case with yellow Siena marble and gilded bronze base, surmounted by the figure Psyche in the act of crowning Cupid in patinated bronze, iconography taken from the model by Claude Michallon (1751-1799); circular dial with Roman numerals signed "Ledure Bronzier Hémon", movement with wire suspension, pendulum regulator and bell striking the hours and half-hours. Claude Hémone and Pierre Victore Ledure, both active in Paris between the end of the 18th century and the first half of the 19th century. Item condition grading: **** good, currently working.
CLAUDE MICHALLON ATTRIBUE A. Le Maréchal Suchet en petit uniforme de maréchal, portant ses décorations dont l’ordre de la Légion d’honneur et l’ordre de Saint Henri de Saxe. Buste sur piédouche en plâtre à patine terre cuite. Cachet de cire rouge « MICHALON ». 78 x 60 cm. B.E. (légères égrenures aux décorations et sur le socle). Vers 1815. Œuvre en rapport : On retrouve un buste ayant un visage identique" mais avec un uniforme de général de la République dans les collections du Château de Bizy. Il est à noter que le sculpteur Claude MICHALLON a réalisé un buste du Maréchal Suchet en 1814-1815. Buste qui est repris dans croquis de portraits de personnages remarquables dans tous les genres et qui correspond au profil de notre buste tant dans le profil l’uniforme ou la disposition des décorations."
CLAUDE MICHALLON ATTRIBUE A. Le Maréchal Suchet en petit uniforme de maréchal portant ses décorations dont l’ordre de la Légion d’honneur et l’ordre de Saint Henri de Saxe. Buste sur piédouche en plâtre à patine terre cuite. Cachet de cire rouge « MICHALON ». 78 x 60 cm. B.E. (légères égrenures aux décorations et sur le socle). Vers 1815. Œuvre en rapport : On retrouve un buste ayant un visage identique, mais avec un uniforme de général de la République, dans les collections du Château de Bizy. Il est à noter que le sculpteur Claude MICHALLON a réalisé un buste du Maréchal Suchet en 1814-1815. Buste qui est repris dans croquis de portraits de personnages remarquables dans tous les genres et qui correspond au profil de notre buste, tant dans le profil, l’uniforme ou la disposition des décorations.
École française du XIXe siècle, d''après Claude Michallon (1751-1799) Psyché accolée à une colonne de marbre blanc Élément de pendule en bronze doré et patiné reposant sur un socle en pierre bleue et colonne en marbre blanc; assemblage postérieur H. 91 x L. 34 cm Psyché : H. 74 cm A French 19th century gilt bronze, white marble and blue stone statue of Psyche H. 35,83 x W. 13,38 in. Psyche : H. 29,13 in.
Pendule en bronze patiné, doré et diorite orbiculaire représentant l'Amour et Psyché d'après Claude Michallon (1751-1799). Le cadran émaillé signé de " GISSEY à Paris" avec indication des heures et des minutes. Il est flanqué de mascarons et colonnettes. Base rectangulaire décorée de palmettes reposant sur des pieds à griffes de lion. Epoque Empire. H: 88-L: 53,5-P: 25 cm 8 000 / 10 000 €. Gissey, Maître horloger à Paris, place de l'Hôtel de ville sous l'Empire. Le modèle original créé par le sculpteur Michallon sous le Directoire connaît un grand succès sous l'Empire, les frères Feuchère réalisent en bronze doré et bronze patiné plusieurs pendules dont une livraison aux Tuileries mentionnée en 1812 (1). Lors de la deuxième Exposition des Produits de l'Industrie Française en 1819, Moléon décrit longuement les bronzes réalisés par les Feuchère : « ... Pendule représentant l'Amour et Psyché, superbe modèle exécuté par le même feu Michallon. » Une pendule de modèle similaire est conservée à Paris au Ministère de la Marine (2), une autre se trouve en Angleterre, au Pavillon Royal de Brigh-ton. La diorite orbiculaire, appelée également Napoléonite, est une roche très ancienne qui semble-t-il n'a jamais été trouvée ailleurs qu'en Corse. Le plus grand gisement exploité était situé entre le Monte Piano Maggiore et la Punta Campalaggia. La présence de cette matière laisse à penser que cette pendule a pu être destinée à l'Empereur Napoléon. Un vase en forme d'amphore orné de bronze doré est conservé au château de Malmaison dans l'appartement de l'Empereur (3). (1) Exposition « Les Feuchère » Galerie André Lemaire, Paris, juin 1998, p. 25. (2) « Vergoldete Bronzen, die bronzearbeiten des Spätbarock und Klassismus » par H. Ottomeyer et P. Proschel, Munich, 1986 vol.I, reproduit p. 350 pl. 5.7.1. (3) « Malmaison guide de la visite » par B. Chevallier, Artlys 2001, p.32.
