Property from a Private Collection Eustache Le Sueur Paris 1616–1655 Allegory of Poetry oil on canvas unframed: 130 x 97.5 cm.; 51⅛ x 38⅜ in. framed: 159 x 128 cm.; 62⅝ x 50⅜ in.
François le Villain (19th century) after Henri Joseph Hesse (1781 - 1849 ): Portrait of Eustache Lesueur (1616 Paris-1655 ibid), 19th century, Lithography Technique: Lithography on Paper Inscription: At the lower part inscribed in the printing plate: "Hesse", "Lith. de Villain", "Eustache Lesueur". Date: 19th century Description: Eustache Lesueur was a French painter; his works include the famous 22 paintings from the life of St Bruno in the Little Carthusian Monastery in Paris - now in the Louvre. Keywords: 19th century, Figurative, Portraits, France,
A pair of Sèvres (Napoleon III) bleu céleste two-handled ovoid vases étrusques, 1854 painted by Léonard Abel Schilt after Eustache Le Sueur (1616-1655) with four muses, Thalia, Urania, Terpsícore, Calliope, each signed, within moulded beaded cartouches below ribbon-tied branches, printed marks 46.5cm. and 47cm. high
"Apollo crowning the Arts before Athena" Pen drawing, black ink, wash and gouache on paper, 9 x 23 cm, on the back the artist signed in red pen: "by LeSueur". Provenance: Pierre-Henri MAYEUX then by descent. Pierre-Henri MAYEUX (1845-1929) Government Architect: The Sacré-Cœur in Paris, the Museum of Decorative Arts, the École Polytechnique, the Sèvres factory… painter, draftsman and engraver, exhibited at the Salon of French Artists from 1873 . Works in museum collections, including the Louvre (decorator of Sèvres vases placed in the large painting gallery), Orsay (drawings), Petit Palais (drawings)... Professor of decorative art at the École nationale des fine arts and author of reference books always republished including: La Composition decorative, 1885, Paris: Société française d'Édition d'Art et Fantaisies architecturales, 1898, Paris: Armand Guérinet. Delivery of the lots without transport costs to Paris (rue Drouot), Lyon or Marseille a few days after the sale or dispatch at the buyer's expense by the carrier of their choice. "Apollon couronnant les Arts devant Athéna" Dessin à la plume, encre noire, lavis et gouache sur papier, 9 x 23 cm, au dos l’artiste a signé à la plume rouge : "par LeSueur". Provenance : Pierre-Henri MAYEUX puis par descendance. Pierre-Henri MAYEUX (1845-1929) Architecte du Gouvernement : Le Sacré-Cœur à Paris, le musée des Arts décoratifs, l’École polytechnique, la manufacture de Sèvres… peintre, dessinateur et graveur, expose au Salon des artistes français dès 1873. Œuvres dans les collections de musées, dont le Louvre (décorateur de vases de Sèvres placés dans la grande galerie de peinture), Orsay (dessins), Petit Palais (dessins)... Professeur d'art décoratif à l'École nationale des beaux-arts et auteur de livres de références toujours réédités dont : La Composition décorative, 1885, Paris : Société française d'Édition d'Art et Fantaisies architecturales, 1898, Paris : Armand Guérinet. Remise des lots sans frais de transport à Paris (rue Drouot), Lyon ou Marseille quelques jours après la vente ou l'envoi à la charge de l’acheteur par le transporteur de son choix.
LE SUEUR, Eustache, ATTRIBUTED (1617-1655), "Christ on the sea with Peter", Christ walking across the water rescuing his disciples from the sailing boat in the raging sea, oil/canvas relined, HxW: approx. 90x75 cm ( 97x80 cm with frame). Restored and retouched, craquelure, signs of wear, scratches and stains. With frame. VERSO sticky note with handwritten inscription.
