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Sophie Rude Sold at Auction Prices

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    • Sophie Rude (France, 1797-1867), "Portrait of a Father and Two Daughters," 1840, H.- 38 3/4 in., W.- 31 1/2 in., Framed- H.- 42 1/2 in., W.- 35 in.
      Sep. 14, 2024

      Sophie Rude (France, 1797-1867), "Portrait of a Father and Two Daughters," 1840, H.- 38 3/4 in., W.- 31 1/2 in., Framed- H.- 42 1/2 in., W.- 35 in.

      Est: $3,000 - $5,000

      † Sophie Rude (France, 1797-1867), "Portrait of a Father and Two Daughters," 1840, oil on canvas, signed and dated upper right, presented in a gilt wood frame,

      Crescent City Auction Gallery
    • ATTRIBUTED TO SOPHIE RUDE (DIJON 1797-1867 PARIS) Portrait of a lady, full-length, seated at a table, holding a fan oil on canvas 65 1/2 x 47 3/8 in. (166.5 x 120.2 cm.) 75
      May. 25, 2023

      ATTRIBUTED TO SOPHIE RUDE (DIJON 1797-1867 PARIS) Portrait of a lady, full-length, seated at a table, holding a fan oil on canvas 65 1/2 x 47 3/8 in. (166.5 x 120.2 cm.) 75

      Est: $40,000 - $60,000

      ATTRIBUTED TO SOPHIE RUDE (DIJON 1797-1867 PARIS) Portrait of a lady, full-length, seated at a table, holding a fan oil on canvas 65 1/2 x 47 3/8 in. (166.5 x 120.2 cm.)

      Christie's
    • Sophie Rude (1797 Digione -1867 Parigi), Adone
      Oct. 20, 2021

      Sophie Rude (1797 Digione -1867 Parigi), Adone

      Est: €30,000 - €50,000

      in cornice dorata, olio su tela, W. 178 - H. 166 cm, Galleria Bernard Steinitz, Parigi, Antichità Maurizio Nobile, Bologna, Proveniente dalla Galleria Bernard Steinitz di Parigi, questo bel dipinto raffigurante un giovane uomo con levriero, da identificarsi con tutte le probabilità con Adone, è opera della pittrice Sophie Rude. Allieva di Jacques-Louis David, questa artista sposò il celebre scultore François Rude, per il quale posò come modella per la figura del Genio della Guerra del fregio raffigurante la Partenza dei Volontari, conosciuto come 'La Marsigliese', posto sull'Arco di Trionfo di Parigi.

      Cambi Casa d'Aste
    • Sophie Rude, née Frémiet Dijon, 1797 - Paris, 1867 Portrait de deux enfants Huile sur toile (Toile d'origine)
      Mar. 27, 2015

      Sophie Rude, née Frémiet Dijon, 1797 - Paris, 1867 Portrait de deux enfants Huile sur toile (Toile d'origine)

      Est: €3,000 - €4,000

      Sophie Rude, née Frémiet Dijon, 1797 - Paris, 1867 Portrait de deux enfants Huile sur toile (Toile d'origine) Signée et datée 'SophieRude /1842' en bas à droite 'PORTRAIT OF TWO CHILDREN', OIL ON CANVAS, SIGNED AND DATED, BY S. RUDE h: 54 w: 65 cm

      Artcurial
    • Sophie Rude, née Frémiet Dijon, 1797 - Paris, 1867 Portrait de femme à la robe noire Huile sur toile
      Feb. 18, 2015

      Sophie Rude, née Frémiet Dijon, 1797 - Paris, 1867 Portrait de femme à la robe noire Huile sur toile

      Est: €600 - €800

      Sophie Rude, née Frémiet Dijon, 1797 - Paris, 1867 Portrait de femme à la robe noire Huile sur toile signée et datée 'Sophie Rude / 1863.' en haut à gauche (Restaurations) h: 73,50 w: 60 cm

      Artcurial
    • Sophie Rude, née Fremiet Dijon, 1797 - Paris, 1867
      Apr. 10, 2013