IMPORTANT CLOCK 'PSYCHE COURONNANT AMOUR',late Empire, the case by P.F. FEUCHERE (Pierre Francois Feuchere, 1737-1823), the figures after a model by C. MICHALLON (Claude Michallon, 1751-1799), Paris, 19th century. Burnished and gilt bronze and Griotte Rouge marble. Bronze chapter ring. Anchor escapement striking the 1/2 hours on bell. Silk thread suspension. Gilt mounts and applications. The movement requires restoration. 53.5x23.5x94 cm. PRUNK-PENDULE 'PSYCHE COURONNANT AMOUR', spätes Empire, das Gehäuse von P.F. FEUCHERE (Pierre François Feuchère, 1737-1823), die Figuren nach einem Modell von C. MICHALLON (Claude Michallon, 1751-1799), Paris, 19. Jh. Brünierte und vergoldete Bronze sowie 'Griotte Rouge'-Marmor. Stehende Psyche und Amor, zwischen ihnen das stelenförmige Uhrgehäuse, auf rechteckigem, gestuftem Sockel mit geflügelten Tatzenfüssen. Bronzezifferring mit römischen Stundenzahlen. Ankerwerk mit 1/2-Stundenschlag auf Glocke. Seidenfaden-Aufhängung. Vergoldete Beschläge und Applikationen in Form von Putti, Palmetten, Blumenkranz und Anthemion-Dekor. Werk zu restaurieren. 53,5x23,5x94 cm. Provenienz: Privatbesitz, Deutschland. Die Komposition dieses ausserordentlich beliebten Pendulenmodells findet sich in einem 1793 im 'salon' ausgestellten Gemälde von C.P. Landon (1760-1826) mit dem Titel 'L'union des Arts et de la Vérité'. Alle zeitgenössischen Quellen weisen auf C. Michallon als Urheber der Figuren hin. Von diesen beiden ausgehend, schuf L.F. Feuchère dieses Modell, das in den unterschiedlichsten Ausführen gefertigt wurde - mit variierendem Gehäuse, Sockel oder Füssen. 1819, zwanzig Jahre später, gewann er mit diesem Modell an der 'Exposition des Produits de l'Industrie' die Goldmedaille. Eine modellogleiche Pendule wurde in unserer November-Auktion 1995 (Katalognr. 4064) verkauft. Vergleichbare Pendulen sind abgebildet in: H. Ottomeyer / P. Pröschel, Vergoldete Bronzen, 1986; S. 350 (Abb. 5.7.1, heute im Ministère de la Guerre) und S. 669 (Abb. einer von L.F. Feuchère gefertigten Pendule). J.P. Samoyault, Pendules et bronzes d'ameublement entrés sous le Premier Empire, 1989; S. 56 (Abb. 12, eine Pendule aus dem Château de Fontainebleau). P. Kjellberg, Encyclopédie de la pendule française du Moyen Age au XXe siècle, 1997; S. 402. E. Niehüser, Die französische Bronzeuhr, 1997; S. 210 (Abb. 270). Einige dieser Pendulen sind heute im Besitz französischer Ministerien und Museen, eine befindet sich im Royal Pavillon von Brighton. Psyche war die jüngste und schönste von drei Königstöchtern. Ihre Schönheit war so aussergewöhnlich, dass die Menschen Psyche als irdische Venus feierten und anbeteten, was den Zorn und die Eifersucht der 'echten' Liebesgöttin erweckte. Venus befahl ihrem Sohn Amor, Psyche mit der Liebe zum lächerlichsten und niedrigsten aller Menschen zu bestrafen. Als Amor aber die überirdisch schöne Psyche erblickte, verliebte er sich in sie. Er und seine Geliebte mussten viele Abenteuer bestehen, ehe sie heiraten durften und Psyche die Unsterblichkeit erhielt. C. Michallon war als Bildhauer erst in Rom und später in Paris tätig. Er schuf vor allem Büsten berühmter Persönlichkeiten wie Rousseau, Winckelmann und Montaigne, die heute im Musée des Monuments français stehen, Dekorationen für Festlichkeiten und einen Obelisken für den Pont-Neuf. Lit.: Thieme/Becker, Leipzig 1999; 23/24, S. 509 (biogr. Angaben zu Michallon).
