Restout, Jean (1692-1768). Sitzender Mann mit angezogenem Bein, seinen Fuß betrachtend. Kreidezeichnung, Rötel. Bütten, Wasserzeichen TA Dupui Auvergne sowie Traube in Flasche. 54:40,8 cm. Zu den großformatigen form- und motivverwandten Zeichnungen Restouts vgl.: H. Widauer, Die französischen Zeichnungen der Albertina, 2004, Nr. 1151, Abb. S. 250, »…erhielt er alle akademischen Weihen, die die Pariser Akademie zu vergeben hatte, einschließlich der Posten des Kanzlers und Direktors«; J. Bean, The Metropolitan Museum, New York 1986, Nr. 260 (Abb. Wikipedia); Nationalmuseum Stockholm, Inv. NMH 2973-1863.
Académie : homme vu de dos, le bras droit levé.Pierre noire et craie blanche sur papier brun. 51,6 x 39,8 cm. Provenance : Avec Jacques Petithory, Paris, en 1977. Bibliographie : P. Rosenberg et A. Schnapper, « Some New Restout Drawings », Master Drawings, vol. XV, 1977, n°2, p. 171, note 5, pl.22. C. Gouzi, Jean Restout, peintre d’histoire à Paris, Paris, 2000, n°D.8. Selon Christine Gouzi, la partie basse de cette académie est similaire à une feuille conservée au Nationalmuseum de Stockholm datée autours de 1730 (op. cit., D.11). Cependant, elle date le présent dessin vers 1725 au regard des contours de la silhouette qui sont à la fois vigoureusement découpés et très anguleux, comme dans les académies de Jouvenet.
Académie : homme penché en avant. Pierre noire et craie blanche sur papier brun. 45,2 x 36 cm. Provenance : Vente anonyme, Paris, Hôtel Drouot, 8 novembre 1972. Avec Jacques Petithory, Paris. Bibliographie : P. Rosenberg et A. Schnapper, « Some New Restout Drawings », Master Drawings, vol. XV, 1977, n°2, p. 171 note 5, pl. 21. C. Gouzi, Jean Restout, peintre d’histoire à Paris, Paris, 2000, n°D.122. Selon Christine Gouzi, cette académie aurait pu servir comme étude pour la figure de Moïse dans la Transfiguration, à l’église Saint-Thomas d’Aquin à Paris, exécutée vers 1760 (C. Gouzi, op. cit., n°P.181).
Académie : homme assis sur une draperie effrayé par un dragon. Pierre noire et craie blanche sur papier brun. 53,2 x 40 cm. Provenance : Avec Galerie La Scala, Paris, en 1985. Bibliographie : C. Gouzi, Jean Restout, peintre d’histoire à Paris, Paris, 2000, n°D.68. Selon Christine Gouzi, il est difficile de dater cette académie. En revanche, elle la rapproche d’une datant de 1725 et une seconde datant de 1734. Elle indique que « les muscles déliés et fins, les petits traits de crayon qui marquent les replis du ventre pourraient indiquer une période plus tardive, située entre 1735 et 1740 ».
Jean II RESTOUT (1692-1768) zugeschrieben, Christus in Emmaus, Öl auf Leinwand, Maße: 109 x 88 cm, Rahmen, leicht gedunkelt, Expertise von 1981 (Schätzung 28.000 Franc, ca. 4260 Euro). Provenienz: Hess. Privatsammlung.
Jean II RESTOUT Rouen, 1692 - 1768, Paris Ananie imposant les mains à saint Paul Huile sur toile Signée et datée en bas à droite Restout pinxit. 1726 101,7 x 80,9 cm Ananie laying hands on saint Paul Oil on canvas Signed and dated lower right 40 x 31 7/8 in. BIBLIOGRAPHIE EN RAPPORT Christine GOUZI, Jean Restout. 1692-1768. Peintre d'histoire à Paris, Paris, Arthéna, 2000, pp. 199-201. PROVENANCE Vente Tajan, 19 décembre 2007, lot 27, repr. p. 40. La première version de cette composition a été commandée en 1719 à Jean Restout et a été offert à l'église de Saint-Germain-des-Prés. En raison de l'emploi d'une matière trop grasse, l'œuvre s'est rapidement dégradée. Conservée aujourd'hui au musée du Louvre, son état la rend impossible à exposer. Une réduction autographe est néanmoins également conservée par le musée et exposée.