Eustache Le Sueur Paris 1617 - 1655 Paris, Attributed Rinaldo and Armida Oil on canvas, relined 30,5 x 23 cm, with frame 39,5 x 31 cm Beautiful baroque frame from the time
Attribué à Jean-Victor BERTIN (1775-1842) Paysage arcadien. Dessin à la pierre noire 27,5 x 40,5 cm Encadré sous verre. Expert : M. Alexis Bordes - 06 10 80 64 34
Attributed to Eustache Lesueur (French, 1617 - 1655, Head of an Old Man in Profile, red chalk on off-white paper, Image: 7.5" H x 6" W; frame: 12.75" H x 11" W. Provenance: With label to back reading: From an album of LeSeuer drawings formerly in the possession of Colnaghi in London and broken up in approximately 1955. Each one was numbered on the mounted pages. The present drawing is No. 45. Removed from a 41 Fifth Avenue Estate.
* Le Sueur (Eustache, 1617-1655). Robed male holding a staff, possibly Saint John, seen walking in profile, black chalk on pale blue laid paper, heightened with touches of white chalk, laid down on cream backing paper, inscribed in pencil lower left with artist's name in a later hand, collector's mark to extreme lower left corner of a Maltese Cross blindstamp within a circle, sheet size 371 x 248 mm (14.6 x 9.75 ins), tipped on to late 18th or early 19th century backing paper with wash ruled border, numbered in brown ink at head 'No. 84' inset to later backing paper, window-mounted Qty: (1)
Eustache LESUEUR (Paris 1616 - 1655) Étude de femme drapée marchant Crayon noir et rehauts de craie blanche sur papier brun. Déchirures et petits manques restaurés sur les bords. 40,5 x 22,5 cm Ce dessin est à rapprocher d'une des compagnes de la fille de Pharaon, dans le Moise sauvé des eaux tableau conservé à Betchworth, Grande Bretagne, (voir : Alain Mérot, Eustache Le Sueur, 1616-1655, Paris, Édition Arthéna, 2000, p. 294, n° 160, reproduit). La position et le drapé sont les mêmes mais la coiffure diffère légèrement. Un dessin préparatoire pour la même figure, conservé au Musée Fabre de Montpellier (voir opus cité supra, fig. 367) est quasiment identique au nôtre. Les repentirs (dos, bras et drapé) visibles sur notre feuille, permettent d'avancer l'hypothèse d'une étape antérieure à la version de Montpellier .
Saint Paul délivrant un possédé ou Saint Paul guérissant des malades Toile 175 x 137,5 cm L’importance de notre tableau a été soulignée par Alain Merot, spécialiste de l’artiste, dans ses publications en 1994 et 2000. Sa redécouverte en 1994 a été un élément essentiel pour une meilleure connaissance de la peinture française du XVIIème. Rappelons en quelques éléments importants : Notre tableau est le morceau de réception de l’artiste à la communauté parisienne des peintres et sculpteurs. Pour accéder au grade de Maître – peintre, il fallait réaliser un chef-d’œuvre, un tableau avec des grandes figures. Le Sueur quitte l’atelier de Vouet vers 1641, se marie en 1644, et baptise son premier enfant le 11 juillet 1645. Il est alors peintre. Dans l’acte de baptême de son second fils en mai 1646, il est Maître – peintre. Notre tableau a donc du être peint entre la fin de 1645 et le début de 1646. Son historique est connu jusqu’en 1776, il est dans la salle d’assemblée de la communauté des peintres, à côté du morceau de réception de Lebrun et celui de Blanchard. En 1776, l’Académie de Saint Luc est dissoute, le tableau figure dans plusieurs ventes entre 1783 et 1785. Il est saisi en 1797, n’est pas retenu pour le Museum central et est, dès 1804, dans les magnifiques collections de Lucien Bonaparte. On perd sa trace en 1816. Le tableau est alors connu par la gravure, quelques copies, et ne réappparait vraiment qu’en 1994. Le sujet n’a pas été clairement identifié. Dans les Actes des Apôtres, il n’y a aucune mention d’un saint Paul guérissant les