      Sophie Rude, née Fremiet Dijon, 1797 - Paris, 1867

      Est: €50,000 - €70,000

      Sophie Rude, née Fremiet Dijon, 1797 - Paris, 1867 Portrait de Victorine van der Haert, soeur de l'artiste Huile sur toile Signée et datée 'Sophie fremiet / Bruxelles 1818.' en bas à gauche 'PORTRAIT OF VICTORINE VAN DER HAERT', OIL ON CANVAS, SIGNED AND DATED, BY S. RUDE h: 162 w: 118 cm Provenance : Dans la descendance Fremiet à Mons jusque dans les années 1950 ; Acquis alors auprès de ces derniers par leurs cousins Van der Haert de Bruges ; Puis par descendance Commentaire : La redécouverte de ce merveilleux portrait est exceptionnelle à plus d'un titre. Malgré la récente exposition 'François et Sophie Rude' qui eut lieu au musée des Beaux-Arts de Dijon en 2012 et le remarquable catalogue qui accompagna cette dernière, ce portrait de Victorine Fremiet, fut précieusement conservé jusqu'à ce jour chez les descendants du modèle qui en connaissaient la grande valeur. Les familles Fremiet et Rude ont en commun leur origine dijonnaise et leurs convictions bonapartistes, si bien qu'à la chute de l'Empire en 1815 elles prirent la route de l'exil et s'installèrent à Bruxelles en 1816, désormais sous gouvernement du roi des Pays-Bas Guillaume Ier, souverain protecteur et bienveillant pour les exilés français. Le sculpteur François Rude connaissait bien depuis son enfance en Bourgogne la famille Fremiet et c'est à lui qu'à Bruxelles Louis Fremiet confie la garde de ses deux filles lorsqu'il décide avec son épouse de s'installer à Mons. François Rude surveille si bien ces deux jeunes femmes qu'il épouse Sophie quelques années après en 1821. Ils formèrent un couple heureux que seule la mort du sculpteur en 1855 sépara Dès son arrivée à Bruxelles, Sophie rentre dans l'atelier du peintre Jacques-Louis David. L'atelier que le peintre aménage en 1816 devient vite le pôle d'attraction de toute la communauté artistique. Comme le remarque Alain Jacobs, " son irruption à Bruxelles modifie le devenir de la peinture en Belgique, y retardant sans doute l'éclosion du romantisme en encourageant la prédominance et l'efflorescence d'une expression tardive du néoclassicisme (…). Le néoclassicisme, qui en France s'essouffle ou évolue, connaît en Belgique, grâce à David, un climat propice, à l'abri du doute, un climat de vigueur et de confiance jusqu'en 1830 (1) ". C'est dans ce climat artistique que se situe notre tableau. Sophie Fremiet représente sa sœur Victorine en 1818, quelques années avant qu'elle n'épouse en 1824 un élève de Rude, Henry Van der Haert. Tout comme Sophie, Victorine fut élève de David et bénéficia des conseils du maître qui n'hésitait pas à retoucher les œuvres des jeunes artistes présents dans son atelier. Au Salon de Bruxelles, Sophie Fremiet expose pour la première fois deux portraits de dames (2). Notre tableau était-il un de ces deux portraits ? Avant tout dessinateur et lithographe, Henry Van der Haert (1790-1846) dessina vers 1839 le portrait des trois enfants qu'il eut avec Victorine . La lithographie (fig.1) de Charles Billion, exécutée d'après ce portrait, est un précieux témoignage pour l'histoire de la famille. Derrière les enfants l'on y aperçoit à droite un portrait en buste de leur père et à gauche un tableau représentant leur mère : ce tableau n'est autre que notre tableau ! Resté jusqu'à ce jour dans la famille du modèle, ce magnifique portrait reflète l'enseignement de David sur son élève qui s'attache à représenter avec talent les multiples effets des matières : soieries, satins, tissage du châle à motif cachemire ou encore tressage du chapeau de paille. La date de notre toile (1818) permet de se demander si très vite l'élève ne se plaça pas à la hauteur du maître et si le maître ne put s'empêcher de rendre hommage au talent de son élève dans le célèbre Portrait de Juliette Blait de Villeuneuve (fig.2). La redécouverte de notre toile apporte sans doute un éclairage nouveau pour comprendre le dernier tableau de David, peint au cours du printemps et de l'été 1824, et acquis à grand frais par le musée du Louvre auprès de la descendance du modèle en 1997. Chaque élément de notre tableau en fait un chef-d'œuvre de l'art du portrait au début du XIXe siècle : son histoire, sa provenance, son exceptionnel état de conservation mais aussi plus simplement la douceur de ce visage, l'élégance de l'attitude du modèle, le raffinement des notes posées sur les partitions et la modernité de la place du chapeau au centre de la composition. 1 - 'Un couple d'artistes au XIXe siècle, citoyens de la liberté, François et Sophie Rude', cat. d'exp., Dijon, musée des Beaux-Arts, 12 oct. 2012 - 28 janv. 2013, , p.60. 2 -'Ibid.'