An original ink painting on vellum after the painting by Jean II Restout (1692-1768) The Death of Alexander the Great. Unknown artist, French school. Circa the late 18th or early 19th-century.
KOPF EINES BÄRTIGEN MANNES Kohle auf braunem Papier, weiß gehöht. 18 x 22 cm. Verso mit alten Vermerken. Im hellblauem Passepartout. Ungerahmt. Provenienz: Hubert de Marignane. (13000980) (13)
JEAN RESTOUT (Rouen 1692-1768 Paris) The Rest on the Flight to Egypt black and white chalk, on brown (formerly blue) paper mounted on canvas 21 3/4 x 18 1/4 in. (55.5 x 46.5 cm)
An original ink painting on vellum after the painting by Jean II Restout (1692-1768) The Death of Alexander the Great. Unknown artist, French school. Circa the late 18th or early 19th-century.
Jean Restout the Younger (French 1692-1768) Drapery studies, recto and verso inscribed 'Tableau des Capucins/ de Rouen' black and white chalk on grey paper 26 x 26 cm Footnote: Provenance: Christie's, Paris, 17th March 2005, lot 123
Jean RESTOUT (Rouen 1692 – Paris 1768) Tête de la Vierge Pierre noire, et rehauts de craie blanche sur papier gris 13 x 10,7 cm Mis au carreau, pliures Annoté J.R en bas à droite Étude pour La descente du Saint Esprit (Louvre, inv.20303)
(POSSIBLY BY) JEAN II RESTOUT (1692–1768), HISTORICAL SCENE sanguine on paper, old Durant collection. Old inscriptions on the back. Unframed. Dim.: 23x31 cm.
JEAN RESTOUT (Rouen 1692 – Paris 1768) Tête de la Vierge Pierre noire, et rehauts de craie blanche sur papier gris" 13 x 10,7 cm" Mis au carreau, pliures" Annoté J.R en bas à droite "Étude pour La descente du Saint Esprit (Louvre, inv.20303)"
Attribué à Jean RESTOUT (Rouen 1692 - Paris 1768) "Etude de dos et sa trace de contre-épreuve". Crayon noir et rehauts de craie blanche sur papier chamois 19,5x24 cm. Signé en haut à droite. (Pliure centrale verticale, petites taches). Notre dessin semble préparatoire pour l'étude du personnage de gauche dans la toile intitulée "Vénus demandant à Vulcain des armes pour Enée" peinte par Restout vers 1717. Toutefois, dans un autre tableau intitulé "Saint Vincent de Paul prêchant sur les galères", tableau disparu dont nous n'avons plus que la gravure, le dos du galérien du premier plan est aussi très proche de notre étude (voir C.Gouzi, Jean Restout, peintre d'histoire à Paris, Arthéna, Paris, 2000, p.196, fig.P5, rep. et p.224, fig.P47, rep.).
Attribué à Jean RESTOUT (1692-1768) Saint André Toile 68 x 54 cm SAINT ANDREW, OIL ON CANVAS, 26 3/4 X 20 1/2 Religious Art French School Old masters painting
Jean Restout II (Rouen 1692-1768 Paris) Portrait of Pierre Vigné, called Vigné de Vigny (1690-1772), half-length oil on canvas, unlined 32 1/8 x 25 5/8 in. (81.6 x 65 cm.)
ATTRIBUE A JEAN RESTOUT (ROUEN 1692 - PARIS 1768) PORTRAIT DE GENTILHOMME A LA LETTRE Toile Restaurations anciennes Dans un cadre en bois sculpté et doré, travail français d’époque Régence 82 X 66 CM - 32 1/4 X 26 IN. Portrait of a gentleman writing a letter, canvas. French Regency period carved and giltwood frame.
Jean RESTOUT (Rouen 1692 - Paris 1768) Agar et lange Toile 105 x 137,5 cm Signé et daté en bas à gauche Restout / 1745 Usures et restaurations Provenance : Collection particulière, Rome, 1970. Bibliographie : C. Gouzi, Jean Restout 1692-1768. Peintre dhistoire à Paris, Paris, 2000, n° P. 124, reproduit (localisation inconnue).