possédés. Raphaël dans ses célèbres tentures représente saint Paul aveuglant le faux prophète Elymas, mais certains personnages de notre tableau ne concordent pas avec ce sujet. Peut–être s’agit-il d’un miracle fait par saint Paul devant Néron avant son supplice. On signalera simplement que l’exorcisme est un sujet d’actualité en France dans les années 1630 – 1640, avec l’affaire des possédées de Loudun et la mort sur le bûcher d’Urbain Grandier en 1634. Notre tableau est un maillon important dans la carrière de Le Sueur. Il s’oppose totalement à la manière décorative de son maître Vouet. Il réfléchit totalement à l’Art contrôlé et sévère du dernier Raphaël. Le jeu des architectures, celui des lignes droites, les figures fortes, les mains puissantes, sont nouvelles dans l’Art français. Le coloris avec ses rouges et bleus énergiques est aussi nouveau pour la peinture de cette époque. La peinture française entre ici dans une nouvelle ère. Provenance : Offert comme morceau de réception de l’artiste à la Com- munauté des Peintres et Sculpteurs de Paris, dite Académie Saint-Luc en 1646 ; Collection de l’Académie Saint-Luc jusqu’en 1776, date de sa dissolution ; Vente Billard de Bélisard, architecte du Prince de Condé, Pa- ris, rue de la Plâtrerie (actuelle rue du Louvre), grande salle de l’hôtel de Bullion, expert Joseph Paillet, 30 décembre 1783, n°67 « saint Pierre qui guérit l’aveugle né... » ; Vente B. de Boynes, Paris, 19 mars 1785 ; Saisi le 14 juin 1797 comme bien d’un émigré et déposé au Mu- seum central des Arts ; Collection de Lucien Bonaparte à Rome en 1804 (« épisode de la vie de Saint-Paul ») ; Vente Lucien Bonaparte, Prince of Canino, Londres, George Stanley, 14-16 mai 1816, n°152 « The Miracle of St. Paul, painted for the Artist’s reception into the Academy ... » ; Collection particulière suédoise ; Chez Dover Street Gallery, Londres en 1994 ; Chez Algranti, Londres, après 1994 ; Chez Colnaghi, Londres, en 1997 ; Déposé au Fogg Art Museum de Cambridge (Massachusetts) de 1998 à 2005. Expositions : Paris, Salle de l’Assemblée de l’Académie Saint-Luc, église Saint-Denis de la Chastre, de 1646 à 1776 ; Déposé à Harvard, Fogg Art Museum, de 1998 à 2005 ; Bibliographie : G. Guillet de Saint Georges, Mémoire historique des ouvrages de M. le Sueur, l’un des douze anciens de l’Académie, Paris 1690, p. 148 (réed. L. Dussieux, « Nouvelles recherches sur la vie et les ouvrages de Le Sueur », in Archives de l’art français, 1852, p. 3 et 60) ; A.N. Dezalliers d’Argenville fils, Voyage pittoresque de Paris, Paris 1749, p. 21 ; M. Hébert, Dictionnaire pittoresque et historique, Paris 1766, vol. I, p. 17 ; D.P. Papillon de la Ferté, Extraits des différents ouvrages publiés sur la vie des peintres, Paris 1776, vol. II, p. 484 ; D. Bozzani, Rome, Galleria Bonaparte, 13 juin 1804, Archivio di Stato, Rome, Camerale II, Antichità Belle Arti 7 ; A. Guattani, Galleria del Senatore Luciano Bonaparte, Rome 1808 ; C. Landon, Annales du Musée et de l’Ecole moderne des Beaux- Arts, 1830, vol. II, pp. 16-17; L. Bonaparte, Choix de gravures à l’eau forte d’après les pein- tures originales et les marbres de la galerie de Lucien Bo- naparte, Londres 1812 ; J.B. Gence, « Le Sueur », in Biographie universelle ancienne et moderne, Paris 1819, vol. XXIV, p. 328; W. Buchanan, Memoirs of painting, Londres, 1824, vol. II, p. 292, cat. n°154 ; L. Veyran, Collection de 500 gravures au burin reproduisant les principaux chefs d’oeuvre de la peinture et de la sculpture du Musée du Louvre, Paris, 1877, 4ème serie ; A. Lecoy de la Marche, La peinture religieuse, Paris 1892, p. 183 ; M. Furcy-Raynaud, « Les tableaux et objets d’art saisis chez les émigrés et envoyés au Museum central », in Archives de l’art français, vol. VI, 1912, p. 257 ; J.J. Guiffrey, « Histoire de l’Académie de Saint-Luc », in Ar- chives de l’art français, vol. IX, 1915, pp. 95 et 125 ; G. Rouchès, Eustache Le Sueur, Paris 1923, pp. 75-76 et 97 ; D. Martinez de la Pena, « Sobre la colección de pinturas de Lu- ciano Bonaparte. Documentos del anno 1804 », in Miscelanea de Arte, Instituto Diego Velasquez, Madrid 1982, p. 252; M. Sapin, « Précisions sur l’histoire de quelques tableaux d’Eus- tache Le Sueur », in Bulletin de la Société de l’histoire de l’art français, 1986, n°.25, repr. fig. 15 ; B. Foucart, Le renouveau de le peinture religieuse en France, Pa- ris, 1987, p. 177 ; A. Mérot, Eustache Le Sueur 1616-1655, Paris, 1987, pp. 20, 25, 57, 61, 181-82, 221 et 369, cat. n° 34 (localisation inconnue) ; M. Hilaire (dir.) Century of Splendour. Seventeenth century French Painting in French Public collections, cat. exp, Montreal, Museum of Fine Arts, 1993; Rennes, Musée des Beaux-Arts, 1993 ; et Montpellier, Musée Fabre, 1993, p. 211 (localisation inconnue) ; A. Mérot, La peinture française au XVIIème siècle, Paris 1994, p. 145 ; A. Mérot, « Un tableau retrouvé d’Eustache Le Sueur : Saint Paul guérissant un possédé », in Revue de l’art, n° 105, 1994, pp. 70- 71, reproduit ; B. Ederlein-Badie, La collection de Lucien Bonaparte, prince de Canino, Paris, 1997, pp. 209-10, n° 127 ; A. Mérot, Eustache Le Sueur 1616-1655, Paris 2000, pp. 181-83, cat. n°34, reproduit fig. 45 ; A. Mérot, Eustache Le Sueur, cat. exp., Grenoble, Musée de Gre- noble, 19 mars - 2 juillet 2000, p. 49; A. Merle du Bourg, in cat. exp. Tableaux Français du XVIIe siècle, Paris, 2005-2006, pp. 66-75, reproduit. Connu par la gravure : Gravé par Pauquet Pauquet (cf. DUSSIEUX, op. cit) ; Jean Massard, Le Vieux (1740-1822) ; Charles Normand, 1811 Larcher (pour le groupe central en sens inverse), 1812 ; Banzo, 1816 ; Challamel. (lithographie), 1849.
λ Scuola francese, sec. XVII MADONNA CON BAMBINO olio su tela, cm 83x62,5 Bibliografia di riferimento A. Merot, Eustache Le Sueur (1616-1665), Parigi, 1987, p. 177, scheda 27, fig. 25 Il dipinto deriva da una composizione perduta di Eustache Le Sueur nota da una stampa di Pierre Daret che la riproduce in controparte. λ france school, century XVII madonna and child oil on canvas, cm 83x62,5 Bibliografia di riferimento A. Merot, Eustache Le Sueur (1616-1665), Parigi, 1987, p. 177, scheda 27, fig. 25 Il dipinto deriva da una composizione perduta di Eustache Le Sueur nota da una stampa di Pierre Daret che la riproduce in controparte.
EUSTACHE LESUEUR (PARIS 1616 - 1655) Etude de femme drapée Pierre noire et rehauts de blanc sur papier brun 40,5 x 22,5 cm Study of a Woman with Clothing Folds Black chalk and white highlights on brown paper on browm paper 40,5 x 22,5 cm (15.9 x 8.8 inches) PROVENANCE: Vente anonyme, Paris, Hôtel Drouot, (Piasa), 4 décembre 2002, n° 52, reproduit. Notre dessin est une étude pour une des servantes de la fille du pharaon, à droite du tableau Moïse sauvé des eaux, redécouvert en 1968 et appartenant aux collections du château de Betchworth, Grande Bretagne, (voir A. Mérot, Eustache Lesueur, 1616 - 1655, Paris, 2000, n° 160, reproduit fig. 364). Cette oeuvre se trouvait déjà en Angleterre dans la première moitié du XVIIIe siècle. Alain Mérot estime que ce tableau a sans doute été peint vers 1652. Sa composition articulée autour d'élégantes figures drapées, son paysage plus élaboré, en font une oeuvre plus tardive que le Moïse exposé conservé au musée de l'Ermitage, et considéré par certains historiens d'art comme son pendant (voir A. Mérot, op. cité supra, n° 108, reproduit fig. 325). Un autre dessin préparatoire pour la même figure est conservé au musée Fabre de Montpellier (voir A. Mérot, op. cité supra, n° D. 281, reproduit fig. 367).