IMPORTANT MANTEL CLOCK 'PSYCHE COURONNANT L'AMOUR',Empire, the case by L.F. FEUCHERE (Lucien François Feuchère, 1737 Paris1823), the figures after a model by C. MICHALLON (Claude Michallon, 1751-1799), the dial signed GERARD A PARIS RUE DU COQ ST. HONORE, Paris circa 1815/25. Burnished and gilt bronze with 'Griotte Rouge' marble. The enamel dial edged in fine relief-decorated ring. 2 blued hands. Anchor escapement striking the 1/2 hours on bell. Silk thread suspension. Gilt mounts and applications. 55.5x23.5x86 cm. PRUNK-KAMINPENDULE 'PSYCHE COURONNANT L'AMOUR', Empire, das Gehäuse von L.F. FEUCHERE (Lucien François Feuchère, 1737 Paris1823), die Figuren nach einem Modell von C. MICHALLON (Claude Michallon, 1751-1799), das Zifferblatt sign. GERARD A PARIS RUE DU COQ ST. HONORE, Paris um 1815/25. Brünierte und vergoldete Bronze sowie 'Griotte Rouge'-Marmor. Stehende Psyche und Amor, zwischen ihnen das stelenförmige Uhrgehäuse, auf rechteckigem, gestuftem Sockel mit geflügelten Tatzenfüssen. In fein mit Lanzettfries reliefierte Lünette gefasstes Emailzifferblatt mit römischen Stundenzahlen. 2 gebläute Zeiger. Ankerwerk mit 1/2-Stundenschlag auf Glocke. Seidenfaden-Aufhängung. Vergoldete Beschläge und Applikationen in Form von Putti, Palmetten, Blumenkranz und Anthemion-Dekor. 55,5x23,5x86 cm. Die Komposition dieses ausserordentlich beliebten Pendulenmodells findet sich in einem 1793 im 'salon' ausgestellten Gemälde von C.P. Landon (1760-1826) mit dem Titel 'L'union des Arts et de la Vérité'. Alle zeitgenössischen Quellen weisen auf C. Michallon als Urheber der Figuren hin. Von diesen beiden ausgehend, schuf L.F. Feuchère dieses Modell, das in den unterschiedlichsten Ausführen gefertigt wurde - mit variierendem Gehäuse, Sockel oder Füssen - und im Jahr 1819, zwanzig Jahre nach deren Erschaffung, er anlässlich der Vème Exposition des Produits de l'Industrie 1819 die Goldmedaille erhielt. Die erste Erwähnung dieses Modells, mit Werk von A. Janvier, findet sich in einer Auktion von 1805. In der IVème Exposition des Produits de l'Industrie im Jahre 1806 wird eine solches mit 'figures en vert antique' gelobt. Der Garde Meuble Impérial, der 'maréchal-prince' von Wagram, der Marquis de Drée erwarben verschiedene Ausführungen. Der Grossherzog von Würzburg erhielt von J.L. Feuchère ein Angebot mit den Hinweisen zu den diversen Preiskategorien der Ausführungen: '3400 francs entièrement dorée, 2200 francs avec les figures patinées, et 400 francs un socle simple sans ornaments'. Das hier angebotene Modell ist in Feuschères 2. Schaffensphase einzuordnen; dies wird durch die Fixierung des Zifferblattes mit der 'borne'evident. Eine modellogleiche Pendule wurde in unserer November-Auktion 1995 (Katalognr. 4064) verkauft. Vergleichbare Pendulen sind abgebildet in: H. Ottomeyer / P. Pröschel, Vergoldete Bronzen, 1986; S. 350 (Abb. 5.7.1, heute im Ministère de la Guerre) und S. 669 (Abb. einer von L.F. Feuchère gefertigten Pendule). J.P. Samoyault, Pendules et bronzes d'ameublement entrés sous le Premier Empire, 1989; S. 56 (Abb. 12, eine Pendule aus dem Château de Fontainebleau). P. Kjellberg, Encyclopédie de la pendule française du Moyen Age au XXe siècle, 1997; S. 402. E. Niehüser, Die französische Bronzeuhr, 1997; S. 