Jean RESTOUT (Rouen 1692- Paris 1768) L’abbé Tournus en compagnie du diacre Pâris sur le chemin de Port Royal, ou « Le pèlerinage de piété ». Huile sur toile, rentoilée 104,5 x 135 cm Bibliographie : Christine Gouzi, Jean Restout, 1692-1768, peintre d’histoire. Arthena, Paris, 2000. 2011, Musée de Port Royal des Champs, Jean Restout et les miracles de saint Médard. Oeuvres en rapport : - Les portraits de l’abbé Tournus : numéros P 55, P56, P57, ainsi que les numéros PR4, PR5, PR6 PR7 et PR8 du catalogue raisonné de Christine Gouzi. - Les portraits du diacre Pâris et de l’abbé Tournus, gravures numéros G44, G45 et G46 du même catalogue illustrant le « Pèlerinage de piété ». Concernant la gravure G44 de G.F. Schmidt, Christine Gouzi précise : « On ne sait si Schmidt disposa d’un original peint à l’huile de Restout ou d’un simple dessin. Il est néanmoins possible que Restout est peint un tableau sur ce thème », voir aussi la note 186 page 179. L’abbé Louis-Firmin Tournus (1672-1733), ancien curé du diocèse de Lyon, fut le compagnon et le guide spirituel du jeune diacre François Pâris (1690-1727) qui devint une importante figure du jansénisme, il fut aussi le confesseur de Louis-Basile Carré de Montgeron (1686-1754) écrivain et magistrat français défenseur du jansénisme et des convulsionnaires. Ces trois personnages sont liés au mouvement janséniste qui se développa en France à la suite de la promulgation en 1713 de la bulle Unigenitus Dei Filius et dont Jean Restout fut l’un des représentants. La vie édifiante du diacre Pâris impressionna les esprits, et après sa mort le bruit couru que des miracles s’accomplissaient sur sa tombe au cimetière Saint Médard. Celui ci devint alors le théâtre de scènes d’extases et de convulsions collectives qui conduisirent le pouvoir à fermer le cimetière en 1732.
Jean RESTOUT (Paris 1692-1768) Jacob et Laban 78 × 63 cm (Restaurations et manques) Provenance : Vente anonyme, Paris, Hôtel Drouot, 24 juin 2005 (Piasa), n° 46. Notre tableau est une reprise autographe de l'oeuvre de Jean Restout conservée au Musée des Beaux Arts de Rouen (toile, 83 × 67 cm) et dont le pendant, Jacob et Rachel, peint par François Lemoine, est conservée dans une collection particulière.
Jean Restout Rouen, 1692 - Paris, 1768 Portrait de l'architecte Pierre de Vigny Huile sur toile (Toile d'origine) 'PORTRAIT OF PIERRE DE VIGNY, ARCHITECT', OIL ON CANVAS, BY J. RESTOUT h: 81 w: 64 cm Provenance : Ancienne collection du comte de Beaumont, descendant du modèle, Saumur, vers 1890 ; Puis par descendance aux propriétaires actuels ; Collection particulière, Périgord Expositions : 'Le siècle de Louis XV : peinture française de 1710 à 1774', cat. exp. par Pierre Rosenberg, Ottawa, Chicago, Toledo, 1976, p. 70-71, pl. 34, n° 84 Bibliographie : Charles de Beaumont, 'Documents nouveaux sur Pierre Vigné de Vigny architecte', Paris, 1898, repr. p. 19 Michel Gallet, " L'architecte Pierre de Vigny 1690-1772. Ses constructions, son esthétique ", in 'Gazette des Beaux-arts', novembre 1973, p. 268 et 283, note 26, pl. 1 Heinrich Geissler et Pierre Rosenberg, "Un nouveau groupe de dessins de Jean-Restout (1692-1768) au musée de Stuttgart", in 'Jahrbuch der Staatlichen Kunstsammlungen in Baden-Württenberg', XVII, 1980, repr. p. 152, fig. 26 Christine Gouzi, 'Jean Restout. 