CONTINENTAL SCHOOL 17th/18th Century Study of an angel. Unsigned. Mat inscription attributes work to Eustache Le Sueur (French, 1616-1655). Provenance: Otto Wittmann. By descent to current owner. Mixed media on paper, 5.25" x 7.5" sheet. Framed 13.75" x 16".
After Eustache Le Sueur (French, 1616-1655), "Untitled (Study of Musician)", graphite and pastel on paper, indistinctly graphite signed to lower right. A 20th century figural preparatory sketch after celebrated French artist and founder of the French Academy of Painting, Eustache Le Sueur (French, 1616-1655), depicting a Neoclassical figure with cello. Framed approximately 22" x 18". Unframed approximately 13.825" x 10.25".
Eustache Le Sueur Paris, 1616 - 1655 Etude de femme drapée à l'Antique et Dieu fleuve Crayon noir Annoté 'E Le Sueur' en bas à droite (Manques restaurés dans les angles) Sans cadre 'A CLASSICAL WOMAN FIGURE AND A RIVER GOD', BLACK CHALK, BY E. LE SUEUR h: 38,70 w: 26,50 cm Provenance : Collection du peintre Antoine Callet, selon Chennevières ; Collection Philippe de Chennevières, son cachet (L.2072 ou 73) en bas à gauche ; Sa vente, Paris, 4-7 avril 1900, peut-être partie du n° 310 ; Collection Anatole France ; Galerie Jean-François Baroni, Paris ; Collection Jeffrey E. Horvitz, Boston ; Collection particulière, Etats-Unis Bibliographie : Philippe de Chennevières, " Une collection de dessins d'artistes français, in 'L'Artiste', 2, p. 187 Alain Mérot, 'Eustache Le Sueur (1616-1655)', Paris, 1987, (réed. 2000), p. 391, n° DM. 81 'Mastery & Elegance. Two centuries of French Drawings from the Collection of Jeffrey E. Horvitz', cat. exp. Cambridge, Harvard University of Art Museums, 1998, Appendix, p. 423, n° A222 Louis-Antoine Prat, " Philippe de Chennevières, Nélie Jacquemart-André et Jeffrey E. Horvitz : trois collections de dessins d'artistes français ", in 'Dessins français aux XVIIe et XVIIIe siècles', Acte du colloque, Paris, Ecole du Louvre, 1999 (2003), p. 31, fig. 13 Louis-Antoine Prat, " The marquis de Chennevières and his Collection of French Drawings ", in 'Master Drawings', vol. 38, 2000, n°2, p. 121 et 123, note 10 Louis-Antoine Prat et Laurence Lhinares, 'La collection Chennevières. Quatre siècles de dessins français', cat. exp. Paris, musée du Louvre, 2007, p. 234, n° 67, repr. Commentaire : Cette figure drapée à l'Antique au profil précis, comme sculpté, ainsi que le majestueux Dieu fleuve esquissé derrière elle sont caractéristiques du classicisme développé par les peintres parisiens à partir des années 1640 et qualifié par Jacques Thuillier d' " atticisme parisien ". Se détachant de la manière de son maître Simon Vouet, Eustache Le Sueur fut, aux côtés de Jacques Stella, l'un des principaux représentants de cette tendance.