210 (Abb. 270). Einige dieser Pendulen sind heute im Besitz französischer Ministerien und Museen, eine befindet sich im Royal Pavillon von Brighton. Psyche war eine Königstochter von so aussergewöhnlicher Schönheit, dass jeder sie bewunderte und dabei die Verehrung der Schönheits- und Liebesgöttin Venus vernachlässigte. Wütend über diese Schmach befahl Venus ihrem Sohn Amor, das Mädchen in einen hässlichen Mann verliebt zu machen. Doch Amor verliebte sich selbst in die schöne Psyche und liess ihre Eltern durch einen Orakelspruch Apollos weissagen, sie müssten ihre Tochter für eine Hochzeit kleiden und sie zu einer einsamen Bergspitze bringen, wo sie von einem Dämon entführt und geheiratet würde. Trotz der Trauer wagen die Eltern nicht, sich dem Spruch zu widersetzen, und brachten Psyche, prächtig gekleidet, auf die Bergspitze. Entführt wurde sie aber von Zephyr, dem sanften Westwind, der in einen prächtigen Palast brachte. In der folgenden Nacht gesellte sich Amor unerkannt als Bettgenosse zu ihr, verbot ihr aber, ihn anzusehen. Psyche erlebte mit Amor viele glückliche Stunden und wollte ihren Schwestern davon erzählen. Amor erlaubte den Besuch und liess die Schwestern von Zephyr zu ihr bringen. Die Mädchen waren bald erfüllt von Eifersucht auf Psyches Glück und redeten ihr ein, ihr Liebhaber sei gewiss der böse Dämon, wie ja das Orakel geweissagt hatte. Psyche konnte ihre Neugier und Angst nicht länger zügeln. Eines Nachts ergriff sie eine Öllampe und einen Dolch und trat ans Bett des schlafenden Amor, um den vermeintlichen Dämon zu töten. Doch als das Licht auf den wunderschönen Amor fiel, erkannte die genarrte Frau den Gott. Vor Bewunderung und Schrecken ganz starr achtete Psyche nicht auf die Lampe - ein Tropfen heisses Öl fiel auf die entblösste Schulter Amors und weckte ihn. Vom Vertrauensbruch enttäuscht entfloh er und liess die verzweifelte Psyche allein zurück. Sie musste später zahlreiche Aufgaben der Götter lösen und verfiel, nach Einnahme des Geruchs eines versiegelten Fläschchens, in einen todesähnlichen Schlaf. Amor, der es längst bereute, Psyche verlassen zu haben und auf der Suche nach ihr war, fand die Schlafende und weckte sie durch die Berührung der Liebsten mit seinen Flügeln. Der Göttervater selbst hatte nun Erbarmen mit dem bezaubernden Paar und sprach ein Machtwort. Als 'Strafe' für das ungebührliche Verhalten und um den Streichen und der jungendlichen Flatterhaftigkeit Amors ein Ende zu setzen - auch Jupiter war des Öfteren Opfer von den Liebespfeilen geworden - müsse Amor sich verheiraten, die freie Wahl der Braut sei ihm gestattet. Natürlich wählte Amor seine Psyche und feierte mit ihr eine rauschende Hochzeit, an der sämtliche Götter teilnahmen. Psyche wurde so unsterblich und erhielt ihren Platz im Olymp. C. Michallon war als Bildhauer erst in Rom und später in Paris tätig. Er schuf vor allem Büsten berühmter Persönlichkeiten wie Rousseau, Winckelmann und Montaigne, die heute im Musée des Monuments français stehen, Dekorationen für Festlichkeiten und einen Obelisken für den Pont-Neuf. Lit.: Thieme/Becker, Leipzig 1999; 23/24, S. 509 (biogr. Angaben zu Michallon). H.L. Tardy, Dictionnaire des horlogers français, Paris 1976; S. 253 (kurze biogr. Angaben zu Gérard à Paris).