1692-1768. Peintre d'histoire à Paris', Paris, Arthena, 2000, p. 208, n° P. 23 Alexandre Gady, Jean-Marie Pérouse de Montclos, 'De l'esprit des villes: Nancy et l'Europe urbaine au siècle des lumières, 1720-1770', cat. exp. Nancy, Musée des Beaux-Arts, 2005, p. 301, mentionné dans la notice du n° 2 Commentaire : Œuvre en rapport : Un dessin très probablement préparatoire à ce portrait, the Art Museum of Princeton University (Gouzi, p. 334, n° D 5) Rares sont les tableaux qui parviennent jusqu'à nous totalement préservés des aléas du temps. C'est pourtant le cas de ce portrait présenté dans un exceptionnel état et conservé précieusement par les descendants du modèle jusqu'à nos jours. Les empreintes du rabot sur le châssis, les clous fixant cette toile légèrement distendue et cette belle moulure dessinée dans un chêne ancestral qui encadre ce visage épanoui du Siècle des Lumières ; voilà ce qui apparait lorsque l'on s'approche de ce portrait de Pierre de Vigny. Réalisée il y a près de trois siècles, le parfait état de conservation de cette huile sur toile témoigne des très hautes exigences techniques des peintres du XVIIIe siècle. Jean Restout réalise un portrait à la fois intime et empreint d'une grande dignité. Les traits de cet architecte à l'honnête carrière au service de Louis XV sont fixés avec souplesse et brio ; la délicate harmonie des couleurs et ce jeu savant des bleus et des gris, des blancs et des roses nous séduisent. Tout dans ce portrait nous laisse deviner la proximité du peintre et de son modèle qui furent sans doute amis. L'architecte Pierre Vigné, dit Vigné de Vigny (1690 - 1772), était de la même génération que Restout et tous deux travaillèrent à la fois pour le Régent et le duc de Luynes. Christine Gouzi ne sait si le portrait fut exécuté dans les années 1720 ou au début des années 1730 mais selon elle le modèle n'est pas âgé de plus de 40 ans sur notre tableau1. Le peintre le représente dans son cabinet de travail, un compas à la main devant une bibliothèque contenant des ouvrages de Vitruve et les 'Mathématiques du constructeur'. Bien qu'il semble avoir été un bon praticien, l'œuvre de Pierre de Vigny n'a pas été considérable. Nous lui devons la façade de l'hôtel Chenizot à Paris et le corps principal du château de Malesherbes, élevé entre 1720 et 1724 alors qu'il n'était encore que le collaborateur de Robert de Cotte. Il apporte au financier Antoine Crozat des solutions sages mais pratiques pour l'aménagement de la cour du Dragon et sa réalisation la plus ambitieuse reste l'Hospice général de Lille sur lequel il travailla à partir de 1739. La longue façade de près de 140 mètres de long de cet édifice témoigne de l'ampleur du projet qui prévoyait initialement six cours intérieures alors que seules trois furent construites. Au-delà de ces projets construits, il convient de s'attarder avec une attention extrême sur la personnalité de cet honnête homme membre de plusieurs sociétés savantes et grand collectionneur de peintures (parmi lesquelles figuraient plusieurs tableaux de Restout). Envoyé jeune à Constantinople pour étudier l'opportunité de la reconstruction de l'Ambassade de France dominant les rives du Bosphore, il en accompli des relevés complets et y réalisa d'ambitieux projets qui ne virent jamais le jour, puisque la Maison de France attendit sa reconstruction jusqu'en 1775. Notre jeune architecte prit son temps sur le chemin du retour et séjourna sept semaines à Rome. Alors que ses contemporains Robert de Cotte et Ange-Jacques Gabriel ne retenaient que les leçons du Bernin, Pierre de Vigny fut fasciné par l'œuvre de son grand rival Borromini. Chez Pierre de Vigny, l'œuvre théorique est bien plus importante que ses réalisations architecturales. Ses écrits nous semblent aujourd'hui totalement avant-gardistes pour son époque. Sa vision théorique semble en effet avoir sauté l'époque néoclassique pour épouser le romantique architectural et la combinaison infinie des influences et des formes. Rejetant l'architecture classique, il écrit ainsi en parlant de Borromini : " Cet architecte las d'être resserré dans la manière gênante de l'antique, se livra (…) à la beauté de son génie, et fit des merveilles sans suivre aucune règle prescrite par les monuments de son pays, comme on peut voir à l'Eglise de la Sapience2". Appelé à Reims, il répare de fond en comble la cathédrale et déploie un somptueux