LE SUEUR (LESUEUR), EUSTACHIUS (EUSTACHE) 1616 Paris - ebenda 1655 (zugesch.) Alpheus und Arethusa Öl auf Leiwand (altdoubl.), rückseitig auf dem Keilrahmen altes Wachssiegel, weiterhin altes Papierettikett mit handschriflichem Künstlerhinweis ‚Eustachius le Sueur Geb. zu Paris 1617 *+ daselbst 1655 (38 Jahre)', unten und frontseitig auf dem Rahmen nochmals beschriftet ‚E. le Sueur', 132 cm x 91 cm, Rahmen. Das selten dargestellte Thema entstammt einer Textquelle aus den Metamorhosen des Ovid. Der Flussgott Alpheus verfolgt die Nymphe Arethusa, die er innig liebt. Kurz bevor er sie erreicht, umhüllt die zu Hilfe gerufene Diana, Göttin der Jagd, die Nymphe in eine dunkle Wolke und verwandelt sie in eine Quelle. Wörtlich heißt es: ‚[...] Tauch' ich mich nackt in die Flut. Doch wie ich sie schlug und heranzog, Gleitend auf jegliche Art, und warf ausgreifende Arme, Nahm ich wahr in der Mitte des Stroms ein verdächtiges Rauschen, Und schnell trat ich geschreckt an den Rand des näheren Ufers. ,Flieh' doch nicht, Arethusa erscholl es aus seinen Gewässern, Flieh' doch nicht!' scholl neu der heisere Ruf des Alpheios. Ohne Gewand, wie ich war, entfloh ich - am anderen Ufer Lag das Gewand. Darum drängt glühender noch der Verfolger, Und weil nackend ich war, erschien ich ihm desto bereiter. So lief eilend ich fort, so drängte mich eilend der Unhold [...] Doch auf die Länge den Lauf aushalten, an Kräften ihm ungleich, Konnte ich nicht; er war der langen Beschwerde gewachsen. Dennoch eilt' ich dahin durch Feld und bewaldete Berge, Über Gestein und Klippen hinweg, wo nirgends ein Weg war. Hinter mir stand die Sonn', und ich sah, wie ein Schatten sich langhin [...] Hilf', so rief ich erschöpft von der Flucht ,Diktynna'! Er fasst mich. Stehe der Deinigen bei, der Begleiterin, welcher den Bogen Oft zu tragen du gabst und im Köcher verschlossene Pfeile!' Jene erhört mein Flehn, und eine der dichtesten Wolken Wirft sie über mich hin. Rings späht nach der Dunkelumhüllten Tappend der Strom und forscht ratlos um den bergenden Nebel. Zweimal ging er betört um den Ort, wo Schutz mir geworden; Zweimal rief er: ‚Io, Arethusa, io, Arethusa!' Wie war da mir Armen zu Mut! Wohl so, wie dem Lamme, Wenn es der Wölfe Geheul um das hohe Gehege vernommen, Oder dem Hasen im Busch, der aus dem Verstecke der Hunde Feindliche Schnauzen erblickt und den Leib nicht wagt zu bewegen. Jener jedoch weicht nicht, weil weitere Spuren der Füße Nirgends hinaus er gewahrt. Er bewacht das Gewölk und die Stelle. Da fällt frostiger Schweiß auf meine belagerten Glieder, Und ringsum von dem Leib entrinnen mir bläuliche Tropfen. Wo ich setze den Fuß, da wallt ein See; aus dem Haupthaar [...].' Literatur: Suchier, Reinhard, E. Klußmann und A. Berg: Ovids Werke, deutsch in den Verweisen der Urschrift, Berlin 1910, V 572-641. Ovid, Metamorphosen V, 572-641. Eustache Le Sueur lernte bei Simon Vouet in Paris. Bereits im Alter von 20 Jahren überließ ihm sein Meister den an ihn gerichteten Auftrag acht Bilder nach Motiven des Traums des Polyphilo zu malen (eines erhalten im Museum zu Rouen). In der Galerie des Marschalls de Crequi in Paris, welche zeitgenössische Gemälde der Italiener Caravaggio, Reni, Cesari und Carracci enthielt, fertigte Le Sueur Studien für seine großformatigen Kompositionen. Einen zentralen Einfluss auf sein Oeuvre hatte neben seinem Lehrer Simon Vouet auch Nicolas Poussin, der den Maler während eines Parisaufenthaltes förderte. Le Sueur arbeitete für Ludwig XIV. und Anna von Österreich; für das Hotel Lambert de Thorigny schmückte er das ‚Cabinet de L'amour' unter anderem mit dem Deckenbild ‚Venus erbittet von Jupiter die Vergötterung des Aeneas' und fünf Bildern aus der Geschichte Amors aus, die sich heute im Louvre in Paris befinden. 1645 erhielt er den Auftrag für die Kartause in Paris eine Folge von 22 Gemälden zu fertigen, welche das Leben und Wirken des Heiligen Bruno schilderten. Auch diese Arbeiten beherbergt heute das Louvre in Paris. Le Sueur zählt zu den massgebenden französischen Künstlers seiner Zeit. Seine Kunst ist ‚[...] bezeichnend für die klassischen Neigungen des Stils Louis XIII und des beginnenden Louis XIV. Sie hat unter anderem [...] den glänzenden dekorativen Stil Louis XIV vorbereitet'.