Grande pendule de style Restauration en bronze doré et bronze à patine brune surmontée de "Psyché couronnant l'Amour" d'après Claude Michallon (1751-1799). Mouvement signé Aug. Marchand, Rue de Richelieu n°59. Travail parisien. Epoque : début XIXème. H.:66.5cm.
1 PAAR PRUNK-GIRANDOLEN 'FLORE ET ZEPHYR', Empire, wohl nach Vorlagen von C. MICHALLON (Claude Michallon, 1751-1799), aus einer Pariser Meisterwerkstatt, um 1810. Bronze matt- und glanzvergoldet bzw. brüniert und 'Griotte Rouge'-Marmor. Auf Kugel stehende Flora bzw. Zephyr, je 2 Schäfte mit vasenförmigen, reliefierten Zentraltüllen und 3 geschweiften Lichtarmen mit zylindrischen Tüllen tragend, auf hohem, gestuftem Rechteck-Postament. Ausserordentlich reiche, matt- und glanzvergoldete Bronzebeschläge und -applikationen in Form von Lorbeerkränzen, Palmetten, Zierbändern und Anthemion-Dekor. H 138 cm. Provenienz: Aus einer römischen Privatsammlung. Hochbedeutendes, ausserordentlich seltenes Paar von bestechender Qualität und Eleganz. Ein in der Grundstruktur und Dimension analoges Paar mit geflügelten Apollo und Diana befindet sich heute in den Sammlungen von Schloss Fontainebleau (Inventarnr. F 3824) und ist abgebildet in: H. Ottomeyer / P. Pröschel, Vergoldete Bronzen - Die Bronzearbeiten des Spätbarock und Klassizismus, München 1986; I, S. 390 (Abb. 5.17.3). Eine Zuschreibung an eine bestimmte Pariser Meisterwerkstatt ist nicht einfach. Das erwähnte Paar aus Fontainebleau trägt laut Ottomeyer / Pröschel die Signatur von C. Galle. In einem Auktionskatalog der Firma Feuchère aus dem Jahr 1816 werden Leuchter zusammen mit der Pendule 'Amour et Psyché' angeboten und als Entwürfe von Michallon bezeichnet. Die Qualität des hier angebotenen Paares weist jedenfalls auf eine bedeutende Werkstatt des aus der Empire-Epoche hin - z.B. Feuchère, Galle, Thomire -, die Quellenlage erlaubt jedoch keine genaue Zuschreibung. C. Michallon war als Bildhauer erst in Rom, dann in Paris tätig, schuf vor allem Büsten berühmter Persönlichkeiten wie Rousseau, Winckelmann und Montaigne, die heute im Musée des Monuments français stehen, Dekorationen für Festlichkeiten und einen Obelisken für den Pont-Neuf. Michallon stürzte 1799 bei der Arbeit an Reliefs für das 'Théâtre français' zu Tode. Lit.: Thieme/Becker, Leipzig 1999; 23/24, S. 509 (biogr. Angaben). E. Benezit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Gründ 1999; 9. (biogr. Angaben).
Claude Michallon French, 1751-1799 after the antique the dying gaul signed and dated: C. Michallon roma 1799 white marble 32 by 62 cm., 12 5/8 by 24 3/8 in. Also known as the Dying Gladiator, the original marble was first recorded in the inventory of the Ludovisi collection in 1623. Along with a number of other classical marbles it was ceded to the French during the Napoleonic wars but was returned to Rome in 1816. It is now in the Capitoline Museum. It remains one of the most admired classical statues and is referred to in the fourth canto of Byron's Childe Harold (1818). Born in Lyon, Michallon moved to Paris to work under Pierre Monnot and Bridan. He won the premier prix de sculpture in 1785 with a relief of Brutus condemning his sons to death. He arrived in Rome in December that year and remained in Italy until 1793. Whilst at the French Academy in Rome he executed the tomb for the painter Germain Drouais. Back in Paris Michallon made a series of portrait busts for the Musee des Monument francais including those of Wincklemann, Gluck and Rousseau. One of his last works is the large marble statue of Cato in the Chambre des Deputes, Paris. Michallon died from a fall whilst working on the decoration of the Theatre-Francais in September 1799. The inscription on the present finely executed marble would indicate that Michallon made one last trip to Rome in the year of his death. Related literature: Lami, vol.4 II pp.134-5