      Artcurial
    • Sophie Rude, née Fremiet Dijon, 1797 - Paris, 1867
      Apr. 10, 2013

      Sophie Rude, née Fremiet Dijon, 1797 - Paris, 1867

      Est: €800 - €1,200

      Sophie Rude, née Fremiet Dijon, 1797 - Paris, 1867 Portrait du neveu de l'artiste, Jean-Baptiste Van der Haert en tenue d'officier Crayon noir et pastel Signé et daté 'Sophie Rude / 1851.' en bas à droite 'PORTRAIT OF J.B. VAN DER HAERT', BLACK CHALK AND PASTEL, SIGNED AND DATED, BY S. RUDE h: 34,50 w: 26,50 cm Provenance : Resté dans la descendance du modèle jusqu'à ce jour Commentaire : Le modèle de notre dessin est le fils de Victorine et Henry Van der Haert. Nous présentons le portrait de Victorine Van der Haert, née Frémiet, sous le n°159 de cette vente.

      Artcurial
    • Sophie RUDE (Dijon 1797 – Paris 1867) Portrait de jeune fille en robe blanche ornée d’une rose Toile à vue ovale 73,5 x 60 cm Signée...
      Mar. 30, 2012

      Sophie RUDE (Dijon 1797 – Paris 1867) Portrait de jeune fille en robe blanche ornée d’une rose Toile à vue ovale 73,5 x 60 cm Signée...

      Est: €1,500 - €2,000

      Sophie RUDE (Dijon 1797 – Paris 1867) Portrait de jeune fille en robe blanche ornée d'une rose Toile à vue ovale 73,5 x 60 cm Signée et datée à gauche : Sophie Rude 1843

      Tajan
    • RUDE Sophie, née FREMIET (Dijon 1797 - Paris 1867)
      Dec. 04, 2011

      RUDE Sophie, née FREMIET (Dijon 1797 - Paris 1867)

      Est: €8,000 - €9,000

      RUDE Sophie, née FREMIET (Dijon 1797 - Paris 1867) « Portrait de femme enveloppée dans un châle des Indes » Toile d'origine Signée et datée en bas à gauche: Sophie Fremiet / Bruxelles 1818 100 x 76 cm Sophie Frémiet...

      Osenat
    • *SOPHIE RUDE, NEE FREMIET (FRENCH, 1797-1867)
      Apr. 05, 2001

      *SOPHIE RUDE, NEE FREMIET (FRENCH, 1797-1867)

      Est: $125,000 - $150,000

      *SOPHIE RUDE, NEE FREMIET (FRENCH, 1797-1867) THE DEATH OF CENCHIRIAS, SON OF NEPTUNE oil on canvas unframed: 81 1/4 by 100 1/4 in. 206.4 by 254.6 cm. Painted circa 1822-23, this painting illustrates the nymph Peirene lamenting the death of her son Cenchirias, who has been killed accidentally by an arrow from the quiver of the goddess Diana. Diana, clad in a panther-skin, is followed by her entourage and two dogs on the left of the composition; on the right stand two women presumed to be relatives of the slain boy and a servant-girl. The legend has it that a spring was formed by the tears of Peirine in Corinth, where a port was named after Cenchirias. This may be the "picture with a mythological scenery" which L'Oracle described as having been exhibited in Brussels in December 1823; it may further have been the picture which won the artist a gold medal at an exhibition in Ghent in February 1824, and which was exhibited the following year in Haarlem. Sophie Fremiet studied initially with the founder of the Dijon School, Francois Devosge; she then followed her family into exile in Brussels in 1815 and there established herself as one of the most prominent of David's pupils, making copies under his supervision of two of his late masterpieces, Telemaque et Eucharis (Getty Museum, Malibu; sold in these rooms on February 24, 1987) and La Colere d'Achille (Kimbell Art Museum, Forth Worth). In 1821, she married the sculptor Francois Rude, with whom she collaborated on the decoration of the castle of Tervueren, a former summer residence of the Dukes of Brabant. In the late 1820's, Sophie and her husband settled in Paris, where she was a frequent exhibitor at the Salon. EXHIBITED: Possibly Brussels, December 1823 Possibly Ghent, February 1824 Possibly Haarlem, 1825 LITERATURE: L'Oracle, December 29, 1823, possibly the picture mentioned p. 4 Messager des Sciences et des Arts, Vols. IX-X, 1823, pp. 414-5, possibly listed as Mort de Cenchree, fils de Neptune 'a l'instant ou Pirene soutenant son fils mourant, supplie la deese Diane de le sauver' E. Benezit, Dictionnaire des Peintres, Sculpteurs, Dessinateurs et Graveurs, Paris, 1976, Vol 9, possibly listed p. 166 as La Mort de Cyros

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