ensemble de grilles au pourtour et à l'entrée du chœur. Cette expérience semble avoir une fois de plus nourri la vision originale de son art. Dans sa Dissertation sur l'architecture qu'il présenta pour sa réception à la Société royale en 1740 et publia en 1752, il relève les beautés particulières à chaque grand monument de diverses civilisations et révoque la primauté reconnue par l'Occident aux ordres gréco-romains. Le qualificatif de gothique est largement étendu au Moyen-âge chrétien, de Théodoric au flamboyant. Parmi les références dont Vigny émaille son plaidoyer pour l'art gothique, il est intéressant de relever Royaumont et Saint-Nicaise de Reims entre Cantorbéry et Beauvais. Comme l'écrit Michel Gallet : " Dans le courant de pensée qui prépare insensiblement la réhabilitation de l'art médiéval, un Jean-François Félibien, un Michel de Marolles ont pu précéder Vigny. Il reste que le ton de ses pages étonne à la date de 1740. L'architecte occupé à restaurer Reims rejoint, sans les connaitre, et dépasse en conviction ses deux contemporains, les lyonnais Delamonce et Clapasson3 ". S'écartant des classiques, Pierre de Vigny utilise l'architecture gothique pour célébrer Borromini dont les détracteurs avaient souvent dit que son art était un retour à l'inspiration gothique. Mais si ces " écarts de conduite " étaient tolérés dans les arts décoratifs, ils allaient néanmoins être condamnés par la pensée unique des années 1750, c'est-à-dire par Jacques-François Blondel et les conseillers artistiques de Madame de Pompadour alors que les réflexions de Vigny auraient ouvert des voies que l'architecture ne parcourra que cent ans plus tard : " Puisqu'il y a plusieurs routes pour réussir, il faut chercher un moyen pour les varier et les augmenter à l'infini : il faut adopter les productions de tous les peuples et de tous les siècles, les perfectionner, les délivrer de la tyrannie de la mode antique, et par une entière liberté d'exercer son génie, prendre de chacun ce qu'il y a de mieux pensé pour le mettre en usage4. " 1 - Christine Gouzi, 'Jean Restout, Peintre d'histoire à Paris', Paris, 2000, p. 208 2 - Pierre de Vigny, 'Mémoire sur l'architecture', BN, Manuscrit français 19094, f°6, r° 3 - Michel Gallet, " L'architecte Pierre de Vigny 1690-1772. Ses constructions, son esthétique ", in 'Gazette des Beaux-Arts', novembre 1973, p. 278. 4 - Pierre de Vigny, 'op. cit.'
JAKOB SEGNET SEINEN SOHN ISAAK Öl auf Kupfer. 84 x 114 cm. Um 1730. Ohne Rahmen. Darstellung der altbiblischen Geschichte aus Genesis Kapitel 27, wonach Jakob der Stammvater der Israeliten im hohen Alter und nahezu blind geworden, seinen zweitgeborenen Sohn Isaak segnet. Dies bedeutet eine Bevorzugung gegenüber dem Erstgeborenen Esau. Vorbereitet wurde dieser Betrug durch die Mutter Rebecca, die hier an einem Lehnstuhl stehend wiedergegeben ist, während Esau noch auf dem Felde weilt. Der Legende gemäß hat Esau im Gegensatz zu seinem Bruder eine stärkere Arm- und Händebehaarung, weswegen sich Isaak hier eines härenen Handschuhs bedient um den Vater zu täuschen. Die Szenerie ist im Innenraum einer höfischen Architektur wiedergegeben, mit Rundbogen und Säule, ganz im Gegensatz zur tatsächlichen Situation des damaligen Nomadenlebens. Lediglich die Form des roten Baldachins mag an die Zelte Jakobs erinnern. In subtiler Weise hat der Maler den links stehenden Hund so wiedergegeben, als würde er zur Türe hin rückblickend den wahren Erben zur Segenshandlung noch erwarten. Der Stammvater Jakob ist im Bett aufrecht sitzend wiedergegeben, die rechte Hand zum Segensgestus erhoben, die linke berührt den Handschuh des Sohnes, der vor ihm kniet, sein Hirtenstab und sein Beutel am Boden. Rechts daneben ein Tisch mit halb zurückgezogener, weißer Tischdecke, darauf ein Bratenstück sowie ein Brotlaib, davor am Boden eine Wasserkanne. Der Maler hat der