cuite et visages outrés se rencontrent en effet à de multiples reprises dans les 'Joyeuses compagnies' de Jan Massys, comme celle du Kunsthistorisches Museum de Vienne (fig. 3) ou celle du musée Thomas Henri de Cherbourg8. La déroutante séduction de ce tableau ne réside cependant pas tant dans la question de son attribution au maître ou à son fils que dans la puissance qui s'en dégage. La figure de cet homme imposant, au visage exempt de toute idéalisation, travaillé avec minutie dans ses moindres détails, plis des yeux, oreilles ourlées, lèvres épaisses et large menton, vient nous interpeller non pas par sa disgrâce mais par sa profonde humanité. La qualité du traitement des matières, plis du cuir de la cornemuse, reflets sur la panse de l'humble pichet de terre, trahit la main d'un artiste aguerri tout en renforçant ce discours de simplicité propre à toucher chaque homme à travers les âges. Nous remercions le professeur Maximiliaan Martens qui attribue le tableau à Jan Massys et le date vers 1555-65 dans un avis en date du 24 janvier 2022 réalisé à la suite d'un examen de visu le 22 décembre 2021. Nous remercions Monsieur Till-Holger Borchert qui attribue le tableau à Jan Massys à la suite d'un examen de visu le 17 décembre 2021. Monsieur Larry Silver, dans un courriel en date du 18 octobre 2021 décrit notre toile comme " seemingly with very characteristic (late) [Quinten] Massys touches. ". Dans un autre courriel en date du 29 novembre 2021 il conclue "I would call it [Quinten] Massys and Workshop and would date it to this latest phase, ca. 1525/30. " 1. 'Eloge de la Folie', imprimé pour la première fois à Paris en 1511. 2. J. Nicot, 'Le grand dictionnaire françois, latin et grec', Lyon, 1612, p. 1044. 3. Voir D. Alexandre-Bidon, " Le gosier en pente. L'ivresse au Moyen Âge ", in 'Revue de la BNF', 2016/2, n° 53, p. 36. 4. Voir à ce sujet l'article fondateur de M. J. Friedländer, " Quentin Massys as a painter of genre pictures ", in 'The Burlington Magazine', mai 1947, vol. 89, n° 530, p. 114-199. 5. Vente anonyme ; Munich, Hampel, 4 juillet 2018, n° 422, vendu 570.000€. 6. Vente anonyme ; Londres, Sotheby's, 7 juillet 2021, n° 9, vendu 523.200 £. 7. 31,8 x 21,6 cm, inv. 2020.37.5. 8. Voir L. Buijnsters-Smets, 'Jan Massys. Een Antwerps schilder uit de zestiende eeuw', Zwolle, 1995, cat. 30, 37, 46 et 49. Estimation 400 000 - 600 000 €
JAN MASSYS (ANTWERP C. 1509 - 1575) Mary Magdalene signed and dated ' .1571 . / OES MASSIS PINCEBAT ' (center left, on the ledge) oil on panel, unframed 37º x 28 in. (95 x 71.3 cm.)
Huile sur panneau de chêne aux marques de la Ville d'Anvers "Marie-Madeleine pénitente". Attribué à Jan Massys. Ecole flamande, Anvers. (Fissures et écaillements). Dim.:+/-64x46cm.
Jan Massys (Antwerpen 1509-1575 Antwerpen) Merry peasantry, 1560s oil on panel, parqueted; 50.5 x 66.5 cm Provenance auction Rudolph Lepke's Kunst-Auctions-Haus, Berlin, 17th April 1928, lot 150, pl. 27 (as Pieter Balten; in the catalogue description "mit Gutachten von Th. v. Frimmel"); German collection Short-certificate by Dr. Klaus Ertz, Lingen, 25th September 2020, is enclosed.