EUSTACHE LE SUEUR (French, 1617-1655) Study of a Putto. Black chalk with white heightening on light brown laid paper. 162x197 mm; 6 1/2x7 3/4 inches. Ex-collection Jan van Riemsdijk (Lugt 2167, lower left recto).
Eustache Le Sueur (Paris 1617-1655) David dansant devant l'arche d'alliance avec inscription 'E. Le Sueur' craie noire, lavis gris, mis au carreau à la pierre noire 254 x 363 mm.
THE TRIUMPH OF GALATEA measurements note 33 5/8 by 37 in.; 85.4 by 94 cm. oil on canvas PROVENANCE Jean-Baptiste Lemoyne, Paris; His sale, Paris, Hotel Drouot, August 10, 1778, lot 4; Pierre-Hyppolyte Lemoyne, Paris, Jean Duchesne, May 19-22, 1828, lot 49; Paul Cailleux collection, Paris; Otto Wittman collection, Toledo, Ohio, acquired from the above after 1962; By whom sold, New York, Christie's, May 31, 1990, lot 101. EXHIBITED Paris, Galerie Charpentier, Figures nues de l'Ecole Française: depuis les maîtres de Fontainebleau, 1953, no. 203; Paris, Galerie Bernheim Jeune, Le Nu à travers les âges, 1954, no. 58; Tokyo-Kyoto, Art Français, 1954-1955, no. 3; Rome, Palazzo delle Esposizioni, Il Seicento Europeo, 1956, no. 317 as by Vouet. LITERATURE C. Blanc, Le trésor de la curiosité, Paris 1857-1858, vol. 1 p. 435, vol. 2 p. 374; Y. Picart, "Une gloire méconnue: Simon Vouet, premier peintre de Louis XIII", in Jardin des Arts, T. 8, 1958, pp. 17-28 as by Vouet; W. Crelly, The painting of Simon Vouet, New Haven, London, 1962, p. 202, no. 114 as by Vouet ou Le Sueur; A. Mérot, Eustache le Sueur 1616-1655, Paris 1987, p. 178, cat. no. 30, reproduced plate 42. NOTE Merot, (See Literature), identifies the above lot with a painting in the sale of the sculptor Jean Baptiste Lemoyne, Paris, August 10, 1778, lot 4, where described as "quoique dans la manière de Vouet, offre des beautés du meilleur terme de ce Maître" (somewhat in the manner of Vouet, this offers some beautiful qualities of the master). Crelly, (See Literature), described the picture as by Vouet, but was uncertain of the subject, and did describe the style and handling as similar to le Sueur. Charles Sterling, in private written communication, thought it was painted by Vouet, or an early work painted by Le Sueur working under the influence of his master Vouet. Merot (See Literature), compares the painting to a picture of Marine Gods by Le Sueur in the Getty Museum and dates it to 1643-1644, when Vouet and his assistants were working at Fontainebleau. This date suggests that the present work is painted shortly before the paintings by Le Sueur for the Cabinet de l'Amour in the Hotel Lambert. An engraving by Michel Dorigny, dated 1645 (see R. Dumesnil, vol. IV, p. 290, no. 101), is very close to the decorative scheme of the present work. There is also a drawing for this composition, in the Musée d'Angers, France. Two 19th century engravings, were made after this painting, one by A. Desnoyers and Massole with the title "Galatée" and the inscription "Peint par Le Sueur", another one is a lithography by Challamel. According to family tradition this painting was given by Le Sueur himself to an ancestor of the sculptor Jean-Baptiste Lemoyne. In his 1778 sale, the painting was purchased by one of his sons, the architect Pierre-Hippolyte Lemoyne, and then sold in the latter's sale in 1828 (see Provenance). This picture subsequently was bought by Otto Wittman, the legendary American curator of the Toldeo Museum of Art. Wittman, praised for his keen eye, began his tenure as director of the Toledo Museum in 1959 and served in this position for 17 years. During this time, he tripled the museum's collection, paying particular attention to the Dutch, American and 17th century French and Italian collections. Wittman, who passed away in 2001, is remembered for his bold, unconventional exhibitions, his renowned community and education programs, and his intimate understanding of the art market.