Figur der alt gewordenen Rebecca ein junges Mädchen beigesellt, deren Identifizierung unklar bleibt. Wie so häufig in der Barockmalerei des Abendlandes wird auch hier die historische Szenerie in die barocke JetztZeit versetzt, um idealiter der Würde der Dargestellten einen höfischen Rahmen zu geben. Die kräftige Farbigkeit ist abgemildert durch markante Schattengebung, die auch im Detail durchgezogen ist. Anmerkung: Der Malstil lässt Einflüsse des Peter Paul Rubens erkennen, insbesondere im Vergleich mit dem ebenfalls altbiblischen Themengemälde "Samson und Dalila", das sich im Louvre befindet. Das vorliegende Gemälde steht stilistisch in engem Zusammenhang mit dem ebenfalls von Restout geschaffenen Gemälde mit Darstellung des Pessachfestes, von 1732, das sich ebenfalls im Louvre befindet. Gutachten: Dem Gemälde ist eine Expertise von Mario Malcangi vom 10. August 1994 beigegeben. (940031) Jean Restout, 1692 - 1768 Oil on copper. 84 x 114 cm. Circa 1730. Without frame. The painting style indicates the influence of Peter Paul Rubens, especially when comparing the work with a painting held at the Louvre, which also depicts an Old Testament scene, 'Samson and Delilah'. Stylistically, this painting seems to be closely connected to another of Restout's paintings, the depiction of the 'Paschal Festival' of 1732, which is also held at the Louvre. Expert's report: An expert's report by Mario Malcangi, dated 10 August; 1994, is enclosed.
Jean RESTOUT (Rouen 1692 - Paris 1768) "Académie d'homme assis de face sur un bloc, la jambe droite repliée Pierre noire et rehauts de blanc sur papier beige. Porte une inscription en bas au centre Restout... "
JEAN RESTOUT (CIRCLE OF) (Rouen 1692-1768 Paris) A Seated Female Ruler with Attendants. Red chalk and brownish gray ink and wash on cream laid paper. 145x250 mm; 5 3/4x9 3/4 inches.
JEAN RESTOUT (ROUEN 1692-1768 PARIS) Etude d'hommes et de femmes priant; et Deux têtes d'hommes et études subsidiaires de mains pierre noire, craie blanche, estompe sur papier beige, non encadré 58 x 146 mm.; 145 x 234 mm. (sur le même montage) (2)
ATTRIBUE A JEAN II RESTOUT (ROUEN 1692-1768 PARIS) Couple dans un paysage arboré près d'un moulin à eau; et Couple dans un paysage arboré près d'une ruine avec inscription 'Restout' (en bas à gauche) pierre noire, craie blanche, sur papier bleu délavé 267 x 348 mm., une paire (2)
Jean RESTOUT (Rouen 1692-Paris 1768) Deux études de tête sur la même feuille Crayon noir et rehauts de craie blanche sur papier beige 20 x 29 cm Au verso une contre-épreuve de deux études de tête Taches...
JEAN RESTOUT ROUEN 1692 - 1768 PARIS HECTOR TAKING LEAVE OF ANDROMACHE signed and dated: Restout / 1727 oil on canvas 50 3/4 by 75 1/2 in.; 129 by 192 cm.
Attributed to Jean II Restout (Rouen 1692-1768 Paris) Courting couples in a wooded landscape beside a watermill both signed 'Restout' black and white chalk, on faded blue paper 10½ x 13¾ in. (26.7 x 34.8 cm.) a pair (2)
Attributed to Jean Restout II (Rouen 1692-1768 Paris) Courting couples in a wooded landscape, a ruined cottage beyond; and Figures in a wooded landscape beside a watermill both signed 'Restout' black and white chalk, on faded blue paper 10½ x 13¾ in. (26.7 x 34.8 cm.) a pair (2)
JEAN RESTOUT ROUEN 1692 - 1768 PARIS TWO STUDIES OF THE HEAD OF A GIRL LOOKING DOWN Black chalk heightened with white chalk on blue paper 326 by 205 mm
Attribué à Jean RESTOUT (Rouen 1692-Paris 1768) Vénus rend visite à Vulcain dans sa forge Crayon noir et rehauts de craie blanche sur papier beige, mis au carreau 28,5 x 30 cm cintré dans le haut Rousseurs, petites déchirures et taches dans le bas
La tête du Christ penchée vers la gauche (recto); Etude de draperie (verso) avec inscription 'Peut être de Jouvenet, de la résurrection de Lazare' craie noire et blanche sur papier brun clair, filigrane objet 201 x 269 mm.