JAN MASSYS (ALSO MATSYS OR METSYS) (SCHOOL) 1509 Antwerp - 1575 Ibid JUDITH AND HER MAID WITH THE HEAD OF HOLOFERNES Oil on oak panel. 73 x 98 cm (R. 84 x 107,5 cm). Panel with two old horizontal cracks (restored). Part. old restored, damaged. Frame. Provenance: North German Private Collection. JAN MASSYS (AUCH MATSYS ODER METSYS) (SCHULE) 1509 Antwerpen - 1575 Ebenda JUDITH UND IHRE MAGD MIT DEM HAUPT DES HOLOFERNES Öl auf Eichenholztafel. 73 x 98 cm (R. 84 x 107,5 cm). Tafel mit zwei alten horizontalen Bruchstellen (rest.). Part. altrest., besch. Rahmen. Provenienz: Norddeutsche Privatsammlung.
ECOLE FLAMANDE 16ème SIECLE PAR JAN MASSYS ou METSYS (c.1510-c.1575) Vierge en prière, ca.1530 Huile sur panneau de bois parqueté coulissant Anciennes étiquettes et cachets au dos avec une ancienne attribution à Quentin Massys datant de 1948 On connait une version presque similaire (44 x 35 cm) exposée au Musée du Prado à Madrid, version attribuée à son père Quentin Massys, mais remise aujourd’hui en question par plusieurs chercheurs et en passe d’être attribuée à Jan Massys. L’œuvre provenant de la Collection Royale avait été offerte par Philippe II au Monastère de San Lorenzo en 1597. Provenance : Vente Cornette de Saint Cyr décembre 1998 Condition : Panneau fendu Dimensions : 48,5 x 35 cm
MASSYS Jan (Anvers vers 1509-1573). Suiveur de. TABLEAUX Huile sur panneau collé sur panneau "Les joueurs de cartes à l'auberge". Suiveur de Jan Massys. Ecole flamande. Dim.:71x99.5cm.
MASSYS Jan (Anvers vers 1509-1573), Huile sur panneau collé sur panneau "Les joueurs de cartes à l'auberge". Suiveur de Jan Massys. Ecole flamande. Dim.:71x99.5cm.
Jan Massys (Antwerp c. 1509-before 1575) A merry company signed and dated 'JOANNES MASSIIS / 1557?' (centre right, on the table) oil on panel 28 7/8 x 40 3/8 in. (73.4 x 102.6 cm.)
THE PROPERTY OF A RELIGIOUS INSTITUTION ANTWERP CIRCA 1509 - BEFORE 8 OCTOBER 1575 THE NATIVITY signed and dated lower right: IOANNES MASSIIS ALIAS QUINTENS 1552 oil on panel transferred to canvas 98.5 by 76.5 cm.; 38 3/4 by 30 1/8 in.
JAN MASSYS Flamländsk skola, hans atelier omkring 1580 Sankt Hieronymus Olja på duk, 55 x 71 cm. Flemish school. His studio. Oil on canvas. EXPERTIS: Cabinet Turquin, Stéphane Pinta, Paris Similar painting sold at Sotheby´s London 16.04.1980, lotno.105
Manner of Jan Metsys (1510-1575, Flemish), (2) oil painting. Double portraits, (2) oils on oak panel, apparently unsigned, 9.75" x 12.5" (sight), framed - Condition Report: overall good/fair, craquelure, restorations, scattered paint lifting, not examined out of frame
JAN MASSYS, ca 1510-ca1575 Tillskriven/hans art. Musicerande och drickande män samt flicka. Pannå, 76x110. Sprickor. I övre delen borrat hål. 75000 (€8,010)
Oil on wood. 156 x 123,5cm. Framed. The work at hand depicts an allegory on the triumph above the earthly sexual love (inacted left)by the theological vitures faith(fides), hope (spes) and charity (caritas). Jan Massys (also Matsys or Metsys), son of the painter Quentin Massys, was an important flemish painter of mannerism. Banished from his home country by the inquisition, he arrived in Genua at the court of the admiral of Andrea Doria, emporer and ruler of Genua, in 1550. Here he became royal painter for the period of 6 years before returning to his home country. He was one of the first to introduce the mannerism of primaticcio to Flanders. Our depiction fascinates with its unusual quietness and rigidity which reminds of marble. Reminiscent of the splendid nudes by Massys is the naked figure standing left. Provenance:
The Holy Family signed and dated 'JOHANNES MASSIIS./1576.' (strengthened, upper right) oil on panel 353/4 x 26 5/8 in. (90.7 x 67.6 cm.) with old inventory no. '116' (on the reverse) PROVENANCE Graf Nikolaus Francis Esterh zy (d. 1897), Schloss von Nordkirchen, Ldinghausen, Westphalia, by 1847 (according to an inscription on the reverse), by whom bequeathed with Nordkirchen to his cousin Graf Moritz Esterh zy (d. 1900), by whom bequeathed with Nordkirchen to his son Graf Paul Esterh zy, by whose mother, Gr„fin Paula Esterh zy, n‚e Stockum, sold in 1903 with the castle and its contents to Engelbert, 9th duc d'Arenberg (1872-1949). Elisabeth, Princess Ruspoli di Poggio-Suasa, n‚e comtesse d'Assche (b. 1899); sale, Palais des Beaux Arts, Brussels, 31 January 1949, lot 63 (unsold), subsequently acquired privately from the Princess in 1949 by the father of the present owner. LITERATURE V. Scaff, 'Ioannes Qvintini Massiis Pingebat', in M‚langes d'Arch‚ologie et d'Histoire de l'Art, offerts au professeur Jacques Lavalleye, Leuven, 1970, p. 277. L. Buijnsters-Smets, Jan Massys, Een Antwerps schilder uit de zestiende eeuw, Zwolle, 1995, p. 229, no. 35 and 37, as 'Waarschijnlijk wel uit het Massys-atelier.' NOTES The artist was the eldest son of Quinten Metsys, in whose workshop he first learned to paint. In 1531, the year after Quinten's death, Jan and his brother, Cornelis, were enrolled as members of the Antwerp Guild of St. Luke. On 10 November 1544, both brothers were, with fourteen others, accused of heresy and exiled from Brabant. Jan fled to Italy, probably to Genoa, where he was influenced by the artistic community. More importantly, however, he appears subsequently to have travelled to France, given the apparent influence of the school of Fontainebleau on his later work. Towards the end of 1555, Massys returned to Antwerp, where he reestablished himself as one of the city's leading artists, being engaged, for example, in the construction of the new Town Hall and receiving from the city council an order for a courtroom painting of The Judgement of Solomon. Dr. Leontine Buijnsters-Smets, having inspected this picture in the original, considers it to be a largely autograph work by Jan Massys, thus revising her previously published judgement on the basis of the poor photograph in the 1949 auction catalogue (letter). Doctor Edwin Buijsen of the RKD, after inspection in the original considered the work to be fully autograph because of its high quality and stylistic similarity to the work of Massys (letter). Furthermore, he points out that the date on the picture is reinforced and that the restorer misintrepreted the date, which originally read 1556. Therefore the picture dates from four years after the signed and dated (1552) Nativity (Buijnsters-Smets, op. cit., 1995, no. 25), just after Massys returned to Antwerp from his eleven year exile. Certainly the picture show the development towards a more monumental type of composition, both in architecture and in the large figures that fill the picture plane, a characteristic typical of Massys' second Antwerp period. Buijsen notices the close similarity with the 1552 Nativity and of another picture of the same subject ( ibid., no. 23); he compares the Saint Joseph, on the other hand, with that in The Holy Family dated 1563, which shows Joseph as a fragile old man as opposed to the vivacious figure in the 1562 Nativity. Buijnsters-Smets also remarks on the high quality of the Madonna and Child and its similarity to the pictures mentioned by Buijsen. However, she ascribes the slightly unusual physiognomy of the Saint Joseph to a workshop assistant.