Un homme drapé, vu de profil et marchant vers la droite avec inscription 'Le Sueur' (sur le montage) craie noire et blanche sur papier brun 416 x 140 mm.
APPARTENANT À UNE COLLECTION PARTICULIÈRE ALLEMANDE LA MISE AU TOMBEAU [EUSTACHE LE SUEUR ; THE ENTOMBMENT ; OIL IN CANVAS] measurements note 60 x 71 cm ; 23 1/2 by 28 in. Huile sur toile LITERATURE A.Mérot, Eustache Le Sueur, Paris, 2000, cité p.482 ; Catalogue de l'exposition , De Callot à Greuze, Dessins français des XVIIe et XVIIIe siècles des musées de Weimar, Berlin, 2005-2006, cité p.64 sous le cat.10. NOTE Jusqu'à sa récente réapparition, le présent tableau semblait perdu. Pendant longtemps, on ne connaissait son existence que par une copie ancienne conservée au musée des Beaux-Arts de Rouen. Alain Mérot mentionne néanmoins sa présence dans une collection allemande dans la notice consacrée au dessin de composition identique (voir A.Mérot, Eustache Le Sueur, Paris, 2000, n°341 bis, reproduit p.488). Le Sueur, qui était également un grand dessinateur, a en effet réalisé deux dessins préparatoires comportant une mise au carreaux pour la présente Mise au tombeau, ce qui atteste de l'importance de l'oeuvre peinte. Le premier, étudié par Alain Mérot dans sa monographie, est conservé dans une collection privée. Le second faisait partie des collections du Schlossmuseum de Weimar sous le nom d'Annibal Carrache et a figuré dans l'exposition sur les dessins français des XVIIe et XVIIIe siècles des musées de Weimar, (De Callot à Greuze, Weimar, New York, Paris, 2005-2006, cat.10, reproduit). Il existe de légères variantes entre les deux dessins et la toile, qui ne permettent pas de dire lequel des deux dessins est antérieur. En effet, si le le corps du Christ semble glisser des bras de Joseph d'Arimathie dans le dessin étudié par Mérot comme dans le tableau, les figures de Saint Jean sont très comparables dans la toile et la version de Weimar. Il est possible de dater les oeuvre sur papier ainsi que le tableau des années 1640-1645. La composition fut gravée par Etienne Picart, puis par Jacques Lubin en 1686. Le Sueur, qui fut un des rares peintres français du XVIIe siècle à ne pas effectuer le voyage en Italie, connut une gloire immense de son vivant qui lui valut d'être qualifié de Raphael français. Il fit partie des fondateurs de l'Académie Royale de Peinture et de Sculpture en 1648, quelques années avant son décès prématuré.
THE IMPRUDENCE OF CANDAULES KING OF LYDIA PAR JOSEPH STRUTT aquatinte en couleurs, imprimée à Londres le 1er juin 1787 par J.Thane, papier légèrement insolé, piqûres, salissures, autrement en bonne condition générale, non examinée hors de son cadre 38 x 28 cm. (15 x 11 in.)
A draped figure walking to the left with inscription 'Le Sueur' (twice, once erased) on the mount black and white chalk on brown paper, watermark grapes 16 3/8 x 5 1/2 in. (416 x 140 mm.)